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Mês: outubro 2018

#Les #antidépresseurs ISRS et leur rôle chez les femmes

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Les inhibiteurs spécifiques du recaptage de la sérotonine, communément appelés les « antidépresseurs ISRS » ou simplement « ISRS », sont une classe de médicaments prescrits couramment par les médecins pour traiter la dépression et l’anxiété. Ils sont mieux connus sous les noms Prozac, Paxil, Zoloft, Celexa, Luvox et Effexor.* En 2003, plus de 15 millions d’ordonnances ont été établies pour des antidépresseurs au Canada, et ce chiffre ne fait qu’augmenter depuis. Deux tiers de ces ordonnances sont délivrées à des femmes.

Cette fiche d’information examine certains enjeux de l’utilisation de ces médicaments, notamment les raisons pour leur emploi généralisé ainsi que leurs effets et propose des solutions de rechange.

Pourquoi prescrit-on tant de médicaments ISRS aux femmes ?

Plusieurs facteurs convergent pour expliquer le recours de plus en plus fréquent aux antidépresseurs ISRS par les femmes. Le nombre de diagnostics de dépression et de « troubles » des humeurs chez les femmes est monté en flèche au moment même où une nouvelle approche au traitement de ces désordres a été mise de l’avant par les sociétés pharmaceutiques et préconisée par de nombreux professionnels de la santé.

La dépression, un état à définition ouverte

Les femmes traversent des périodes d’anxiété et des sautes d’humeur à cause des fluctuations hormonales normales de la vie accompagnant les règles, la grossesse, l’allaitement et la ménopause. De plus, de nombreuses femmes sont aux prises avec divers facteurs de stress : logements et services de garde inadéquats, responsabilités familiales, rôles à jongler, emplois sous pression, pauvreté, mauvais traitements sexuels, violence et absence de grande famille et de son soutien.

Il n’y a aucun doute que la dépression clinique grave est une véritable maladie et on comprend bien pourquoi les gens optent pour des antidépresseurs dans l’espoir d’obtenir un soulagement. Mais une vaste gamme de malaises affectifs bénins sont maintenant perçus comme autant de maladies nécessitant une intervention médicale. Les femmes ont toujours eu des sautes d’humeur, des périodes d’anxiété et des états dépressifs passagers. Mais depuis quelques décennies, la tristesse, les déprimes et l’anxiété sont devenus des désordres ou des problèmes de nature médicale. En 2003 par exemple, selon des données de IMS Health, il y aurait eu 4,8 millions de consultations médicales de femmes qui se seraient terminées par une ordonnance pour un médicament pour traiter une dépression.

L’augmentation du nombre de femmes ayant un diagnostic de dépression, parfois en l’absence de symptômes convaincants, survient dans la foulée d’une nouvelle approche thérapeutique dite de « psychiatrie biologique ». Selon cette approche, plutôt que de s’attaquer aux facteurs sociaux, culturels, économiques ou de la vie pouvant être à l’origine d’une dépression ou de l’anxiété, on montre aux médecins, et on a convaincu les patients, que la cause des symptômes est de nature biologique. Il semble donc logique qu’un médicament puisse être approprié et nécessaire.

Ce n’est pas par hasard si cette évolution des mentalités entourant le traitement d’une dépression bénigne est survenue après la mise au point des médicaments ISRS et le lancement de vastes campagnes de marketing par leurs fabricants. Au cours des années 1980, les sociétés pharmaceutiques ont commencé à promouvoir activement la notion que les gens déprimés avaient besoin de médicaments ISRS pour augmenter leurs niveaux de sérotonine, à l’instar des diabétiques contraints de s’injecter de l’insuline. Les sociétés pharmaceutiques continuent de promulguer cette théorie malgré le fait que de nombreux chercheurs aient sérieusement ébranlé ses fondements.

Les médicaments ISRS sont-ils nocifs ?

Les antidépresseurs ISRS peuvent avoir des effets sur les humeurs et le fonctionnement. Certaines personnes se sentent de meilleure humeur lorsqu’elles en prennent. Mais comme c’est le cas des autres pharmacothérapies, les ISRS peuvent aussi être nocifs. Certains de leurs effets, dont les suivants, sont déjà bien attestés :

  • des dépressions agitantes (pouvant mener au suicide);
  • des problèmes sexuels (voir l’encadré pour en savoir plus long);
  • des effets sur la grossesse et les nouveau-nés;
  • des problèmes gastro-intestinaux comme des maux d’estomac, une sécheresse de la bouche, des nausées, la perte ou la prise de poids et des vomissements;
  • des états d’agitation et de nervosité extrême ainsi que des spasmes musculaires.

Nous savons peu de choses au sujet des effets nocifs possibles des ISRS. Bon nombre des essais cliniques effectués pour évaluer les ISRS n’ont duré que six semaines et très peu d’entre eux se sont échelonnés sur six mois ou, à l’occasion, un an. Or, un traitement aux ISRS dure souvent beaucoup plus longtemps, parfois même pendant des années.

Les antidépresseurs ISRS créent-ils une accoutumance ?

Les gens qui prennent des antidépresseurs ISRS constatent qu’ils ont beaucoup de difficulté soit à en réduire la dose, soit à éliminer complètement le médicament, un phénomène décrit en détail par de nombreux auteurs (voir Pour en savoir plus long ci-dessous). Le problème principal vient de l’« effet de rebond », phénomène bien connu où les symptômes à l’origine d’une pharmacothérapie (comme la tristesse ou l’anxiété) réapparaissent temporairement avec une plus grande intensité lorsqu’on tente de réduire ou d’éliminer le médicament. Par conséquent, beaucoup de gens poursuivent une pharmacothérapie indéfiniment, parfois en augmentant la dose ou en prenant d’autres médicaments psychiatriques. Les effets de désaccoutumance de ce médicament peuvent prendre des jours, sinon des semaines, à se manifester.

Les antidépresseurs ISRS peuvent également causer des torts graves et créer à l’occasion une accoutumance. La fréquence avec laquelle on prescrit ces médicaments semble indiquer qu’ils sont très efficaces, mais ce n’est pas ce qu’indiquent les études. De fait, de nombreux essais ont démontré que les ISRS sont à peine plus efficaces que des placébos.

Quelles sont les solutions de rechange aux ISRS ?

La psychothérapie
Lorsqu’ils ont besoin de faire soigner une dépression, beaucoup de gens optent d’abord pour une psychothérapie. Il a été démontré que la psychothérapie est au moins aussi efficace, et parfois même plus efficace, que les médicaments antidépresseurs. Les études ayant suivi des patients pendant un an après la fin des traitements ont constaté que les personnes ayant fait une psychothérapie avaient moins de rechutes que celles soignées aux antidépresseurs. (Voir « The Myth of the Magic Pill » sous Pour en savoir plus long ci-dessous.)

Des professionnels de la santé et des services sociaux de divers types et dans divers milieux ont reçu une formation leur permettant d’offrir des services de psychothérapie et d’assistance socio-psychologique. Bien que certains de ces services soient assurés par notre système de santé, d’autres ne sont remboursés que par des régimes d’assurance privés, le plus souvent de façon assez limitée. Cette couverture inégale pourrait également expliquer en partie l’augmentation du nombre d’ordonnances d’ISRS émises par les médecins de notre système de santé.

L’exercice
Des activités physiques régulières peuvent être un traitement efficace contre la dépression et l’anxiété. Ainsi, dans une étude de trois ans, des gens ayant reçu un diagnostic de « désordre dépressif grave bénin ou moyen » ont connu une amélioration significative de leur bien-être après un programme de douze semaines d’exercices cardiovasculaires. À condition que les exercices soient assez vigoureux (conformément aux normes de santé publique), trois périodes d’exercice par semaine suffisent pour produire cet effet. Bien qu’un régime d’exercice ne soit pas un choix réaliste pour tout le monde, c’est une option qui mérite considération lorsque possible.

