Mês: setembro 2020

#Mother’s Milk May Inhibit #COVID-19, Study Says

Postado em

Scientists in China say that mother’s milk could help treat or prevent the coronavirus.

Researchers tested how human breast milk affects cells when exposed to the coronavirus, according to the paper published in biorxiv, an open access preprint repository for scientific studies that have not yet been published in a journal. The milk was collected in 2017, before the pandemic, and was tested on different kinds of animal and human cells.

The milk killed off most of the coronavirus strains, the researcher said.

The researchers said whey protein from human breastmilk “effectively inhibited” the coronavirus “by blocking viral attachment, entry and even post-entry viral replication. … We found that whey protein from different species such as cow and goat also showed anti-coronavirus properties.”

The South China Morning Post, in an article about the research, said researchers found human milk whey had an efficacy of about 100%, compared to 70% for goat and cow whey.

“Some parents are known to use donated breast milk to feed their babies, which is often pasteurised to eliminate potential contamination,” the SCMP said.

However, the study that heating the milk to 90 degrees for 10 minutes inactivates the whey protein, and causes protection rate to drop to under 20%, the newspaper reported.

During the early days of the pandemic, there was uncertainty about whether breastfeeding could spread the virus.

The SCMP, citing Chinese media reports, said newborns in Wuhan, where the virus was first detected, were sometimes separated from their mothers who tested positive.

But a study published last month in JAMA said mothers are unlikely to spread the virus to their babies through breastfeeding.

In June, the World Health Organization said, “WHO recommends that mothers with suspected or confirmed COVID-19 should be encouraged to initiate or continue to breastfeed. Mothers should be counseled that the benefits of breastfeeding substantially outweigh the potential risks for transmission.”

#Recommandations « #cardiologie et sport » (partie 2) : le sport n’est plus interdit aux #insuffisants cardiaques

Postado em Atualizado em

Virtuel — De nouvelles recommandations en cardiologie du sport ont été présentées au cours du  congrès de la Société Européenne de Cardiologie (ESC) Medscape édition française a décidé de consacrer plusieurs articles à ces nouvelles recommandations. Après un premier article sur les sujets sains avec ou sans facteur de risque sont abordés ici le cas des personnes insuffisantes cardiaques.

« Pour la première fois, il est clairement indiqué qu’on peut parler de sport dans l’insuffisance cardiaque, et pas seulement d’exercice modéré. Le message, qui est nouveau, est que le sport n’est pas interdit a priori » indique le Dr Philippe Meurin, cardiologue (centre de réadaptation cardiaque Les Grands Prés, Villeneuve-Saint-Denis, 77). Avant de nuancer : « Toutefois, il faut rester très prudent car la moyenne d’âge des patients en IC est de 75 ans et que nos patients plus jeunes sont souvent gravement atteints. ».

Pour le spécialiste, il est important de classer les IC selon l’altération ou pas de la fonction systolique. « Quand la fonction systolique est préservée ou modérément altérée, il est possible de faire du sport. C’est intéressant car il y a un nombre conséquent de patients avec une FEVG à 45 % » explique-t-il.

Pour la première fois, il est clairement indiqué qu’on peut parler de sport dans l’insuffisance cardiaque, et pas seulement d’exercice modéré Dr Philippe Meurin

Des pré-requis avant l’activité physique

Tout d’abord, dans une présentation vidéo, le Pr Massimo Piepoli (Pise, Italie), membre du panel d’experts, a rappelé l’importance que l’individu soit cliniquement stable avant de débuter une activité physique. Il est nécessaire aussi de s’assurer d’une absence de contre-indications telles qu’une hypotension ou une hypertension au repos, une ischémie myocardique ou encore une aggravation des symptômes de l’IC.

Une évaluation complète incluant les comorbidités et la sévérité de l’IC est recommandée ; les experts indiquant qu’une preuve d’effort maximale est importante pour l’évaluation fonctionnelle du patient. Il s’agit chez ces patients avec IC de vérifier qu’il n’y ait pas de chute de tension ni de troubles du rythme à l’effort.

Enfin, il faut revoir la prescription afin d’optimiser le traitement – dispositif implantable y compris si besoin –, lequel doit être conforme avec les recommandations actuelles. De même, il faut limiter les facteurs de risque de l’IC.

