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#Faut-il un “#protocole commotion” dans le #cyclisme? L’éclairage du Dr Eric Bouvat, médecin de l’équipe AG2R La Mondiale

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France — Victime d’une chute lors de la 13e étape du Tour de France, Romain Bardet remonte sur son vélo et franchit la ligne d’arrivée. Le soir même, dans un communiqué, le Dr Eric Bouvat, médecin de l’équipe professionnelle AG2R La Mondiale et du centre de formation dont fait partie le coureur cycliste, fait savoir : « Romain souffre d’une commotion cérébrale dont l’intensité et les signes qu’il présentait après l’étape ont nécessité que notre équipe médicale lui fasse passer un scanner cérébral au CHU de Clermont-Ferrand, […]. Cet examen n’a pas révélé de lésion. Il est cependant nécessaire que Romain Bardet stoppe ses activités sportives et il ne pourra donc pas reprendre le départ de l’étape demain ». Pour des raisons médicales, la Grande Boucle prend fin pour Romain Bardet, pour qui la reprise ne se fera pas avant plusieurs semaines. Dans le même temps, des questions émergent sur la sécurité des coureurs en course.

Faut-il un protocole “commotion cérébrale” dans le cyclisme comme dans les sports de contact, comme l’a évoqué lui-même Romain Bardet dans une interview au Parisien . Faut-il davantage faire appel à la vidéo ? Nous avons demandé au Dr Bouvat – que nous avions déjà interviewé fin août – des précisions sur la prise en charge médicale d’un sportif lors d’une chute sur une course cycliste et sur les pistes possibles pour l’optimiser.

Sur cette même thématique, lire l’interview du Pr Pierre Clavelou, spécialiste des commotions cérébrales dans le sport :«Dans le cas de Romain Bardet, tout ce qui devait être fait l’a été»

Medscape édition française : Qui est en charge des décisions médicales lorsque se produit un accident dans une course cycliste comme le Tour de France ?

Dr Eric Bouvat : Pendant la course, c’est le médecin de l’organisation de la course [Pour le Tour, le Dr Florence Pommerie, ndlr] qui est responsable et qui prend en charge les patients sportifs en cas d’accidents ou de problème médical.  En revanche, avant et après la course, c’est le médecin d’équipe. Pendant la course, nous, médecins d’équipes n’avons pas à agir. A la limite, nous « n’avons pas le droit d’agir » puisqu’il y a un médecin de course, accompagné d’un système médical roulant gradué, dont le staff intervient en fonction de la gravité estimée de l’incident. Donc, pendant toute la durée de la course, les coureurs sont les patients du médecin de course.

Medscape édition française : Comment fait-on pour gérer l’ensemble des coureurs ?

Dr Eric Bouvat : Avec 176 coureurs dans 22 équipes au départ du Tour 2020, il est évident qu’il n’y a pas un médecin de course derrière chacun d’entre eux, mais plusieurs, répartis dans des voitures et des ambulances tout du long du parcours. Malgré tout, il reste néanmoins très peu fréquent que le médecin assiste à la chute d’un coureur. Et il n’existe pas à ce jour de système de montage vidéo qui permette de voir dans la minute ce qui s’est passé.

Quand le médecin est proche de l’incident, il se rend sur place pour comprendre comment le traumatisme s’est produit et examiner le cycliste qui a chuté. Mais quand il s’est produit plusieurs chutes espacées sur une courte période, alors le médecin remonte dans la voiture, et va voir les coureurs un par un – lesquels, entre-temps, sont remontés sur leur vélo et repartis – avant de prendre la décision qui s’impose (quand c’est nécessaire). Ce sont généralement des médecins formés et habitués à prendre en charge des traumatismes de la voie publique. En revanche, dès que le coureur termine l’étape, le médecin d’équipe reprend la main, après que le médecin de course lui a fait les transmissions médicales adéquates et des préconisations de prise en charge. C’est ensuite au médecin d’équipe, au vu des informations qu’il a reçues (ralentis des images télévisées, propos recueillis, mais surtout de la clinique de son patient), qui décide de la marche à suivre d’un point de vue médical.

Medscape édition française : Quelle a été votre décision dans le cas de Romain Bardet ?

Dr Eric Bouvat : Au vu de ses symptômes, nous avons fait réaliser un scanner immédiatement après l’arrivée de la course et décidé de l’arrêt du Tour. Nous avons toutefois demandé une IRM le lendemain pour vérifier les images du scanner qui étaient difficiles à interpréter. Nous allons désormais établir un programme pour sa récupération.

Medscape édition française : La question des commotions cérébrale s’est déjà posé dans le cyclisme ?

Dr Eric Bouvat : La question du traumatisme crânien – voire même du décès par traumatisme grave – se pose à chaque fois de façon différente. D’ailleurs, ce n’est pas le traumatisme crânien qui est problématique en soi mais le traumatisme encéphalique, quand l’encéphale se cogne à la boîte crânienne et par décélération va créer des lésions à l’intérieur du cerveau. Le tout est de proposer et de mettre en place un système encore plus efficace en termes de prise en charge.

Medscape édition française : Quels progrès a-t-on fait dans le domaine de la protection des blessures à la tête chez les cyclistes ?