Une évolution des mœurs sociales
On peut également mettre en place des solutions de rechange aux ISRS au niveau social et non seulement au niveau individuel. On pourrait ainsi régler des problèmes culturels et de mode de vie et fournir des soutiens appropriés pour supprimer ou atténuer les nombreux facteurs de stress externes que subissent les femmes qui s’efforcent de « venir à bout de vivre ». Apporter les changements de société nécessaires dépasse largement les capacités individuelles, mais ensemble, les femmes ont su se concerter pour partager leurs expériences, former des groupes et souscrire à un vaste mouvement en faveur du changement. Les femmes aux prises avec les symptômes d’une dépression, de l’anxiété et des autres « troubles » des humeurs qui rendent la vie quotidienne difficile ont tout intérêt à bien comprendre que la cause sous-jacente de leurs symptômes ne se trouve pas dans un défaut ou un déséquilibre chez elles. Ce qu’elles vivent est plutôt une réaction normale à une vie sans soutien adéquat.

Les solutions de rechange comme l’activité physique et la psychothérapie peuvent prendre plus de temps ou exiger plus d’efforts avant que l’on ne constate les premiers résultats, mais elles n’ont pas d’effets secondaires nocifs et ont de meilleures chances de s’attaquer à la cause profonde de la dépression. Et même si l’on devient dépendant de son régime d’exercice, ce n’est là qu’un bienfait additionnel, puisque cela ne fera qu’améliorer d’autres aspects de sa santé.

Certaines personnes ont également pu se soigner à l’aide de la méditation consciente, de la luminothérapie et de modifications du régime alimentaire.

Si votre médecin vous conseille un antidépresseur ISRS…

Certaines femmes consultent leur médecin expressément pour obtenir des antidépresseurs ISRS, mais parfois, ce médicament est prescrit de façon tout à fait inattendue. Depuis que les médicaments ISRS sont sur le marché, les fabricants et les associations professionnelles encouragent les professionnels de la santé de rechercher des signes de dépression et d’anxiété chez leurs patientes. Par conséquent, ces antidépresseurs sont prescrits dans de nombreuses situations où ils ne sont pas forcément nécessaires. Les femmes qui se voient délivrer une telle ordonnance ont tout intérêt à se demander si elles ont vraiment besoin d’un antidépresseur ISRS. Voici quelques questions à poser à un professionnel de la santé qui vous conseille de prendre un tel médicament :

  • Quelle est la condition exacte pour laquelle je reçois ce traitement ?
  • Pourquoi me recommandez-vous ce traitement en particulier ? Quelles données indiquent qu’il est efficace pour mon problème ?
  • Quels sont les risques de ce médicament ?
  • Pendant combien de temps vais-je devoir en prendre ?
  • Quelles sont les solutions de rechange à la pharmacothérapie ?
  • À quoi puis-je m’attendre si je ne prends pas ce médicament ?

Vous désirez mettre fin à une thérapie au ISRS ?

N’ARRÊTEZ PAS de prendre le médicament sans l’aide d’un professionnel qui connaît bien la thérapie d’interruption des ISRS. Vous pouvez connaître des symptômes de privation graves et même périlleux si vous réduisez la dose ou arrêtez subitement de prendre vos médicaments. Il faut une aide professionnelle pour se désaccoutumer en toute sécurité de ces médicaments.

Les effets de la désaccoutumance, qui sont souvent les mêmes que les symptômes pour lesquels le médicament a été prescrit, peuvent comprendre une dépression, des insomnies, de l’agitation et des sensations d’électrochocs d’une intensité accrue, pour n’en nommer que quelques-uns. Le fait d’avoir ces symptômes au cours de l’interruption d’une pharmacothérapie n’est pas nécessairement signe d’une maladie.

 

Les médicaments ISRS et les relations sexuelles

Les antidépresseurs ISRS peuvent avoir un effet négatif sur le désir sexuel, l’excitation sexuelle et l’orgasme. Ces effets peuvent être particulièrement sévères chez les femmes qui prennent en parallèle certains contraceptifs hormonaux. Il est particulièrement inquiétant à noter que les effets indésirables ne prennent pas toujours fin avec le traitement. Les effets semblent mettre beaucoup de temps à se dissiper et peuvent avoir un effet à long terme sur la fonction sexuelle. Comme l’a fait remarquer Janet Currie, qui écrit souvent sur ce sujet, « Parce que les ISRS peuvent mener à une aggravation de la dépression, à un désintérêt ou un détachement affectif, à une diminution des activités affectives, à la perte de mémoire et à la confusion, ces effets, conjointement avec le dysfonctionnement sexuel, peuvent avoir des conséquences négatives sur les relations intimes. »

 

Les antidépresseurs ISRS et les adolescents

Aucun antidépresseur n’a été approuvé au Canada pour des personnes de moins de 19 ans. Aux États-Unis, un antidépresseur a été approuvé pour les enfants de 8 ans et plus, mais il est accompagné d’avertissements sévères sur les effets indésirables graves possibles, y compris l’apparition de tendances suicidaires. Comme l’indique le bulletin Therapeutics Initiative Newsletter , il y a peu de preuves démontrant l’efficacité des ISRS chez les adolescents. Au contraire, de plus en plus d’études indiquent que ces médicaments peuvent avoir des effets nocifs considérables, y compris des pensées et des gestes suicidaires, de l’hostilité et de l’agressivité. Néanmoins, on prescrit de plus en plus ces médicaments à des adolescentes et adolescents. Avant d’accepter que des jeunes sous leur garde suivent une pharmacothérapie, les femmes peuvent envisager d’offrir une aide pour améliorer les habitudes de sommeil et le régime alimentaire de ces jeunes et les encourager à faire de l’exercice régulièrement, en plus de mieux assumer leurs responsabilités parentales et d’aider leurs enfants à régler leurs problèmes à l’école ainsi que ceux attribuables aux autres facteurs de stress dans leur vie.

 

POUR EN SAVOIR PLUS LONG

La marchandisation de la dépression : la prescription des ISRS aux femmes, par Janet Currie, dans le site Internet d’Action pour la protection de la santé des femmes, à www.whp-apsf.ca. Également disponible en version imprimée.

The Antidepressant Solution, a step-by-step guide to safely overcoming antidepressant withdrawal, dependence and addiction, de Joseph Glenmullen (Simon & Schuster, 2005).

The Myth of the Magic Pill, de Barry Duncan, Scott Miller et Jacqueline Sparks, dans www.talkingcure.com/reference.asp?id=66

 

Action pour la protection de la santé des femmes bénéficie du soutien financier de Santé Canada. Les opinions exprimées dans ce document ne reflètent pas nécessairement celles de Santé Canada.

#O que há de novo no #tratamento do câncer de mama?

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#COPD: #Bevespi Aerosphere gets thumbs up

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  • Noticias Médicas Univadis

The European Medicines Agency has recommended granting marketing authorisation for the medicinal product Bevespi Aerosphere (glycopyrronium/formoterol fumarate dihydrate) for maintenance treatment in patients with chronic obstructive pulmonary disease (COPD).

Bevespi Aerosphere is a fixed-dose combination of the long-acting beta-2 receptor agonist formoterol fumarate dihydrate and the long-acting muscarinic antagonist glycopyrronium. It will be available as a suspension for inhalation (7.2 micrograms / 5.0 micrograms).