En somme, la prescription d’exercice doit être individualisée et établie sur-mesure selon les symptômes et les signes pendant l’épreuve d’effort (capacité maximale, rythme cardiaque…).

Recommandations dans l’IC avec fraction d’éjection altérée ou modérément altérée

Les experts de l’ESC recommandent d’avoir régulièrement une discussion concernant la pratique d’exercices physiques et d’établir une prescription individualisée pour tous les patients avec une IC.

« Le cardiologue qui ne fait pas passer d’épreuves d’effort aura tendance à être conservateur. C’est dommage d’interdire la pratique physique chez un malade qui est motivé sans demander d’avis » indique Philippe Meurin qui souligne d’une part que « le cœur à l’effort est en train de devenir une sous-spécialité de la cardiologie » au même titre que la rythmologie, par exemple, et que d’autre part « il y a toute une gamme d’activités entre la réadaptation et le sport».

La réadaptation cardiaque est recommandée chez tous les individus stables pour améliorer leur capacité à faire de l’exercice et leur qualité de vie mais aussi pour diminuer la fréquence des hospitalisations.

« Dans ces recos, on voit bien que l’exercice et la réadaptation sont majeurs dans l’IC. Ce n’est pas normal que seuls 10 % des patients passent par un centre de réadaptation. Le gain est très net pour eux, car, en plus, de l’indispensable reconditionnement à l’effort, c’est l’occasion de faire de l’éducation thérapeutique et la titration des médicaments » commente Philippe Meurin qui déplore que « la réadaptation ne soit pas passée dans les mœurs ».

Ce n’est pas normal que seuls 10 % des patients passent par un centre de réadaptation Philippe Meurin

 

Recommandations dans l’IC à fraction d’éjection conservée

Des exercices modérés d’endurance et de résistance dynamique, en plus d’une hygiène de vie et d’un contrôle des facteurs de risque CV (HTA et diabète de type 2), sont recommandés.

« On peut réfléchir à proposer du sport chez certains patients sélectionnés mais il faut rester très prudent » insiste Philippe Meurin.

Recommandations chez les transplantés cardiaques

Pour les patients ayant eu une transplantation cardiaque, faire des exercices dans le cadre de la réadaptation combinant une activité aérobique et des exercices en résistance, est recommandé. L’activité physique permet de revenir à un état pathophysiologique pré-transplantation, réduit le risque CV lié aux médicaments post-transplantation et améliore les paramètres cliniques.

L’activité physique permet de revenir à un état pathophysiologique pré-transplantation.

 

 

 

 

 

 

 

#Covid-19 versus #influenza: quais as diferenças entre essas doenças virais?

Postado em Atualizado em

imagem digital do coronavírus causador da covid-19 e comparável à influenza

As longas, intensas e, muitas vezes, tensas e desgastantes discussões comparativas sobre a carga da doença causada por SARS-CoV-2, também denominada Covid-19, e a gripe influenza, tem sido temas de conversas de leigos, reuniões entre especialistas, crônicas em jornais, publicações e outras possíveis formas de comunicação.

A disputa entre as essas duas doenças se tornou uma questão política em muitos países, sustentada inclusive pelas palavras de governantes baseadas ou não em evidências científicas.

Mas após mais de seis meses da pandemia por Covid-19, quais observações e conclusões já podemos constatar baseados em dados científicos publicados? A coletânea de resultados descritos em revistas e jornais científicos até o momento favorecem quais hipóteses?

 

Covid-19 versus influenza

Diferentes estudos, revisões e publicações recentes abordam tais questões e dissertam sobre as inúmeros mitos e verdades, e alguns dos “achismos” ainda sustentados por leigos. Grohskopf et al. (2020), Kuo e cols. (2020), Jaklevic (2020), Mantezou e cols. (2020), Rubin (2020), Singer (2020), Soo e cols. (2020) são exemplos de algumas das destacadas constatações atuais sobre o assunto.