Dr Eric Bouvat : Les choses avancent, mais lentement. Quand j’étais coureur cycliste à l’adolescence, on s’entrainait sans casque et on participait aux courses coiffé d’un casque à boudin. Dans les catégories senior, la seule protection que l’on portait était…une casquette ! Depuis, les mesures de protection ont évolué. Désormais, le casque est obligatoire en course et on le porte aussi à l’entrainement. Ce n’est pas le cas chez nous, mais certains pays ont adopté une législation où le port du casque est obligatoire dès que l’on prend son vélo – c’est le cas en Australie, en Nouvelle-Zélande, et en Espagne hors agglomération–, et son absence sanctionnée par une amende [En France, le port du casque est obligatoire pour les – de 12 ans, conducteur ou passager, depuis mars 2017, ndlr]. Il existe par ailleurs des « protocoles » écrits de prise en charge des traumatismes crâniens, applicables notamment dans le football américain et dans la boxe. Le cyclisme n’est pas a priori le sport le plus concerné, mais s’il faut faire évoluer les choses – au-delà des protocoles médicaux qui existent déjà – pour aller vers plus de précautions vis-à-vis des blessures graves des sportifs, on le fera.

Medscape édition française : Quels pistes pourrait-on évoquer pour optimiser le repérage et la prise en charge des coureurs en course ?

Dr Eric Bouvat : On peut discuter, la question de la formation des personnels non-médicaux, qui sont susceptibles d’être les premiers présents sur le site de la chute lors des courses. On forme bien les gens à faire un massage cardiaque, pourquoi ne pas les former aux premiers gestes en cas de trauma crânien.

On doit aussi s’interroger sur le rôle des images et de la vidéo, qui aujourd’hui n’est pas présente partout sur la course. En effet, dans ces accidents (équivalent à ceux de la voie publique), qui ont souvent lieu à grande vitesse, le premier élément dont le médecin a besoin, est de savoir quel a été exactement le mécanisme du traumatisme car de celui-ci va dépendre les lésions que l’on va avoir à soupçonner et qui vont donc conditionner les décisions la prise en charge initiale. Faudrait-il utiliser des caméras portatives de type « GoPro » ou bien des drones pour survoler la course – même si dans les étapes de montagne, on peut avoir plusieurs pelotons différents, ce qui ne simplifie pas la tâche ? Il pourrait exister un médecin superviseur de course ayant l’accès immédiat à la vidéo. Faut-il imaginer des capteurs placés dans les casques qui pourraient donner des indications sur l’importance de l’impact sur le crâne ? Il faut systématiser le passage d’information entre médecin de course et médecin d’équipe après les arrivées lorsqu’un coureur a été blessé. Beaucoup d’options mériteraient d’être discutées.

Medscape édition française : Peut-on envisager de médiquer le coureur blessé pendant la course ?

Dr Eric Bouvat : Non, il faut empêcher ou au moins réglementer la délivrance de médicaments pendant la course, alors que le coureur est en plein effort et que donc son tube digestif est en souffrance. Les risques de effets indésirables médicamenteux sont ainsi très augmentés. De plus, délivrer à l’aveugle, sans examen préalable, un médicament à un sportif en plein effort va à l’encontre de toute bonne pratique médicale.

De façon générale, l’optimisation de la prise en charge relève à la fois de questions d’organisation, de formation et de l’évaluation de tous les paramètres qui entrent en compte, de façon à pouvoir agir sur les plus efficaces.

Medscape édition française : Et quand c’est le coureur, lui-même, qui veut remonter sur le vélo ?

Dr Eric Bouvat : De même qu’un médecin dans son cabinet va convaincre son patient qu’il doit prendre du repos, le médecin de course doit expliquer au cycliste que les arguments médicaux dont il dispose lui interdisent, pour sa santé, de remonter sur son vélo. Mais, c’est loin d’être facile, car prendre la bonne décision au bon moment dans un contexte de course suppose de disposer de médecins ayant beaucoup d’expérience et de compétences.

Les médecins supervisant les combats de boxe, s’ils prennent la décision de jeter l’éponge pour protéger la santé de leur boxeur, sont suivi obligatoirement dans leurs décisions d’où l’arrêt définitif du combat. Cela devrait être la même chose dans tous les sports à risque de lésions graves. Il faudra cependant sans doute former des médecins à cet exercice qui nécessite pour eux de prendre leurs responsabilités en toute connaissance de cause.

 

 

 

 

 

 

 

#Cirurgia de remoção do glioma de alto grau aumenta sobrevida

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Fonte de imagem: Neuro Central

Investigadores do Centro do Cancro Johns Hopkins Kimmel sugerem num estudo que remover os gliomas de alto grau do tronco cerebral aumenta o tempo de sobrevida dos doentes para além daquele oferecido pela radio e quimioterapia.

A sobrevivência dos doentes com este tumor é ainda muito baixa, com uma média de 8 meses de vida após o diagnóstico para aquelas pessoas submetidas apenas a biópsia.

A maioria dos gliomas de alto grau forma-se nas células da glia. Apenas uma pequena percentagem tem origem no tronco cerebral, uma estrutura central e essencial às funções corporais, como a respiração ou ritmo cardíaco.

Dada a importância desta zona, os gliomas de alto grau do tronco cerebral são tratados apenas com quimio e radioterapia. Contudo, ultimamente os médicos têm conseguido aceder cirurgicamente e com segurança ao tumor.