The safety and efficacy of Bevespi Aerosphere were demonstrated in the PINNACLE-1 and PINNACLE-2 randomised double-blind placebo-controlled phase 3 trials which included 2,103 and 1,615 patients, respectively. In both trials, participants received either glycopyrrolate/formoterol (GP/FF) 18/9.6 μg, GP 18 μg, FF 9.6 μg or placebo all twice daily.

At week 24, differences in change from baseline in morning predose trough FEV1 for GP/FF vs placebo, GP and FF were 150 mL, 59 mL and 64 mL in PINNACLE-1 (all P<.0001) and 103 mL, 54 mL, and 56 mL in PINNACLE-2 (all P<.001). There were no significant safety findings. The incidence of adverse events was similar between treatment arms.

The EMA opinion will now be sent to the European Commission for final approval.

#Describen un nuevo #complejo ligamentoso en el tobillo: el #fibulotalocalcáneo lateral

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La identificación de unas fibras descartadas habitualmente en las disecciones anatómicas ha permitido a un equipo de la UB describir un nuevo ligamento en la parte lateral del tobillo: el fibulotalocalcáneo lateral. El hallazgo puede tener implicaciones en el abordaje de los esguinces de tobillo en los que persiste el dolor o que repiten.

El fascículo superior del ligamento talofibular anterior (1) es una estructura articular y no isométrica, es decir, que se relaja cuando el pie está en flexión dorsal y se tensa cuando está en flexión plantar. El fascículo inferior del ligamento talofibular anterior (2) junto con el ligamento calcaneofibular (3) y las fibras arciformes que los unen, forman el nuevo complejo fibulotalocalcáneo lateral. Se trata de una estructura extraarticular e isométrica, es decir, que siempre está en tensión y estabiliza el tobillo en cualquier posición del pie.
UB

Según los manuales de anatomía humana, los ligamentos de la articulación del tobillo son estructuras que se encuentran agrupadas por dos grandes complejos ligamentosos: el ligamento colateral lateral —situado en la parte lateral de la articulación y formado por tres ligamentos que son independientes entre sí— y el ligamento colateral medial o ligamento deltoideo.

Sin embargo, un equipo investigador de la Universidad de Barcelona ha definido una nueva estructura anatómica en el tobillo: el complejo ligamentoso fibulotalocalcáneo lateral (LFTCL, en inglés). La descripción de esta estructura anatómica ha sido posible gracias al examen de unas fibras que conectan dos de los componentes del ligamento colateral lateral. Además, por primera vez se describe una de las partes de esta nueva estructura como intraarticular.

Estos resultados, publicados en la Knee Surgery, Sports Traumatology, Arthroscopy, cambian la comprensión de esta articulación y podrían explicar por qué muchos esguinces de tobillo continúan produciendo dolor incluso meses o años después de la lesión inicial.

El hallazgo explicaría por qué el dolor persiste en muchos esguinces de tobillo

El equipo responsable del descubrimiento está especializado en la anatomía del sistema musculoesquelético, y forman parte de él Jordi Vega, Francesc Malagelada, María Cristina Manzanares y Miquel Dalmau Pastor, de la Facultad de Medicina y Ciencias de la Salud de la Universidad de Barcelona, en el Campus de Bellvitge.

Coexión de dos ligamentos en el tobillo como una estructura única

Los ligamentos laterales del tobillo son los que se lesionan con más frecuencia en el cuerpo humano. Además, muchos de los pacientes que sufren un esguince de tobillo tienen molestias que se alargan en el tiempo, y una tendencia a lesionarse de nuevo que, hasta ahora, la medicina no ha podido explicar.

”Esta falta de explicación fue la clave para cambiar el modo de abordar la disección de los ligamentos, y entonces nos dimos cuenta de que unas fibras de conexión entre ligamentos eran eliminadas de forma habitual porque se pensaba que no formaban parte del ligamento”, ha dicho Miquel Dalmau Pastor, investigador de la Unidad de Anatomía y Embriología Humanas y del Departamento de Patología y Terapéutica Experimental de la UB.

El estudio indica que el ligamento talofibular anterior y el ligamento calcaneofibular se conectan en una unidad funcional

Según el nuevo trabajo, estas fibras conectan el fascículo (conjunto de fibras ligamentosas) inferior del ligamento talofibular anterior y el ligamento calcaneofibular, dos de los tres componentes del ligamento colateral lateral. “Esta conexión nunca se había descrito, y en contra de lo que se pensaba hasta ahora, sugiere que los dos ligamentos que conecta son una unidad funcional. Es decir, que se podrían considerar estos dos ligamentos conectados como una estructura anatómica única, a la que hemos denominado complejo ligamentoso fibulotalocalcáneo lateral”, ha explicado Dalmau.

 

Esta descripción también encaja con algunas publicaciones de carácter clínico que ponían de manifiesto los buenos resultados de la reparación aislada del ligamento talofibular anterior en casos de lesión completa de los ligamentos talofibular anterior y ligamento calcaneofibular. “Estas publicaciones nos hicieron pensar que si reparando solo el ligamento talofibular anterior, también se reparaba el ligamento calcaneofibular, eso solo podía pasar si había alguna conexión entre los ligamentos”, ha comentado Vega.

Implicación en la evolución y el tratamiento del esguince de tobillo

La disección cuidadosa de la cápsula articular del tobillo también ha permitido identificar por primera vez el componente intraarticular del ligamento talofibular anterior. Según el estudio, este ligamento estaría formado por dos fascículos, uno superior y uno inferior, que se encuentran respectivamente dentro y fuera de la articulación. El fascículo inferior, junto con el ligamento calcaneofibular y las fibras arciformes que los unen, formarían el complejo fibulotalocalcáneo lateral, que sería por tanto una estructura extraarticular.

El hecho de que parte del ligamento talofibular anterior fuese una estructura intraarticular podría tener implicaciones en la evolución y el tratamiento de las lesiones de tobillo. “Este hallazgo nos hace pensar que el comportamiento después de una lesión será similar al de otros ligamentos intraarticulares, como el ligamento cruzado anterior de la rodilla, que no son capaces de cicatrizar por sí solos cuando se rompen, lo que hace que la articulación quede inestable y requiera una intervención quirúrgica en muchos casos”, ha añadido Dalmau.

El trabajo muestra el impacto que el hecho de que el ligamento tabofibular anterior sea una estructura intraarticular tiene sobre la curación de las lesiones de tobillo

Asimismo, estos resultados permitirían explicar por qué muchos esguinces siguen produciendo dolor aunque la persona siga el tratamiento recomendado por su médico o fisioterapeuta. “Al ser intraarticular, el ligamento no cicatriza y la inestabilidad de la articulación les sigue produciendo dolor y hace que estos pacientes tengan muchas posibilidades de sufrir más esguinces y de desarrollar otras lesiones en el tobillo”, ha destacado Malagelada.

Además de la observación anatómica en las disecciones realizadas en la Universidad de Barcelona, los investigadores han estudiado cómo se comportan dinámicamente los ligamentos. “El fascículo superior del ligamento talofibular anterior, además de ser intraarticular, no es una estructura isométrica, es decir, que se relaja cuando el pie está en flexión dorsal, y se tensa cuando está en flexión plantar. En cambio, el fascículo inferior, las fibras arciformes y el ligamento calcaneofibular, es decir, el complejo ligamentoso descrito, son estructuras extraarticulares y sí que son isométricas, por lo que siempre están en tensión en cualquier posición del pie”, ha concluido Manzanares.