Evidências atuais

Reforçamos abaixo alguns dos achados científicos baseados em evidências já descritos:

  • As características clínicas da Covid-19 sobrepõem substancialmente a clínica da influenza e outras viroses respiratórias;
  • A única forma de distinguir a etiologia das síndromes clínicas é através da realização de testes diagnósticos específicos para os vírus respiratórios;
  • A letalidade da infecção por SARS-CoV-2 é amplamente superior aquela associada à influenza;
  • A Covid-19 não apresenta caráter sazonal, ao contrário da influenza;
  • O prognóstico da Covid-19 é ruim em número maior de infectados quando comparados aos doentes com influenza;
  • A cronicidade dos sinais e sintomas após recuperação das infecções por SARS-CoV-2 é caracteristicamente mais frequente, diversa, debilitante e prolongada do que com influenza;
  • O tratamento farmacológico para influenza não tem utilidade para Covid-19;
  • O tratamento farmacológico para Covid-19 não tem comprovação científica de ação contra infecções pelos vírus influenza;
  • O uso de corticoides é útil em pacientes com formas moderadas/graves de Covid-19, mas pode piorar significativamente o prognóstico de pacientes com influenza A;
  • As medidas de controle da disseminação do SARS-CoV-2 por via aérea e contato (precaução de contato, gotículas e aerossóis) são distintas das precauções de contato e gotículas suficientes para a contenção da influenza devido aos distintos potenciais de transmissibilidade;
  • As medidas de prevenção de infecção para Covid-19 (uso de máscaras, lavagem de mãos, distanciamento social e lockdown) apresentam efeitos positivos substanciais na prevenção de infecção por influenza e outras doenças infecciosas respiratórias;
  • A vacinação anual contra influenza tende a reduzir efetivamente a carga da doença especificamente por esses vírus. E apesar de não apresentar eficácia em 100% dos vacinados, deve ser administrada de acordo com a política usual adotada nos diferentes países;
  • Alguns estudos publicados sugerem que a vacinação para influenza está associada com menor mortalidade por Covid-19;
  • Não há vacina ainda disponível para Covid-19 de distribuição populacional e eficácia comprovada;
  • A Covid-19 e influenza, assim como a infecção por outros vírus respiratórios, podem se sobrepor agravando significativamente o quadro clínico do doente, e não há competição entre as doenças. Cerca de 2 a 21% dos pacientes sintomáticos respiratórios apresentam coinfecção. A sobreposição dificulta as condutas terapêuticas efetivas e consiste em fator de risco para internação prolongada.

 

Os aspectos relacionados a essas discussões e observações podem ser aprofundados na leitura das referências abaixo.

Autor:

Rafael Duarte

M.D., PhD. ⦁ Médico ⦁ Microbiólogo ⦁ Professor Associado / Lab. Micobactérias, Depto. Microbiologia Médica, Instituto de Microbiologia Paulo de Góes, Centro de Ciências da Saúde – Universidade Federal do Rio de Janeiro

Referências bibliográficas:

  • Grohskopf LA, Liburd LC, Redfield RR. Addressing Influenza Vaccination Disparities During the COVID-19 Pandemic. JAMA. 2020 Sep 15;324(11):1029-1030.
  • Jaklevic MC. Flu Vaccination Urged During COVID-19 Pandemic. JAMA. 2020 Sep 8;324(10):926-927.
  • Kuo SC, Shih SM, Chien LH, Hsiung CA. Collateral Benefit of COVID-19 Control Measures on Influenza Activity, Taiwan. Emerg Infect Dis. 2020 Aug;26(8):1928-1930.
  • Maltezou HC, Theodoridou K, Poland G. Influenza immunization and COVID-19. Vaccine. 2020 Sep 3;38(39):6078-6079.
  • Rubin R. What Happens When COVID-19 Collides With Flu Season? JAMA. 2020 Sep 8;324(10):923-925.
  • Singer BD. COVID-19 and the next influenza season. Sci Adv. 2020 Jul 29;6(31):eabd0086.
  • Soo RJJ, Chiew CJ, Ma S, Pung R, Lee V. Decreased Influenza Incidence under COVID-19 Control Measures, Singapore. Emerg Infect Dis. 2020 Aug;26(8):1933-1935.

#A introdução precoce de #glúten na dieta pode reduzir a prevalência de #doença celíaca

Postado em Atualizado em

Ingestão de glúten precoce pode prevenir doença celíaca

Um recente estudo publicado no jornal Pediatrics concluiu que a introdução de glúten a partir dos 4 meses de idade foi associada à redução da prevalência de doença celíaca (DC).