Para o presente estudo, a equipa de investigadores analisou dados de 103 doentes norte-americanos com este tipo de tumor entre 1973 e 2015, dos quais 15% foram submetidos a biópsia e 85% a alguma intervenção cirúrgica. Destes últimos, 19% removeram totalmente o tumor.

Foi encontrada uma grande diferença entre os três grupos em termos de sobrevida. Os doentes submetidos apenas a biópsia viveram em média 8 meses após o diagnóstico, contra 11 meses daqueles submetidos a remoção parcial e 16 meses dos submetidos a remoção total do tumor.

Dos pacientes com fatores que contribuem para um maior tempo de vida, como a juventude ou estado civil, a média de sobrevida naqueles submetidos a remoção total foi até 4 vezes mais alta que os pacientes submetidos apenas a biópsia.

Os investigadores esperam que no futuro seja possível aumentar ainda mais o tempo de vida ao identificar biomarcadores que ajudem a personalizar os tratamentos para cada paciente.

 

In Banco da Saúde

#Descubren que la #proteína tau también está presente en los# gliomas

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La proteína tau, presente en cerebros con neurodegeneración, también se expresa en los gliomas. Este descubrimiento supondría un giro en las terapias oncológicas y neurodegenerativas

Relacionan los gliomas malignos con enfermedades neurodegenerativas.

Investigadores de la Unidad Funcional de Investigación de Enfermedades Crónicas del Instituto de Salud Carlos III (ISCIII), en colaboración con investigadores de la Asociación Española de Lucha contra el Cáncer (AECC), del CiberNED y del Centro de Biología Molecular del CSIC y con médicos del Hospital 12 de Octubre, integrados en el Instituto de Investigación Sanitaria i+12, han descubierto una conexión entre los gliomas y las enfermedades neurodegenerativas. Entre sus conclusiones, los investigadores destacan que el hallazgo supone un punto de partida muy importante para el diseño de nuevas estrategias terapéuticas en esta patología que, además, es resistente a quimioterapia y radioterapia.

El estudio, publicado en Science Translational Medicine, demuestra que la proteína tau, que tradicionalmente se ha relacionado con diversas patologías degenerativas en el cerebro, está presente en las células de los gliomas. En dichos tumores tau estaría regulando la capacidad que tienen las células tumorales para promover la formación de nuevos vasos sanguíneos, que son fundamentales para el crecimiento de este tipo de cáncer.

La investigación permite conocer mejor los gliomas, que suponen el  2% de los tumores cerebrales primarios y que son los causantes del 7 % de las muertes por cáncer. Estos tumores deben su nombre a su similitud con las células de glía, que están presentes en el sistema nervioso central y que dan soporte a las neuronas. Este tipo de cáncer representa alrededor del 60 % de las neoplasias cerebrales y se clasifican según su grado de malignidad. Los pacientes que son diagnosticados con los gliomas más agresivos tienen un índice de supervivencia muy bajo, de en torno a 15 meses. La investigación abre una nueva vía para la búsqueda de tratamientos que pudieran ser utilizados para controlar esta patología, la más agresiva dentro de los tumores cerebrales.

Marcador de buen pronóstico

La caracterización de muestras tumorales de pacientes con gliomas, así como en el estudio de diversos modelos preclínicos, tanto con cultivo de células tumorales como con modelos animales ha permitido obtener estos resultados en los que se muestra que la proteína tau está presente en los gliomas menos agresivos y que su expresión se pierde a medida que aumenta el grado de malignidad del tumor. Por ello, los datos sugieren que TAU podría servir también como un marcador de buen pronóstico para los pacientes.

TAU también parece regular la capacidad que tienen las células de glioma de promover la formación de nuevos vasos sanguíneos. Estos vasos sanguíneos tumorales son diferentes de los vasos normales en el cerebro y son fundamentales para proveer de nutrientes a las células del glioma, favoreciendo un crecimiento más agresivo de los mismos. De hecho, los resultados demuestran que existe una correlación inversa entre la presencia de TAU en los tumores, y la cantidad de vasos “aberrantes” de los tumores.

Otra conclusión relevante del estudio es que la función de la proteína TAU en los gliomas se puede imitar con compuestos derivados del taxol, que ya se utilizan como agentes antitumorales en otros tumores y que producen un efecto aditivo con la quimioterapia convencional de los gliomas.

Este hallazgo podría abrir la puerta a nuevas terapias basadas en el empleo de compuestos que ya estén aprobados para su uso en otros pacientes con cáncer, o incluso en el uso de fármacos que hubieran sido inicialmente diseñados para pacientes con enfermedades neurodegenerativas. En este sentido, el trabajo también podría tener importantes implicaciones para caracterizar nuevas funciones de la proteína TAU en dichas patologías degenerativas, donde ya existen evidencias de la relevancia que podría tener la vasculatura cerebral de los pacientes en la evolución de la enfermedad.

El proyecto ha contado con financiación del Ministerio de Economía y Competitividad, de la Asociación Española contra el Cáncer y del NIH (National Institutes of Health).

#Detectan daño cerebral en pacientes con #hernias cervicales

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La compresión de la medula espinal causada por las hernias cervicales pueden ocasionar daños importantes a nivel cerebral, según evidencian las técnicas de neuroimagen e inteligencia artificial, que ayudaría a detectar pacientes de riesgo.