Más investigación en la nueva estructura anatómica del tobillo

Debido a la gran novedad que representa esta estructura, se han iniciado varios proyectos de investigación sobre su biomecánica, histología y clínica, coordinados por este equipo de la UB y en colaboración con Francesc Roure, de la Universidad Politécnica de Cataluña; James Calder, del Imperial College de Londres, y Gino Kerkhoffs, de la Universidad de Ámsterdam. Se trata de un proyecto financiado por el Grupo de Investigación y Estudio en Cirugía Miniinvasiva del Pie (Grecmip).

#6 méthodes pour #arrêter de fumer enceinte

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Fumer enceinte ? Hors de question ! Et si vous profitiez de votre grossesse pour arrêter la cigarette ? Voici 6 méthodes d’aide au sevrage tabagique. Il y en a forcément une pour vous !

La sage-femme tabacologue

Pour toutes celles qui ne veulent pas fumer enceinte, la sage-femme tabacologue, c’est l’idéal ! Cette professionnelle de la naissance sait rassurer les plus angoissées et donner confiance à celles qui culpabilisent. Elle mesure le degré d’intoxication à l’aide d’un analyseur de monoxyde de carbone, établit un bilan physique et psycho-comportemental et peut prescrire des substituts nicotiniques. Les séances sont remboursées par la Sécurité sociale.
Rendez-vous sur le site de l’Association nationale des sages-femmes tabacologues !

L’acupuncture pour arrêter de fumer enceinte

L’acupuncture représente une solution idéale pour celles qui souhaitent arrêter de fumer enceinte. Pour cette médecine chinoise ancestrale, notre état de santé dépend de la bonne circulation de l’énergie vitale – le Qi – dans notre organisme. Cette énergie emprunte un certain nombre de voies, appelées méridiens, sur lesquelles sont situés des points clés que l’on peut stimuler à l’aide de fines aiguilles. L’acupuncture est une aide au sevrage tabagique qui ne dispense pas d’une certaine motivation ! Il est préférable de consulter un médecin ou une sage-femme possédant un DIU (diplôme interuniversitaire) d’acupuncture.
– Ça fonctionne comment ?
L’acupuncteur pose les aiguilles sur des points précis situés – pour le sevrage tabagique – sur les poignets, les oreilles, le nez et le haut du ventre. Il tient aussi compte de l’anxiété de la future mère, de son agressivité (quand elle n’a pas sa « dose »), de sa nervosité (elle se calme avec la cigarette)… Dès la fin de la première séance, le besoin de nicotine diminue, l’odeur de la fumée des autres écœure.
– Ça marche ?
Une séance peut suffire pour arrêter définitivement de fumer enceinte. Mais comptez-en en moyenne entre une et quatre, de vingt à trente minutes selon la dépendance.
– Pour qui ?
Les futures mamans qui ne veulent pas faire trop d’efforts, du premier au dernier jour de la grossesse. Le professionnel prend soin de ne pas piquer des points déconseillés pendant la grossesse, mais il peut piquer sur le ventre.
– Combien ça coûte ?
Entre 40 et 80€ en moyenne selon les régions. Les séances sont remboursées par la Sécurité sociale si l’acupuncteur est conventionné et si vous avez une ordonnance de votre médecin traitant.
Consultez le site de l’Association française d’acupuncture !

La thérapie cognitive et comportementale (TCC)

La thérapie cognitive et comportementale (TCC) vous propose de décortiquer vos habitudes et de vous déconditionner de l’envie de fumer pour ne pas fumer enceinte. Le professionnel évalue votre dépendance physique (le nombre quotidien de cigarettes), psychologique (fumez-vous par ennui, à cause du stress, pour vous donner une contenance… ?) et comportementale (fumer est-il associé à la tasse de café, à la pause avec les collègues, quand vous téléphonez ?…).
– Ça fonctionne comment ?
Vous allez devoir tenir un journal de bord dans lequel vous noterez, chaque jour de travail et de repos, à quel moment vous fumez et dans quelle situation, pourquoi et le plaisir ressenti. Vous allez vite comprendre que, souvent, le geste est automatique et qu’il n’y a pas de plaisir… Ensuite, le thérapeute vous demandera de changer les règles, de dissocier l’envie de cigarette du geste. Par exemple, fumer non plus en buvant votre café mais cinq minutes plus tard… Ceci entraînera petit à petit la suppression de certaines cigarettes. Il vous apprendra aussi à vous relaxer, à gérer votre stress et à exprimer vos émotions au lieu de les refouler. Il peut également vous conseiller l’utilisation d’un patch dans la journée.
– Ça marche ?
Tout dépend de votre motivation et de votre dépendance. Comptez au minimum un mois (et parfois beaucoup plus), à raison d’au moins une séance par semaine.
– Pour qui ?
Les futures mamans motivées qui veulent se prendre en charge et ne sont pas trop dépendantes de la cigarette (sinon il est conseillé de consulter un(e) tabacologue).
– Combien ça coûte ?
Entre 40 et 60 € la consultation, non remboursée sauf si c’est un médecin. Et malheureusement, cela est rare. Renseignements et liste de thérapeutes sur www.aftcc.org.
Vous trouverez plus de renseignements sur le site de l’Association française de thérapie cognitive et comportementale.

Les centres Allen Carr

Des réunions d’informations sont proposées pendant lesquelles les participants prennent conscience des mécanismes de la dépendance. Ce type d’accompagnement est parfait pour les futures mamans fumeuses qui aiment les groupes de parole et ne souhaitent pas fumer enceinte. Vous pouvez aussi lire La méthode simple pour en finir avec la cigarette, d’Allen Carr, aux Editions Pocket. Un livre de plus à consulter pendant votre grossesse !
N’hésitez pas à consulter le site d’Allen Carr !

L’auriculothérapie

Dérivée de l’acupuncture, elle est fondée sur la stimulation de points situés dans l’oreille. Le plus souvent pratiquée par les osthéopathes, les acupuncteurs ou les sophrologues, l’auriculothérapie est encore peu développée en France. Profitez de votre grossesse pour tester cette méthode anti-tabac !
Découvrez la liste des praticiens qui exercent en France ! 

L’hypnose

Pourquoi ne pas se faire hypnotiser pour arrêter de fumer enceinte ? C’est une approche assez voisine des TCC. L’hypnose aide à se déconditionner du tabac au moyen d’exercices simples basés sur la suggestion. Pour celles qui ont envie de travailler sur leurs émotions et de regarder leur corps autrement, c’est idéal ! Les séances sont remboursées par la Sécurité sociale uniquement si le thérapeute est un médecin conventionné.
Consultez le site de l’Association française pour l’étude de l’hypnose médicale !

Attention à la cigarette électronique pendant la grossesse !

Considérée comme un substitut au tabac (de la même manière que les patchs), la cigarette électronique simule l’acte de fumer en produisant une fumée artificielle inodore. Même si l’objectif, qui est de faire diminuer la consommation de cigarettes, est louable, l’e-cigarette n’est pas légalement considérée comme un médicament ou un dispositif médical.
Dans un communiqué daté du 30 mai 2011, l’Afssaps a recommandé de ne pas utiliser la cigarette électronique : “l’usage de ce produit expose (…) les utilisateurs qui n’étaient dépendants ni aux cigarettes, ni à la nicotine, à un risque de dépendance primaire“.
Même si elle ne contient pas les 4000 produits toxiques liés à la combustion du tabac, la cigarette électronique renferme tout de même de la nicotine… La cigarette électronique est donc fortement déconseillée aux femmes qui veulent arrêter de fumer enceinte.