Estudos anteriores sobre introdução de glúten na dieta

As diretrizes publicadas em 2008 pela Sociedade Europeia de Gastroenterologia Pediátrica, Hepatologia e Nutrição (European Society for Paediatric Gastroenterology, Hepatology and Nutrition – ESPGHAN) recomendam a introdução de trigo na dieta de crianças entre as idades de 4 e 6 meses para a prevenção da DC, enquanto a criança ainda está sendo amamentada. Esta recomendação foi baseada em estudos observacionais que sugerem que tanto a introdução de trigo precoce (antes dos 4 meses) quanto tardia (acima de 6 meses) estavam associadas a um risco aumentado de DC.

Posteriormente, quatro ensaios clínicos randomizados (randomized clinical trials – RCTs) foram realizados para investigar o momento e a dose da introdução de glúten na prevenção da doença celíaca. Contudo, apenas um estudo (PreventCD) introduziu trigo antes dos 6 meses de idade em uma baixa dose diária de glúten (100 mg) a partir de 16 semanas de idade por 8 semanas, comparando a nenhuma introdução durante este tempo. Após o período de intervenção, os participantes de ambos os grupos foram aconselhados a introduzir glúten gradualmente de acordo com as recomendações padronizadas (250 mg/d aos 6 meses, 500 mg/d aos 7 meses, 1000 mg/d aos 8 meses e 1500 mg/d aos 9 meses). Nesse estudo, todos os bebês apresentavam risco elevado de DC. Nenhuma diferença significativa na prevalência aos 3 anos de idade foi encontrada entre os grupos “glúten” e “placebo”, com uma prevalência geral de 5,2% de DC. Por fim, revisões sistemáticas subsequentes e diretrizes revisadas concluíram que não havia evidência consistente para uma associação entre o tempo de introdução do glúten e a DC.

 

Enquiring About Tolerance Study (EAT)

Enquiring About Tolerance Study (EAT) foi um RCT aberto de uma intervenção dietética para a prevenção de alergia alimentar. Esse estudo avaliou dois grupos:

  • Grupo de introdução precoce (early introduction group – EIG): bebês que receberam dietas com introdução de seis alimentos alergênicos (amendoim, gergelim, ovo de galinha, leite de vaca, bacalhau e trigo) a partir dos 4 meses de idade, juntamente com a amamentação;
  • Grupo de introdução padrão: bebês que receberam amamentação exclusiva, evitando-se alimentos alergênicos até os 6 meses de idade (standard introduction group – SIG).

A introdução do glúten ocorreu em um período-chave, durante o qual os estudos observacionais originais sugeriram que poderia conferir um efeito protetor (ou seja, entre as idades de 4 e 6 meses). Além disso, a dose recomendada de glúten foi de 3,2 g/sem a partir das 16 semanas de idade, que é uma quantidade substancialmente maior do que outros RCTs de introdução precoce, em que a introdução recomendada de glúten nesta idade foi de 0,7 g/sem.

Apesar de RCTs anteriores não encontrarem associação entre a introdução precoce de glúten e DC e outros fatores de risco que desempenham um papel importante no desenvolvimento da doença (por exemplo, história familiar, colonização intestinal e infecções comuns durante a infância), ainda há um mecanismo plausível para introdução do glúten como uma estratégia de prevenção e, como foi demonstrado com doenças alérgicas, o perigo de que a introdução de uma quantidade muito pequena pode sensibilizar a criança a esse alimento, enquanto aqueles com uma predisposição genética podem precisar de doses regulares e maiores do alimento para induzir a tolerância.

Metodologia

Para determinar se a introdução precoce de glúten em altas doses reduz a prevalência de DC aos 3 anos de idade, um total de 1.303 crianças da população geral da Inglaterra e País de Gales foram recrutadas do estudo EAT e acompanhadas de 2 de novembro de 2009 a 30 de julho de 2012. As amostras foram coletadas de 1° de novembro de 2012 a 31 de março de 2015, e os dados foram analisados de 25 de abril de 2017 a 17 de setembro de 2018.

A avaliação da DC foi um desfecho secundário a priori do estudo EAT e, aos 3 anos de idade, todas as crianças com amostras de soro disponíveis foram testadas para anticorpos antitransglutaminase tipo 2. Crianças com níveis de anticorpos superiores a 20 UI/L foram encaminhadas a gastroenterologistas para investigação adicional independente.