La compresión en la zona cervical puede originar daños cerebrales.

La compresión de la medula espinal causada por las hernias cervicales no solo produce alteraciones por debajo de la lesión, sino que también se pueden llegar a producir daños importantes a nivel cerebral, según los datos de un estudio llevado a cabo por un equipo multidisciplinar de la Universidad Miguel Hernández (UMH) de Elche y el CIBER de Bioingeniería, Biomateriales y Nanomedicina (CIBER-BBN), en colaboración con la Empresa Inscanner  y el Servicio de Neurocirugía del Hospital General Universitario de Alicante. El trabajo se publica en European Radiology.

Los investigadores han aplicado herramientas y técnicas de neuroimagen médica avanzadas para tratar de entender mejor lo que sucede en el cerebro de pacientes crónicos con lesiones compresivas por hernias cervicales. Estas técnicas han permitido estudiar tanto la corteza cerebral como las fibras nerviosas de sustancia blanca y los patrones de conexión entre las distintas áreas cerebrales, lo que permite detectar cambios patológicos no observables en los estudios de resonancia magnética convencionales.

“Hemos demostrado que existen cambios a nivel cerebral y en las vías de comunicación de las señales cerebrales que se manifiestan sobre todo por atrofia cortical y daños en la corteza sensorial y motora” explica Eduardo Fernández Jover, coautor de la publicación y director del Grupo de Neuroingeniería Biomédica de la UMH y del CIBER-BBN. “Estos cambios se desconocían hasta ahora y pueden ayudar a comprender mejor la evolución clínica de muchos pacientes y abrir nuevas vías de diagnóstico y tratamiento de esta patología tan frecuente” añade.

La neuroimagen evidencia daños en el cerebro de pacientes con lesiones cervicales.

La neuroimagen evidencia daños en el cerebro de pacientes con lesiones cervicales.

Ángela Bernabeu, del equipo de Inscanner y coautora del trabajo, destaca que “este tipo de estudios avanzados de neuroimagen cerebral generan una gran cantidad de datos de cada paciente, por lo que han tenido que recurrir a técnicas de inteligencia artificial para analizar toda la información”.

Identificar pacientes con riesgo

Más del 80% de las personas mayores de 60 años tienen desgaste de la columna vertebral a nivel cervical. La mayoría no experimenta síntomas, pero a veces este desgaste puede dar lugar a dolor y rigidez de cuello y, también, a hormigueo y entumecimiento en los brazos. En algunos casos también se pueden afectar las piernas y pueden aparecer incluso dificultades para caminar, así como otros síntomas como alteraciones en el control de esfínteres. Todos estos problemas son consecuencia de la compresión de la médula espinal o de las raíces nerviosas que salen entre las vértebras, por lo que hasta ahora la atención médica se había centrado fundamentalmente en lo que pasa por debajo de la lesión.

“En el futuro, este tipo de análisis mediante inteligencia artificial podría utilizarse para identificar pacientes con lesiones compresivas de la columna cervical operables e incluso establecer el momento más adecuado para la cirugía” concluyen los autores.

#LDL-cholestérol : « lower is better » après un #accident vasculaire cérébral aussi

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Patrice DARMON, Marseille

En dépit de ce que veulent laisser croire leurs contempteurs les plus zélés, les statines sont les traitements qui ont accumulé le plus de preuves en faveur d’un bénéfice cardiovasculaire. De fait, toutes les recommandations plaident pour leur usage chez les individus à très haut risque cardiovasculaire ou en prévention secondaire.

Cependant, il n’existe pas de consensus quant à la stratégie à proposer à ces sujets : certaines recommandations préconisent la prescription systématique de statines puissantes sans s’attacher à une valeur cible de LDL-cholestérol là où d’autres vont fixer un objectif de réduction (généralement plus de 50 %) et/ou des seuils à atteindre. Dans la situation particulière du post-accident vasculaire cérébral (AVC) ou du post-accident ischémique transitoire (AIT), la littérature est en faveur de la première stratégie : il n’existe en effet que très peu de données pour fixer des valeurs cibles de LDL-cholestérol chez ces patients tandis qu’en 2006, l’étude SPARCL, menée chez des sujets ayant présenté un AVC ou un AIT mais sans atteinte coronaire connue, a montré la supériorité de l’atorvastatine à la dose de 80 mg/jour versus placebo sur le risque de récidive à 5 ans (-16 % et même -33 % en cas de sténose carotidienne). Une analyse post-hoc de SPARCL montrait néanmoins que ce bénéfice était plus marqué chez les patients avec un LDL-cholestérol inférieur à 70 mg/dl que chez ceux avec un LDL-cholestérol inférieur à 100 mg/dl.