#A incrível #conexão cérebro-intestino

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A comunicação estreita entre eles abre perspectivas para entender o papel da flora intestinal no surgimento de males que sabotam o foco e o bom humor

O coração, o fígado e os rins que nos perdoem, mas não há órgão mais fascinante que o intestino. A começar pelo seu tamanho descomunal: se abríssemos e esticássemos seus dois trechos – o delgado e o grosso -, ele ocuparia uma área de 250 metros quadrados, o equivalente a uma quadra de tênis. Tudo está enrolado e compactado dentro do ventre. E olha que isso nem é o aspecto mais interessante da coisa: o intestino tem neurônios e aloja trilhões de bactérias, boa parte delas envolvida em processos cruciais ao organismo. E você pensando que ele era um longo tubo por onde a comida passa, nutrientes são absorvidos e o que não é aproveitado vira cocô.

Espera: neurônios lá no abdômen? Sim, falamos das mesmíssimas células que constituem o cérebro. “O intestino tem cerca de 500 milhões delas”, calcula o gastroenterologista Eduardo Antonio André, do Hospital do Servidor Público Estadual, em São Paulo. É menos que a massa cinzenta, que tem bilhões, mas o suficiente para formar um sistema nervoso próprio, responsável por coordenar tarefas como a liberação de substâncias digestivas e os movimentos que estimulam o bolo fecal a ir embora. “Esses circuitos operam sozinhos, ou seja, independem do comando cerebral”, destaca André. Dá pra entender por que apelidaram o intestino de segundo cérebro?

 

Os neurônios intestinais chamam a atenção também pela sua farta produção de serotonina, molécula que nos leva ao estado de bem-estar – 90% da serotonina descarregada pelo corpo é fabricada ali. “Esse neurotransmissor é importante porque garante o funcionamento adequado do órgão”, diz o médico Henrique Ballalai, da Academia Brasileira de Neurologia. Mas se sabe que ele ainda pode exercer um efeito sistêmico. O fato é que a serotonina é só um dos mais de 30 mensageiros químicos montados no ventre.

Essas substâncias são encarregadas de transmitir recados de um lado para o outro e estabelecer comunicação eficiente entre o intestino e o cérebro de verdade. “Essa conversa acontece diretamente por meio do nervo vago, estrutura que passa pelo tórax e liga o sistema gastrointestinal à cabeça”, descreve o endocrinologista Filippo Pedrinola, da Sociedade Brasileira de Endocrinologia e Metabologia. O nervo vago é uma via de mão dupla: assim como o abdômen manda mensagens para a massa cinzenta, o correio inverso também ocorre. “É por isso que, diante de uma situação de estresse, podemos sentir frio na barriga ou vontade de ir ao banheiro”, esclarece Pedrinola.

Você não está sozinho

Há um terceiro elemento que interfere nessa conexão: a cada vez mais estudada flora intestinal. Microbiota, para sermos corretos. O intestino carrega cerca de 100 trilhões de bactérias, quantidade dez vezes superior ao número de células do corpo. Esse contingente representa de 2 a 3 quilos do peso total de um indivíduo. “A microbiota tem papel decisivo na manutenção da saúde. Ela auxilia a digerir alimentos e a nos proteger de infecções”, explica a microbiologista Regina Domingues, da Universidade Federal do Rio de Janeiro. A princípio, nossa relação com essas bactérias é pacífica e proveitosa para os dois lados: elas conseguem obter nutrientes necessários para sobreviver e, em troca, regulam nosso organismo.

prebioticos

De uns cinco anos pra cá, o interesse por essa metrópole microscópica só aumenta. Nos Estados Unidos, especialistas de 80 centros de pesquisa lançaram o Projeto Microbioma Humano, que mapeou todos os bichinhos que chamam nosso organismo de lar. A partir dessa iniciativa, hoje se começa a entender como a flora interfere na predisposição a várias doenças e é capaz de influenciar até o comportamento e as emoções das pessoas. “Nesse sentido, a microbiota é uma espécie de terceiro cérebro”, brinca o gastroenterologista Pierre Déchelotte, da Universidade de Rouen, na França. Brincadeira com um belo fundo de verdade.

Jonatan Sarmento Jonatan Sarmento

As bactérias intestinais produzem diversas moléculas que se intrometem na comunicação entre o sistema nervoso do abdômen e o lá de cima. De todos os micro-organismos que habitam o aparelho digestivo e passeiam por ele, a maior parcela é amiga. Há, porém, as frutas (ou melhor, bactérias) podres. E ai se elas encontram condição para se multiplicar… “Precisamos que os exemplares benéficos estejam sempre em maior número, porque, assim, controlam os nocivos”, resume a farmacêutica Yasumi Ozawa, da Yakult, pioneira nessas pesquisas.

Os cientistas ainda estão apurando todos os detalhes envolvidos, mas já conhecem alguns fatores que desequilibram a microbiota. “Uma alimentação muito rica em gordura, por exemplo, está associada ao desenvolvimento de bactérias ruins e à morte de espécimes bons. As manifestações disso são mais gases e distensão abdominal”, exemplifica o coloproctologista Sidney Klajner, do Hospital Israelita Albert Einstein, em São Paulo. A desordem ainda é deflagrada por estresse fora de controle e uso de antibióticos, que, para matar os vilões, acabam exterminando também os mocinhos.

 

Se os germes maléficos dominam o pedaço, é encrenca na certa. “Isso prejudica as paredes e os movimentos do intestino e dispara inflamações”, acusa o gastroenterologista Ricardo Barbuti, do Hospital das Clínicas de São Paulo. No dia a dia, o indivíduo tem dores, diarreia ou constipação. Só que o desarranjo local repercute na cabeça. Estímulos de confusão na barriga viajam até o cérebro e contribuem para o humor e a concentração irem por água abaixo. Sim, ficamos enfezados.

O impacto desses distúrbios na cachola motivou a Federação Brasileira de Gastroenterologia (FBG) a realizar o primeiro estudo sobre a saúde intestinal da mulher brasileira – por razões hormonais, elas estão mais sujeitas a enroscos no abdômen do que os homens. Dois terços das 3 029 entrevistadas declararam ter inchaço no ventre, flatulências e prisão de ventre. Quando questionadas de que maneira os incômodos influenciavam na qualidade de vida, 89% diziam ter variações de humor e 88% reclamavam de menos concentração nas tarefas cotidianas. “Esses números nos mostram, na prática, como os sintomas abdominais chegam a modificar comportamentos”, resume a imunologista Violeta Niborski, gerente da Danone, empresa que participou do levantamento.

Cabeça em apuros

Os médicos já sabem que condições como a síndrome do intestino irritável, marcada por diarreia ou dificuldade de ir ao banheiro sem razão aparente, propiciam nervosismo e depressão – assim como a ansiedade e o baixo-astral desequilibram a flora e patrocinam as crises. Acontece que as interações perigosas não param por aí: a microbiota parece fazer diferença na probabilidade de desenvolvermos problemas neurológicos. Ao comparar ratinhos de laboratório criados para não ter bactérias no intestino com animais dotados de flora, cientistas irlandeses observaram que os primeiros desenvolviam características típicas do autismo, como gastar tempo demais interagindo com um objeto.

Há indícios de que até o Parkinson, doença que provoca tremores, começaria lá no abdômen. Especialistas da Universidade College London, na Inglaterra, constataram, após analisar milhares de pessoas, que a constipação é uma das primeiras manifestações do distúrbio. “Uma hipótese sugere que a microbiota alterada leve à destruição de neurônios intestinais e isso progrida até o cérebro”, conta Ballalai. O mesmo princípio explicaria o Alzheimer, que consome as memórias. Apesar de curiosos, esses achados são recentes e carecem de mais provas. “Por ora, a maioria dos estudos está restrita a animais e não pode ser extrapolada para nossa realidade”, contextualiza a médica Maria do Carmo Friche, presidente da FBG.