Resultados

Para análise, foram incluídos 1.004 bebês, sendo que 514 eram do sexo masculino (51,2%). A idade média de introdução no grupo EIG foi de 4 meses (variação de 4 – 33 meses), contra 7 meses no grupo SIG (variação de 5 – 21 meses). Com idades entre 4 e 5 meses, apenas 2,3% das crianças no grupo SIG tinham sido introduzidas ao glúten, em contraste com 69,5% das crianças no grupo EIG.

A quantidade média (desvio padrão – DP) de glúten consumido entre as idades de 4 e 6 meses foi de 0,49 (1,40) g/sem no SIG e 2,66 (1,85) g/sem no EIG (P <0,001). O consumo médio de glúten semanal (DP) variou de 0,08 (1,00) g/sem na idade de 4 meses a 0,9 (2,05) g/sem na idade de 6 meses no SIG versus 1,3 (1,54) g/sem na idade de 4 meses a 4,03 ( 2,40) g/sem aos 6 meses de idade no EIG. Sete das 516 crianças do SIG (1,4%) tiveram um diagnóstico de DC confirmado. Em contraposição, não houve nenhum caso de DC nas 488 crianças do grupo EIG (P = 0,02).

Limitação

Os pesquisadores descreveram que uma limitação potencial desse estudo é que os diagnósticos de DC foram feitos em diferentes centros clínicos e as biópsias foram realizadas em apenas um pequeno número de casos. No entanto, a biópsia não é mais considerada necessária para confirmar um diagnóstico de DC, e todos os diagnósticos foram feitos de acordo com as diretrizes atuais da ESPGHAN, que foram atualizadas recentemente com orientações adicionais sobre diagnósticos não baseados em biópsia.

 

Conclusões sobre ingestão precoce de glúten

Os resultados do estudo propõem que pode ter sido prematuro descontar o efeito da idade de introdução do glúten no desenvolvimento da doença celíaca. A ESPGHAN também atualmente recomenda a introdução de baixas doses de glúten inicialmente, apesar das evidências limitadas para apoiar essa recomendação, e os resultados do estudo EAT sugerem que uma dose mais alta pode ser uma estratégia de prevenção importante.

Os pesquisadores questionam se o estudo PreventCD teria obtido resultados diferentes se os bebês tivessem consumido maiores quantidades de glúten, que seriam mais semelhantes às consumidas pelas famílias na literatura observacional de onde se originou a hipótese da introdução precoce. Portanto, os resultados enfatizam a importância da realização de novos RCTs para investigar se a introdução precoce de glúten em altas doses é realmente uma estratégia eficaz para prevenir a doença celíaca.

No Brasil, os Departamentos de Nutrologia e de Aleitamento Materno da Sociedade Brasileira de Pediatria (SBP) adotam a recomendação da Organização Mundial da Saúde (OMS) e do Ministério da Saúde (MS) para que o aleitamento materno seja exclusivo até os seis meses de idade. Em casos de impossibilidade, de acordo com o Manual de Alimentação do Departamento de Nutrologia da SBP, a introdução dos alimentos deverá ser a mais ampla possível.

No entanto, um único alimento considerado alergênico deve ser introduzido a cada 3 a 5 dias, a partir do sexto mês de vida, com o objetivo de adquirir tolerância e reduzir o risco de alergenicidade. Seguindo as recomendações da ESPGHAN 2017, o glúten pode ser introduzido entre 4 e 12 meses, entretanto o consumo de grandes quantidades deve ser evitado durante as primeiras semanas após a introdução da alimentação complementar.

Autor(a):

Roberta Esteves Vieira de Castro

Graduada em Medicina pela Faculdade de Medicina de Valença. Residência médica em Pediatria pelo Hospital Federal Cardoso Fontes. Residência médica em Medicina Intensiva Pediátrica pelo Hospital dos Servidores do Estado do Rio de Janeiro. Mestra em Saúde Materno-Infantil pela Universidade Federal Fluminense (Linha de Pesquisa: Saúde da Criança e do Adolescente). Doutora em Medicina pela Universidade do Estado do Rio de Janeiro (UERJ). Pós-graduanda em neurointensivismo pelo Instituto D’Or de Pesquisa e Ensino (IDOR). Médica da Unidade de Terapia Intensiva Pediátrica (UTIP) do Hospital Universitário Pedro Ernesto (HUPE) da UERJ. Membro da Rede Brasileira de Pesquisa em Pediatria do IDOR no Rio de Janeiro. Acompanhou as UTI Pediátrica e Cardíaca do Hospital for Sick Children (Sick Kids) em Toronto, Canadá, supervisionada pelo Dr. Peter Cox. Membro da Sociedade Brasileira de Pediatria (SBP) e da Associação de Medicina Intensiva Brasileira (AMIB). Membro do comitê de sedação, analgesia e delirium da AMIB. Membro do comitê de filiação da American Delirium Society (ADS). Coordenadora e cofundadora do Latin American Delirium Special Interest Group (LADIG). Membro de apoio da Society for Pediatric Sedation (SPS).