L’essai Treat Stroke to Target est une étude randomisée franco-coréenne visant à comparer deux cibles de LDL-cholestérol (< 70 mg/l versus 90-110 mg/dl) chez des patients en post-AVC ischémique (moins de 3 mois) ou post-AIT (moins de 15 jours). Tous les sujets inclus devaient avoir une atteinte athéromateuse cérébrovasculaire ou coronaire documentée, et un LDL-cholestérol ≥ 70 mg/dl s’ils étaient déjà traités par statine avant la randomisation ou ≥ 100 mg/dl s’ils ne l’étaient pas. Après la randomisation, les investigateurs pouvaient prescrire tous types et toutes doses de statine – et si nécessaire ajouter d’autres hypolipémiants – pour atteindre la cible de LDL-cholestérol dans chacun des groupes, avec possibilité d’ajustements réguliers. Au total, 2 680 patients ont été inclus dans l’étude (âge moyen 66,7 ans ; hommes 67,6 % ; AVC/AIT 85,8 %/14,2 % ; diabète 22,7 %). Le critère primaire de jugement était un critère composite associant AVC ischémique (ou d’origine indéterminée), IDM, décès cardiovasculaire et angor instable ou AIT imposant une revascularisation en urgence. À l’inclusion, le taux moyen de LDL-cholestérol était de 135 mg/dl dans les deux groupes et 44,7 % des patients étaient déjà traités par statine. L’essai a malheureusement dû être interrompu en raison de problèmes de financement, et le nombre d’événements recensés au moment de l’arrêt était inférieur à celui attendu (277 contre 385). Au terme d’un suivi médian de 3,5 ans, le taux moyen de LDL-cholestérol était de 65 mg/dl dans le groupe traité de façon intensive et de 96 mg/dl dans le groupe traité de façon plus conventionnelle ; 65,9 % des patients du groupe ‘traitement intensif’ recevaient une statine seule contre 94,0 % dans le groupe ‘traitement conventionnel’, alors que le pourcentage de sujets traités par ézétimibe était respectivement de 33,8 % et 5,8 %. Le pourcentage d’arrêt de traitement était important et comparable dans les deux groupes (autour de 30 %). Le critère primaire est survenu chez 121 des 1340 sujets du groupe ‘traitement intensif’ contre 156 des 1340 sujets du groupe ‘traitement conventionnel’ (8,5 % versus 10,9 % ; hazard ratio ajusté 0,78 [IC95% 0,61-0,98], p = 0,04). Le déséquilibre de cas concernait les décès cardiovasculaires, les AVC ischémiques (ou d’origine indéterminée) et les IDM. Ce bénéfice semblait plus important chez les diabétiques (-40 %) que chez les non-diabétiques (-15 %) mais le caractère secondaire de cette analyse et le manque de puissance de l’essai limite la portée des conclusions sur ce point. Aucune différence n’a pu être retrouvée concernant le principal critère secondaire de jugement (IDM ou revascularisation coronaire en urgence), ce qui empêchait, compte tenu du plan statistique choisi, de tester d’éventuelles différences entre les autres critères secondaires. La tolérance était bonne mais on retrouvait un déséquilibre de cas d’hémorragies cérébrales (18 cas versus 13) et de diabètes de novo (103 versus 82), n’atteignant pas toutefois la signification statistique. Rappelons que dans SPARCL, il existait, sous atorvastatine à fortes doses, une augmentation non significative des hémorragies cérébrales et une majoration de 30 % des nouveaux cas de diabète.

En dépit de son manque de puissance et de son interruption prématurée, cet essai pourrait conduire à modifier les recommandations dans le le post-AVC ou le post-AIT en montrant pour la première fois le bénéfice à obtenir une valeur cible de LDL-cholestérol inférieure à 70 mg/dl plutôt qu’entre 90 et 110 mg/dl dans cette situation.


Publié par Diabétologie Pratique

Références

Cliquez sur les références et accédez aux Abstracts sur pubmed

Amarenco P et al. A comparison of two LDL cholesterol targets after ischemic stroke. N Engl J Med 2019 Nov 18. Rechercher l’abstract

#Japón probará el #trasplante de iPSCs en #lesionados medulares

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Japón usará el trasplante de células madre pluripotentes inducidas (iPSCs) en pacientes con lesiones medulares, según ha expuesto Hideyuki Okano en el 5th Internacional Spinal Cord Repair Meeting (ISCORE 2019), que se celebra en Barcelona.

Hideyuki Okano, de la Universidad de Keio en Tokio, Japón, ha participado hoy en el 5th Internacional Spinal Cord Repair Meeting (ISCORE 2019), en Barcelona, organizado por la Fundación Step by Step, para exponer el ensayo clínico con células madre reprogramadas en personas con lesiones en la médula espinal. Será la primera vez que se utilizarán células madre pluripotentes inducidas (iPSCs) para tratar este tipo de lesiones, después de demostrar resultados positivos en experimentación animal y de que un comité del Ministerio de Sanidad japonés aprobara, el pasado mes de febrero, el estudio. La técnica consiste en reconvertir las células iPS de donantes en células precursoras neurales, que pueden convertirse en neuronas y células gliales. Posteriormente, se inyectarán esas células precursoras en el lugar de la lesión espinal (de 2 a 4 semanas después de la lesión).

También asiste el canadiense Michael G. Fehlings, jefe del Programa de la columna vertebral en el Hospital Toronto Western, que combina una práctica clínica activa en cirugía espinal compleja con un programa de investigación orientado a descubrir nuevos tratamientos para el cerebro y la médula espinal de los lesionados. Fehlings ha explicado: “Nuestro equipo multidisciplinario de investigadores está examinando la aplicación de células madre, nanotecnología e ingeniería de tejidos para la reparación y regeneración del sistema nervioso central”. 