Mas é possível prevenir, ou até reverter, desequilíbrios na microbiota intestinal? A resposta é sim. A flora pode ser modulada para que as bactérias do bem vivam em paz ou voltem a reinar. E isso é obtido, em parte, via alimentação, quando se investe nos probióticos, lácteos enriquecidos com micro-organismos benéficos à saúde. Mas fique atento ao rótulo: nem todo iogurte, por exemplo, é probiótico. Repare se a embalagem informa isso e qual sua concentração de bactérias, medida em UFC (unidade formadora de colônia). “O produto precisa ter de 2 a 10 bilhões de UFC por dose”, avisa Pedrinola. Ah, probióticos também estão disponíveis hoje em cápsulas e sachês.

Só que não dá pra engolir um monte de bichinhos e se esquecer de alimentar a flora local. Essa é a função dos prebióticos. “Eles são ricos em fibras solúveis, que o sistema digestivo não aproveita sem a cooperação da microbiota”, define o microbiologista Arthur Ouwehand, da Divisão de Nutrição & Saúde da DuPont, na Finlândia. Tais componentes, encontrados em vegetais como a cebola e a aveia, nutrem as bactérias. E elas, por sua vez, agradecem devolvendo vantagens ao nosso corpo.

  • Microbiota ou flora intestinal para a saúde

Pílulas de bactérias?!

O campo de estudos de intervenções na flora intestinal avançou nos últimos anos e já se veem boas tentativas de atenuar doenças mexendo com o nosso padrão de micróbios. Recorrer a bactérias das classes dos lactobacilos e bifidobactérias já é uma receita para abrandar a síndrome do intestino irritável, por exemplo. “Talvez, no futuro, tenhamos cepas de micro-organismos específicas para prescrever a cada problema de saúde”, especula Barbuti.

O fato é que hoje se discute se isso seria viável e efetivo para ajudar até a domar transtornos neurológicos ou psiquiátricos. “Em tese, seria possível introduzir bactérias pensando em ganhos cerebrais e comportamentais”, informa Regina Domingues. E olha que estudos iniciais já trazem resultados surpreendentes. Na Universidade da Califórnia, nos Estados Unidos, 36 mulheres foram divididas em dois grupos: o primeiro consumiu lácteos com probióticos durante um mês. O segundo tomou uma bebida sem aditivos. Após esse período, todas as voluntárias passaram por um teste em que olhavam para fotografias de indivíduos com feições de raiva ou medo. Enquanto elas participavam da tarefa, seu cérebro era analisado por um aparelho de ressonância magnética. O resultado: nas mulheres que ingeriram os probióticos, as áreas da massa cinzenta responsáveis por processar as emoções ficavam muito menos ativas, sinal de que estavam mais calmas e relaxadas. Na vida real, isso implica estar preparado para lidar melhor com os reveses do cotidiano.

E se lembra dos cientistas que apuravam o elo entre flora e autismo em ratinhos? Pois essa equipe, baseada na Universidade College Cork, na Irlanda, fez outra experiência impressionante. Eles administraram probióticos a camundongos com traços depressivos por algumas semanas. Depois, botaram os roedores para nadar numa bacia funda, situação em que corriam o risco de se afogar – esse é um modelo clássico de laboratório para estudar a apatia em animais. Em comparação com os bichos que não receberam a dose de probióticos, os ratos com intestino equilibrado lutavam mais tempo e com mais força para se salvar. Sinal claro de que não queriam desistir da vida. Se pudéssemos transpor os resultados para nós, seres humanos, daria pra dizer que foi observado um autêntico efeito antidepressivo.

Como se vê, a investigação do eixo intestino-microbiota-cérebro é fresquinha, mas um tanto promissora. Alguns especialistas já chegaram a comparar o potencial de intervir ali ao das prestigiadas células-tronco. E tomara que ele se concretize. Quem sabe a resposta a vários problemas não esteja realmente bem debaixo do nosso umbigo?

#Bacterial vaginosis: can antibiotics reduce late #miscarriages or spontaneous very #preterm birth?

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  • The Lancet

Background

Preterm delivery during pregnancy (<37 weeks’ gestation) is a leading cause of perinatal mortality and morbidity. Treating bacterial vaginosis during pregnancy can reduce poor outcomes, such as preterm birth. We aimed to investigate whether treatment of bacterial vaginosis decreases late miscarriages or spontaneous very preterm birth.

Methods

PREMEVA was a double-blind randomised controlled trial done in 40 French centres. Women aged 18 years or older with bacterial vaginosis and low-risk pregnancy were eligible for inclusion and were randomly assigned (2:1) to three parallel groups: single-course or triple-course 300 mg clindamycin twice-daily for 4 days, or placebo. Women with high-risk pregnancy outcomes were eligible for inclusion in a high-risk subtrial and were randomly assigned (1:1) to either single-course or triple-course clindamycin. The primary outcome was a composite of late miscarriage (16–21 weeks) or spontaneous very preterm birth (22–32 weeks), which we assessed in all patients with delivery data (modified intention to treat). Adverse events were systematically reported. This study is registered with ClinicalTrials.gov, number NCT00642980.

Findings

Between April 1, 2006, and June 30, 2011, we screened 84 530 pregnant women before 14 weeks’ gestation. 5630 had bacterial vaginosis, of whom 3105 were randomly assigned to groups in the low-risk trial (n=943 to receive single-course clindamycin, n=968 to receive triple-course clindamycin, and n=958 to receive placebo) or high-risk subtrial (n=122 to receive single-course clindamycin and n=114 to receive triple-course clindamycin). In 2869 low-risk pregnancies, the primary outcome occurred in 22 (1.2%) of 1904 participants receiving clindamycin and 10 (1.0%) of 956 participants receiving placebo (relative risk [RR] 1.10, 95% CI 0.53–2.32; p=0.82). In 236 high-risk pregnancies, the primary outcome occurred in 5 (4.4%) participants in the triple-course clindamycin group and 8 (6.0%) participants in the single-course clindamycin group (RR 0.67, 95% CI 0.23–2.00; p=0.47). In the low-risk trial, adverse events were more common in the clindamycin groups than in the placebo group (58 [3.0%] of 1904 vs 12 [1.3%] of 956; p=0.0035). The most commonly reported adverse event was diarrhoea (30 [1.6%] in the clindamycin groups vs 4 [0.4%] in the placebo group; p=0.0071); abdominal pain was also observed in the clindamycin groups (9 [0.6%] participants) versus none in the placebo group (p=0.034). No severe adverse event was reported in any group. Adverse fetal and neonatal outcomes did not differ significantly between groups in the high-risk subtrial.

Interpretation

Systematic screening and subsequent treatment for bacterial vaginosis in women with low-risk pregnancies shows no evidence of risk reduction of late miscarriage or spontaneous very preterm birth. Use of antibiotics to prevent preterm delivery in this patient population should be reconsidered.

Funding

French Ministry of Health.

#Entre #genética y #estilo de vida

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La herencia puede predisponer a desarrollar hipercolesterolemia, pero los expertos coinciden en que lo más determinante es el estilo de vida en general y, más concretamente, el tipo de dieta que se sigue, un factor que, por suerte, se puede modificar. Con la colaboración de Mylan.

Respecto a los aspectos implicados en la aparición de esta enfermedad, Vicente Arrarte explica que la hipercolesterolemia viene asociada a distintos factores: “unos genéticos, como el trastorno hereditario, y otros relacionados con los hábitos de vida. Una alimentación inadecuada, el sedentarismo y la obesidad se asocian con la aparición y un peor control de este factor de riesgo”.