En el congreso, que se celebra en el recinto modernista del Hospital de la Santa Creu y el Sant Pau, se exponen avances tanto en el terreno básico como en el clínico. Victoria Moreno-Manzano, directora científica de esta cita e investigadora del Instituto Príncipe Felipe de Valencia, ha destacado que los avances que están actualmente en fase de desarrollo se deben al mejor conocimiento sobre cómo funciona el proceso de regeneración del sistema nervioso central y su plasticidad. Según ha informado, se están probando, por ejemplo, moléculas (compuestos químicos) para la modificación de la excitabilidad de las neuronas que no funcionan con el fin de que recuperen su actividad.

Hideyuki Okano, de la Universidad de Keio en Tokio.

“Se conoce mejor la anatomía y eso se puede explotar para mejorar estrategias en terapia celular”, ha añadido. También se sabe ya que “el uso de precursores neurales de la médula espinal son los que presentan más eficacia en la regeneración de tractos motores, que eran los más difíciles de regenerar”. Además, se está usando información de epigenética para regenerar axones.

Mientras que, en el ámbito de la rehabilitación en crónicos, también está avanzando el uso de exoesqueletos, de la estimulación eléctrica y de su uso combinado.

Moreno ha asegurado que en los últimos años el conocimiento de los mecanismos de los procesos de regeneración neuronal ha aumentado causando así que surjan, finalmente, estrategias de éxito. ”Es un buen momento para entrar a investigar en este ámbito”, ha dicho. Y ha recordado, asimismo, aunque no hay presentación al respecto en el congreso, la terapia celular, el fármaco NC1, fruto de 20 años de investigaciones y la publicación de cuatro ensayos clínicos dirigidos por Jesús Vaquero, jefe de Servicio de Neurocirugía del Hospital Universitario Puerta de Hierro Majadahonda.

Diario Médico también informó recientemente del estudio clínico multicéntrico que analiza la viabilidad, seguridad y eficacia de la implantación de células madre mesenquimales alogénicas en lesionados medulares en el Hospital de Virgen del Rocío, en Sevilla, el del Valle de Hebrón, en Barcelona, y el 12 de Octubre, en Madrid.

La directora de la Fundación Step by Step, Natalia Bettonica, ha manifestado que respecto al primer congreso que organizaron (esta es la quinta edición) el panorama de la lesión medular incompleta ha variado mucho: “Creemos que va a llegar la solución porque en los últimos diez años ha habido un cambio espectacular; ahora incluso hay ensayos en humanos. Empezamos a ver una pequeña luz al final del túnel”.

Por otro lado, en este congreso se ha presentado Lemon, una plataforma virtual sanitaria creada por un grupo de expertos en lesión medular con el objetivo de promover la salud, mejorar la calidad de vida y atender las principales necesidades de los lesionados medulares y su entorno. “La plataforma es una herramienta para compartir y generar conocimiento y empoderar a las personas ofreciendo alternativas de solución a los problemas de salud”, ha explicado Joan Romero, director técnico y fisioterapeuta de la Fundación Step by Step

#Aneurisma cerebral: novo tipo de stent alemão é testado no Brasil

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Aneurisma cerebral: novo tipo de stent alemão é testado no Brasil

Uma técnica revolucionária vai permitir que 140 pacientes com aneurisma cerebral sejam submetidos a um procedimento inédito no país. O tratamento, que está sendo realizado por pesquisadores do Hospital das Clínicas (HC-RP) da USP em Ribeirão Preto, no interior de São Paulo, em parceria com cientistas alemães, está utilizando um stent, uma espécie de prótese fabricada com material especial e diferente da que existe atualmente no mercado, sobre o coágulo no interior da veia.

Essa nova geração de stents pode ser aplicada em situações mais complexas, como, por exemplo, quando o aneurisma cerebral se rompe, como ressalta o médico Daniel Abud, coordenador do serviço de Neurorradiologia Terapêutica e Radiologia Intervencionista do HC-RP.

O especialista destaca que esse tipo de material já foi aprovado na Europa e também está sendo testado por lá. A equipe brasileira, inclusive, conta com a colaboração do professor Hans Henkes, chefe do serviço de neurorradiologia intervencionista de Stuttgart, na Alemanha. “O stent tem um revestimento especial na malha metálica que é hidrofílico. Então, o sangue adere menos ao metal do que no dispositivo direcionador de fluxo normal, convencional. O sangue não trombosa quando passa por ele”, explica.

A implantação do stent alemão é realizada da mesma maneira dos demais, com um cateter extremamente fino sendo colocado no vaso sanguíneo pela virilha do paciente e levado ao local do aneurisma no cérebro, onde a prótese é aplicada.

Benefícios do novo stent

Os pacientes com aneurismas cerebrais tratados com os dispositivos da geração anterior necessitam ingerir os próximos doze meses um medicamento de antiagregante plaquetário, que causa uma série de limitações.

Durante este período, o paciente ficava mais exposto a sangramentos em diversas partes do corpo, não podendo realizar outras cirurgias (até mesmo de extração de dente).

“Com esse novo dispositivo, como o stent possui um revestimento especial, a quantidade de antiagregantes plaquetários a ser ingerida é muito menor. É praticamente como se a pessoa não estivesse fazendo uso do medicamento, não apresentando os efeitos colaterais que ele teria tomando a carga completa”, destaca o médico Daniel Abud.

Seleção de pacientes voluntários

A fabricante alemã tem como objetivo obter dados concretos para comprovar os benefícios do novo equipamento.
“Não se trata de um material experimental, ele já é aprovado para uso na Europa e inclusive existe um estudo similar ao nosso sendo conduzido lá”, explica Daniel Abud, o coordenador da pesquisa.

Foram selecionados pacientes com diagnósticos mais complexos e de maior risco para serem submetidos ao novo tratamento. Desde o início de novembro, mais de 15 pacientes já passaram pelo procedimento gratuito pelo Sistema Único de Saúde (SUS).

Aneurisma cerebral

tratamento dos aneurismas cerebrais por via endovascular vem se desenvolvendo rapidamente desde a década de 90. A tecnologia dos dispositivos redirecionadores de fluxo (stents) se tornou disponível há cerca de dez anos em países desenvolvidos, e no Brasil, desde 2011.

Os aneurismas cerebrais são lesões caracterizadas por dilatações ou lobulações na parede das artérias intracranianas. Surgem mais frequentemente entre os 35 e os 60 anos, sendo raros em crianças, embora também possam ocorrer nessa faixa de idade.

São mais comuns em mulheres e, ao contrário do que se acreditava anteriormente, as pessoas não nascem com o aneurisma. Ele se desenvolve em algum momento da vida dos indivíduos.

Segundo a Sociedade Brasileira de Neurocirurgia, os aneurismas cerebrais ocorrem em 1 a 6% das pessoas em todo o mundo.

*PEBMED

Autor:

Jornalista carioca. Diretora executiva do Digitais do Marketing, colunista de cultura e maternidade dos sites Cabine Cultural e Feminino e Além, respectivamente.

Referências bibliográficas:

#The brain finds a way to adapt, even when we remove half

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A fascinating new study involving people who underwent hemispherectomy — surgery to remove one of the brain’s hemispheres — in childhood shows that these individuals now display almost no immediately obvious effects of this procedure.

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Emerging evidence emphasizes the brain’s impressive ability to adapt, even when doctors remove half.

Brains have two halves, known as hemispheres. Each has various regions that regulate different aspects of our physical and cognitive functioning.

These halves do not work separately. Instead, they communicate by establishing complex neural networks that allow different parts of the body and mind to synchronize and work in harmony.

But what happens if you take one hemisphere away? That is the situation faced by people who undergo hemispherectomyTrusted Source — usually in childhood — as a means of treating severe seizures.

It would be easy to assume that removing half of someone’s brain would cause them to function in a visibly different way.

Yet, according to a recent case study featured in Cell Reports, this is not really the case. In fact, the brain learns to compensate for the loss.

‘Marveling’ at the brain’s adaptive ability

In the study, the investigators worked with six participants who had undergone hemispherectomy during childhood as a treatment for epileptic seizures.

The participants were in their 20s and early 30s at the start of the study, and they had undergone the brain surgeries when they were anywhere from 3 months to 11 years old.

The researchers say that working with participants who had undergone hemispherectomy at such different points in their childhoods helped them better understand how the brain adapts to this loss at different stages.

“It can help us examine how brain organization is possible in very different cases of hemispherectomy patients, which will allow us to better understand general brain mechanisms,” explains the study’s first author, Dorit Kliemann, Ph.D., from the California Institute of Technology, in Pasadena.

The team asked the participants who had undergone hemispherectomy — as well as six control participants — to receive functional MRI scans. The scans allowed the researchers to track activity in the brain while it was at rest.

By comparing the brain scans, the team found that the group who had undergone hemispherectomy had stronger brain network connectivity — rather than weaker connectivity, as one might expect — compared with the control group. The regions that the researchers focused on were those that regulate vision, movement, emotion, and cognition.

To confirm these findings, the team also compared the scans with data previously collected by the Brain Genomics Superstruct ProjectTrusted Source, which has amassed brain data from more than 1,500 participants.

“The people with hemispherectomies that we studied were remarkably high functioning,” emphasizes Kliemann.

“They have intact language skills — when I put them in the scanner, we made small talk, just like the hundreds of other individuals I have scanned,” she continues, noting that “You can almost forget their condition when you meet them for the first time.”

When I sit in front of the computer and see these MRI images showing only half a brain, I still marvel that the images are coming from the same human being whom I just saw talking and walking and who has chosen to devote his or her time to research.”

Dorit Kliemann, Ph.D.

In the future, the investigators plan to conduct another study to try and replicate the current findings, then to go even further by building an image of how the brain organizes and reorganizes itself to deal with injury.

Because, as Kliemann points out, while it is “remarkable” that people can live with half a brain, a very small brain lesion, a tumor, or a traumatic brain injury, caused by a biking accident, for example, can have “devastating effects.”

“We’re trying to understand the principles of brain reorganization that can lead to compensation. Maybe down the line, that work can inform targeted intervention strategies and different outcome scenarios, to help more people with brain injuries,” says Kliemann.

 

MedicalNewsToday

#Prevención diagnóstico precoz reducen la incidencia de la #espina bífida

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La administración de folatos en la gestación y la detección temprana han sido claves en el control de esta compleja malformación del sistema nervioso central.

El diagnóstico intraútero directo es el más frecuente en la espina bífida.