Para Escobar, aunque en la etiopatogenia de la hipercolesterolemia contribuyen factores genéticos, y en otras ocasiones se asocia a ciertas patologías, lo cierto es que son los factores ambientales, y en particular la dieta, los que tienen un impacto más relevante en el desarrollo de la dislipemia: “De hecho, los cambios en el estilo de vida (dieta, sedentarismo, obesidad) están haciendo que las cifras de colesterol estén aumentando en nuestro entorno, no sólo en la población adulta sino, lo que es más preocupante, también en los niños y adolescentes”.

Factor determinante

Jesús Millán, por su parte, señala que el factor genético es determinante para mantener un grupo de muy alto riesgo en la población general: “Las hipercolesterolemias por alteración de un gen pueden tener su origen en una mutación genética en el receptor de LDL (las tres cuartas partes de los casos), en la apoB o en PCSK9. Aproximadamente uno de cada 500 individuos tienen una hipercolesterolemia familiar heterocigótica, y uno de cada millón de individuos presenta una forma homocigótica”.

 

Barrios hace hincapié en la importancia que tiene la actividad física: “Sin duda el sedentarismo interviene tanto en el desarrollo de hipercolesterolemia en sujetos que tienen un colesterol normal y debido a la falta de actividad física pueden aumentar sus cifras, llegando a una situación de hipercolesterolemia, como también a los pacientes que ya tienen la enfermedad, en el sentido de que el sedentarismo puede dificultarles un buen control de la misma, ya que habitualmente se asocia con obesidad, síndrome metabólico y diabetes. Por tanto, el sedentarismo per se lo que hace es favorecer el sobrepeso, lo que consecuentemente altera el perfil lipídico. Algo similar ocurre con el estrés y las emociones, aunque aquí la relación no es tan directa. El factor emocional afecta más al componente funcional que al propio perfil lipídico, pero si es cierto que las emociones pueden derivar en una situación de ansiedad que al final favorece una ingesta excesiva de alimentos y también una reducción de la práctica de ejercicio físico, dando lugar a sobrepeso y obesidad, pero la incidencia se produce más por el aumento de peso que a través de la propia situación emocional”.

Lo más común es que este paciente presente otras comorbilidades asociadas

Además de los factores desencadenantes, hay que tener en cuenta las comorbilidades que tiene la hipercolesterolemia. En este sentido, Vicente Arrarte recuerda que los factores de riesgo cardiovascular tienden a asociarse, “y, por ello, la obesidad suele relacionarse con trastornos metabólicos que llevan a la diabetes y a la dislipemia. Otros factores de riesgo, como la hipertensión y el tabaquismo, tienden a potenciar la aterogénesis cuando se suman a la dislipemia”.

Carlos Escobar comenta que estudios realizados en España muestran que aproximadamente dos tercios de los pacientes con hipercolesterolemia presentan al menos otro factor de riesgo cardiovascular, y que uno de cada tres padece enfermedad cardiovascular establecida: “Afortunadamente, en los últimos años existe una concienciación evidente por parte de los médicos acerca de la importancia que tiene valorar globalmente el riesgo cardiovascular del paciente, de tal forma que ante un paciente que tenga un factor de riesgo se debe investigar la presencia de otros. De poco sirve controlar un factor de riesgo de manera aislada si no se hace nada por abordar y manejar el resto”.

 

Lo último

Según un estudio de la Universidad Católica de Corea, grandes fluctuaciones en las cifras de colesterol y de otros factores podrían aumentar el riesgo de ECV o ataque cardiaco. En el estudio, publicado en Circulation, se analizaron los datos de 7 millones de adultos cubiertos por la aseguradora del gobierno coreano. Se observó que las personas con más variabilidad en las cuatro medidas valoradas (IMC, presión arterial, colesterol y azúcar en sangre) tenían 127 más probabilidades de morir; 43 por ciento más de sufrir un ataque al corazón y un riesgo un 41 por ciento mayor de ECV. Para los autores, estos datos muestran la importancia de concienciar sobre la necesidad de mantener estos parámetros estables en el tiempo, y de no relajarse ante analíticas favorables.

#Low Blood Sugar (Hypoglycemia)

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What is low blood sugar?

Low blood sugar, also known as hypoglycemia, can be a dangerous condition. Low blood sugar can happen in people with diabetes who take medications that increase insulin levels in the body.

Taking too much medication, skipping meals, eating less than normal, or exercising more than usual can lead to low blood sugar for these individuals.

Blood sugar is also known as glucose. Glucose comes from food and serves as an important energy source for the body. Carbohydrates — foods such as rice, potatoes, bread, tortillas, cereal, fruit, vegetables, and milk — are the body’s main source of glucose.

After you eat, glucose is absorbed into your bloodstream, where it travels to your body’s cells. A hormone called insulin, which is made in the pancreas, helps your cells use glucose for energy.

If you eat more glucose than you need, your body will store it in your liver and muscles or change it into fat so it can be used for energy when it’s needed later.

Without enough glucose, your body cannot perform its normal functions. In the short term, people who aren’t on medications that increase insulin have enough glucose to maintain blood sugar levels, and the liver can make glucose if needed.

However, for those on these specific medications, a short-term reduction in blood sugar can cause a lot of problems. Your blood sugar is considered low when it drops below 70 mg/dL. Immediate treatment for low blood sugar levels is important to prevent more serious symptoms from developing.

What are the symptoms of low blood sugar?

Symptoms of low blood sugar can occur suddenly. They include:

People with hypoglycemic unawareness do not know their blood sugar is dropping. If you have this condition, your blood sugar can drop without you noticing it. Without immediate treatment, you can faint, experience a seizure, or even go into a coma.

Very low blood sugar is a medical emergency. If someone you know has diabetes and they’re experiencing mild to moderate symptoms, have them eat or drink 15 grams of easily digestible carbohydrates, such as:

  • half a cup of juice or regular soda
  • 1 tablespoon of honey
  • 4 or 5 saltine crackers
  • 3 or 4 pieces of hard candy or glucose tablets
  • 1 tablespoon of sugar

If someone is having a severe reaction, such as unconsciousness, it’s important to administer a medication called glucagon and contact emergency services immediately.

People who are at risk for low blood sugar should talk to their doctor about getting a prescription for glucagon. You should never give an unconscious person anything by mouth, as it could cause them to choke.

What causes low blood sugar?

Low blood sugar can occur for a number of reasons. It’s usually a side effect of diabetes treatment.

Diabetes and low blood sugar

Diabetes affects your body’s ability to use insulin. Think of insulin as the key that unlocks your cells, letting glucose in for energy.

People with diabetes use a variety of treatments to help their bodies use the glucose in their blood. Among these are oral medications that increase insulin production and insulin injections.

If you take too much of these types of medications, your blood sugar may drop too low. People also sometimes experience low blood sugar when planning to eat a big meal, but then they do not eat enough.

Skipping meals, eating less than normal, or eating later than normal but taking your medication at your normal time can also lead to low blood sugar levels.

Unplanned excess physical activity without eating enough can also cause a drop in blood sugar levels.

Drinking alcohol when you’re on these medications can also lead to low blood sugar, especially if it replaces food. When the body is trying to get rid of alcohol it becomes worse at managing blood sugar levels.

Other causes of low blood sugar

You don’t have to have diabetes to experience low blood sugar. Some other causes of low blood sugar include:

How is low blood sugar diagnosed?

If you suspect you have low blood sugar, it’s important to check your blood sugar right away. If you don’t have a meter and you’re on diabetes medications that increase insulin, talk to your doctor about getting a blood glucose meter.