Gracias al auge de las campañas de prevención, con la administración de suplemento oral de folatos a embarazadas y pregestantes, ha disminuido de forma drástica la incidencia de la espina bífida, la malformación del sistema nervioso central más compleja compatible con la vida. Se estima que los defectos del tubo neural se presentan uno o dos casos por cada 10.000 recién nacidos vivos. La espina bífida abierta abarca desde la agenesia o hipogenesia del cuerpo calloso, la polimicrogiria, la malformación de Chiari tipo II, la hidrocefalia, la siringomielia, entre otras malformaciones, así como, en otras formas, el mielomeningocele y el meningicele.

Mónica Rivero, miembro de la Sociedad Española de Neurocirugía (Senec) y responsable de la Unidad de Neurocirugía Pediátrica del Hospital Virgen del Rocío de Sevilla, comenta al hilo de la celebración del día mundial sobre esta enfermedad, que a esa baja incidencia ha contribuido también “su diagnóstico precoz, intraútero, a través de la ecografía y la resonancia magnética, o a través de la determinación de la alfa-feto proteína en líquido amniótico, lo que posibilitan su tratamiento precoz intraútero, si los progenitores lo desean o la interrupción de la gestación “.

El diagnóstico intraútero directo, el más frecuente, destaca Rivero, debe ser realizado mediante pruebas con alta resolución de imagen como resonancia magnética o ecografía en 4D por ginecólogos con amplia experiencia en diagnóstico de malformaciones prenatales.

El tratamiento: la cirugía

La cirugía clásica, que se realizaba de emergencia durante los dos o tres primeros días de vida del paciente -para realizar un cierre de membranas y disminuir la posibilidad de meningitis bacteriana- ha evolucionado en las últimas décadas y se ha adelantado al periodo prenatal.

Desde la publicación en 2011 del estudio MOMS, en The New England Journal of Medicine, la tendencia es que se adelante la cirugía. “Los resultados de este trabajo fueron increíbles”: a los 12 meses de vida, los pacientes tratados intraútero presentaban una necesidad de derivación ventriculoperitoneal para el tratamiento de la hidrocefalia del 40%, frente al 82% del grupo tratado en periodo neonatal. Además, el 36% de los pacientes con tratamiento intraútero no presentaban malformación de Chiari, frente al 4% del otro grupo. Y a los 30 meses de seguimiento, el 42% de los pacientes del grupo intraútero caminaban solos, frente al 21% de los que recibieron el tratamiento después del parto.

Como expone a DM esta especialista de la Senec, este estudio “ha influido en el desarrollo de la cirugía intrauterina abierta en nuestro centro (el Hospital Virgen del Rocío) y de la endoscópica en el hospital Valle de Hebrón en Barcelona, pero sin un impacto real en cuanto al número de intervenciones, pues es una patología con una baja incidencia gracias a la suplementación con folatos antes y durante el embarazo”.

Con todo, Rivero destaca la relevancia de la cirugía postnatal que “sigue siendo el tratamiento habitual de esta patología, pues para poder realizar la cirugía intrauterina, debe efectuarse entre las semanas 22 y 24 de gestación y, a veces, el diagnostico es más tardío o la familia prefiere el tratamiento clásico por el riesgo materno”.

Debate quirúrgico

En el campo quirúrigico, ahora el debate se centra en el tipo de técnica que debe emplearse para el cierre intraútero: endoscópica o por cesárea. Según Rivero, ambas estrategias presentas pros y contras. En la técnica endoscópica, se coloca un parche de duramadre para cerrar el defecto óseo, pero no permite realizar un desanclaje medular completo. En el tratamiento intraútero abierto, donde se realiza la cesárea, con exposición del feto, se efectúa un abordaje completo de la lesión: desanclaje medular y cierre de las membranas. La presencia de malformación de Chiari disminuye con la técnica abierta. Seguir investigando y mejorando la vida de los pacientes afectados es el único camino para continuar con los avances alcanzados en las últimas décadas, concluye Rivero.

 

#Temperatura do glioblastoma pode ser a chave para tratamento

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Fonte de imagem: ABC13 Houston

Um estudo da Faculdade de Medicina da Universidade de Minnesota, EUA, descobriu uma forma de aumentar a quantidade de células imunitárias no glioblastoma, de forma a combatê-lo.

O sistema imunitário é composto de glóbulos brancos que combatem vírus, bactérias e células cancerígenas. Contudo, este é desligado pelo glioblastoma, o que torna este tipo de cancro um dos mais agressivos.

Os atuais tratamentos de imunoterapia ativam a resposta do sistema imunitário contra as células cancerígenas, mas não funcionam com o glioblastoma. “Os glioblastomas têm poucas células imunitárias, pelo que não existe nada para a imunoterapia ativar”, comenta Andrew Kummel, autor sénior.

Para facilitar a “chamada” de glóbulos brancos para o glioblastoma, os investigadores injetaram nos tumores partículas de sílica oca.

Os tumores foram depois tratados com ultrassons de alta intensidade que rebentaram as partículas, levando à rotura das células cancerígenas e libertando proteínas que atraem os glóbulos brancos.

Ao modular a alta frequência dos ultrassons, foi possível criar diferentes temperaturas a que as células cancerígenas eram rompidas.

Observou-se que a imunoterapia funcionou apenas quando os ultrassons eram ajustados para manter uma temperatura estável, similar à temperatura corporal. Se a temperatura variasse muito da temperatura corporal, a eficácia dos glóbulos brancos era comprometida.