If you experience low blood sugar often — say, a few times a week — see your doctor right away to determine why. Your doctor will begin your visit by taking your medical history, asking questions about your eating habits, and learning more about the symptoms you’re experiencing.

If you don’t have diabetes but suspect you have hypoglycemia, talk to your doctor about your symptoms. They will perform a physical examination. They will use three criteria, sometimes referred to as “Whipple’s triad,” to diagnose low blood sugar. These include:

  • Signs and symptoms of low blood sugar: Your doctor may require you to fast, or abstain from drinking and eating for an extended period of time, so they can observe your low blood sugar signs and symptoms.
  • Documentation of low blood sugar when your signs and symptoms occur: Your doctor will perform a blood test to analyze your blood sugar levels in a laboratory.
  • Disappearance of the signs and symptoms of low blood sugar: Your doctor will want to know whether the signs and symptoms go away when your blood sugar levels are raised.

Your doctor may send you home with a blood glucose meter — a small, handheld blood testing device — to track your blood sugar over time at home. They will give you instructions to test your blood sugar during certain times of the day, such as after waking up and after eating meals.

To perform a blood sugar test, you will need to prick your finger with a lancet (provided in your blood glucose test kit). You’ll put a small sample of blood from this onto a strip inserted into the blood glucose meter.

If you don’t have a blood sugar testing machine on hand and are experiencing signs or symptoms of low blood sugar with diabetes, those symptoms may be enough to diagnose low blood sugar.

Be sure to treat it right away. Use the tips for eating 15 grams of carbohydrate described above. Test again in 15 minutes, and if your blood sugar is not increasing, treat with another 15 grams of carbs.

If your blood sugar remains unresponsive, contact your doctor or emergency services. When in doubt, treat.

Symptoms of low blood sugar usually get worse if they’re left untreated. Make an appointment to see a doctor if you have diabetes and experience low blood sugar levels often, or if you have symptoms, even if you don’t have diabetes.

How are low blood sugar levels treated?

When your blood sugar levels are too low, eating something made of carbohydrates is key. If you have diabetes, try to keep high-carbohydrate snacks on hand.

The American Diabetes Association recommends that your snack have at least 15 grams of carbohydrates. Some good snacks to keep on hand include:

  • granola bars
  • fresh or dried fruit
  • fruit juice
  • pretzels
  • cookies

You also can take glucose tablets to rapidly raise your blood sugar if it’s low. These are available without a prescription. It’s important to check how many grams are in each tablet before taking them. Aim to get 15 to 20 grams of carbohydrates.

Wait 15 minutes after eating or taking a glucose tablet, and test your blood sugar again. If your blood sugar is not going up, eat another 15 grams of carbohydrates or take another dose of glucose tablets. Repeat this until your blood sugar level starts to rise.

If your regularly scheduled meal is not for a while, eat a small snack after the low blood sugar episode.

Be sure not to overeat! This could lead to blood sugar levels that are too high.

Complications from spells of low blood sugar

Mildly low blood sugar levels are somewhat common for people with diabetes; however, severely low blood sugar levels can be life-threatening. They may lead to seizures and nervous system damage if left untreated long enough. Immediate treatment is critical.

It’s important to learn to recognize your symptoms and treat them fast. For people at risk of low blood sugar, having a glucagon kit — a medication that raises blood sugar levels — is important. Talk to your doctor for more information.

You may also want to talk with friends, family members, exercise partners, and coworkers about how to care for you if your blood sugar drops too low.

They should learn to recognize low blood sugar symptoms and know how to use the glucagon kit, as well as understand the importance of calling 911 if you lose consciousness.

Wearing a medical identification bracelet is a good idea. It can help emergency responders care for you properly if you need emergency attention.

Treat low blood sugar as soon as possible. Avoid driving if you are experiencing low blood sugar, as it can increase your risk of having an accident.

How can episodes of low blood sugar be prevented?

There are several ways that you can prevent low blood sugar.

Check often

Regularly checking your blood sugar level can help you keep it in your target range. If you’ve had low blood sugar episodes in the past, you may wish to check your blood sugar levels before driving or operating machinery.

Talk to your doctor about when and how often you should check your blood sugar.

Snack smart

Consider having a snack before you leave your home, if you know it will be more than five hours until your next full meal or if your blood sugar levels are less than 100 mg/dL.

It’s a good idea to keep carbohydrate-rich snacks on hand with you at all times in case your blood sugar dips while you’re out and about. As mentioned above, some good choices include granola bars, fresh or dried fruit, fruit juice, pretzels, and cookies.

Fuel during exercise

Exercise uses up energy, so it can quickly cause your blood sugar to drop if you haven’t eaten correctly beforehand. First, check your blood sugar one to two hours before exercise to make sure it’s within your target range before engaging in exercise.

If it’s too low, eat a small meal or snack rich in carbohydrates.

If you plan to exercise for an hour or more, consume additional carbohydrates during your workout. Exercise gels, sports drinks, granola bars, and even candy bars can provide the body with a quick burst of glucose during exercise.

Work with your doctors to come up with the right program for you.

Moderate-to-intense exercise can cause blood glucose to drop for up to 24 hours after exercise. So you should check your blood glucose immediately after exercise and every two to four hours afterward up until you go to sleep. Avoid intense exercise immediately before bed.

Listen to your doctor

If you follow a meal plan or take medications that increase insulin to control your low blood sugar, it’s important to stick to the plan your doctor gave you to prevent drops in blood sugar.

Not eating the right foods or taking the right medications at the right times can cause your blood sugar to drop. Check in often with your doctor so they can adjust your treatment plan when necessary.

 

 

Healthline

#Descoberto potencial indicador para deteção precoce da Alzheimer 

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Fonte de imagem: Alzheimer’s Fund

Uma equipa de investigadores poderá ter descoberto um fator que poderá ajudar a detetar precocemente doenças neurodegenerativas como a Parkinson e a Alzheimer.

Segundo os investigadores da Universidade da Basileia, Suíça, de Cambridge, Reino Unido, e de Pádua, Itália, esta citocina é induzida por reações ao stress celular na sequência de perturbações nas mitocôndrias, que os mesmos descrevem como sendo “as centrais de energia das células”.

O funcionamento normal das células humanas baseia-se na interação coordenada de diferentes organelos celulares. Em muitos casos, as falhas de comunicação entre estes organelos conduzem à ativação de uma resposta de stress para garantir a sobrevivência das células afetadas.

Os investigadores liderados por Stephan Frank, da Universidade da Basileia, conseguiram demonstrar detalhadamente aquele fenómeno nos neurónios. A equipa demonstrou que as falhas ocorridas ao nível das mitocôndrias dos mesmos afetam também os organelos vizinhos, como o retículo endoplasmático.

A ativação consecutiva de uma reação de stress faz com que os neurónios afetados libertem uma hormona conhecida como fator de crescimento de fibroblastos 21 (FGF21). A equipa observou que esta mesma substância é também induzida em vários modelos de doenças neurodegenerativas, e pode ser detetada antes de ocorrer morte neuronal.

Considerando que o stress células crónico é um importante fator no desenvolvimento de doenças neurodegenerativas, o FGF21 poderá ser potencialmente usado como biomarcador nestas doenças, quando se encontram em fases pré-sintomáticas.

Contudo, o FGF21 pode ser também produzido por outros tecidos e órgãos, tornando-se assim necessários mais testes rigorosos. Não obstante, a descoberta de um biomarcador robusto representará um avanço importante para desenvolver novas abordagens de atuação sobre o stress crónico celular e de proteção neuronal.

Banco da Saúde