Referências bibliográficas:

#Los #enfermos respiratorios sí deben llevar #mascarilla

Postado em Atualizado em

Un análisis internacional de neumólogos aconseja, en contra de lo recomendado, que los enfermos de asma o EPOC se protejan con mascarillas.

Varias personas en el metro con mascarillas.
Para las personas con alguna enfermedad respiratoria el uso de la mascarilla es más necesario que en el resto.

Desde que se estableciera la obligatoriedad de llevar mascarilla en todos los espacios de uso público para frenar la pandemia del coronavirus, en las consultas de Atención Primaria han proliferado las solicitudes de certificados para justificar la exención del uso de esa prenda por razones de salud.

La normativa sobre este aspecto contempla una serie de excepciones a la obligación de usar mascarilla, como el hecho de que las personas presenten algún tipo de enfermedad o dificultad respiratoria. Una Orden del 20 de mayo de 2020 establece que “se exceptúa de esta obligación a aquellas personas que presenten algún tipo de dificultad respiratoria que pueda verse agravada por la utilización de la mascarilla y a aquellas cuyo uso se encuentre contraindicado por motivos de salud o discapacidad.”

En el Respiratory Effectiveness Group, un grupo de médicos e investigadores de España, Reino Unido, Estados Unidos, Canadá y Australia, entre otros países, han revisado la evidencia disponible. Sus exhaustivas investigaciones han dado lugar a un estudio que se publica hoy en European Respiratory Journal. El análisis concluye que no utilizar mascarilla para evitar un ataque de asma o exacerbaciones de la EPOC o de otras enfermedades respiratorias debido a un supuesto aumento de las presiones inspiratorias a través de una mascarilla está infundado. No hay evidencia que sustente esta excepción y sí, en cambio, que los pacientes con una enfermedad respiratoria tienen un alto riesgo de sufrir covid-19 grave.

Eliminar la excepción

De ahí que los autores insten a los gobiernos a eliminar esta excepción. “Los pacientes con asma, EPOC u otras enfermedades respiratorias deben usar la mascarilla sin excepciones. Si tienen insuficiencia respiratoria o una sensación de falta de aire al ponérsela, lo más recomendable es que limiten su actividad, especialmente al aire libre”, indica Joan B. Soriano, epidemiólogo del Servicio de Neumología del Hospital La Princesa en Madrid, miembro del Covid-19 Clinical Network Knowledge Exchange Team de la OMS en Ginebra, y autor principal del estudio.

Sinthia Bosnic-Anticevich, del Instituto Woolcock de la Universidad australiana de Sidney, presidenta del REG y también coautora, añade: “Si usted o un familiar suyo padecen asma, EPOC u otra enfermedad respiratoria crónica, use mascarilla para protegerse y proteger a los demás. Este es un virus nuevo y una enfermedad nueva, pero la información es clara y las decisiones individuales son fundamentales para derrotar esta pandemia”.

Se estima que hay 545 millones de personas en todo el mundo que padecen una enfermedad respiratoria crónica, y no usar mascarilla puede conllevar un mayor riesgo de infección personal y grupal. “A falta de una vacuna eficaz debemos extremar al máximo las medidas de prevención, incluyendo el uso apropiado de las mascarillas. Esto incluye también y en especial a los pacientes respiratorios”, comenta Marc Miravitlles, neumólogo del Hospital Universitario Vall d’Hebron, en Barcelona.

#Un nuevo algoritmo personaliza el #riesgo cardiovascular en personas sanas

Postado em

Calcular el riesgo de sufrir una enfermedad cardiovascular podría conseguirse de forma más precisa gracias a un nuevo algoritmo desarrollado por científicos del CNIC.

Placa de ateroma.
El algoritmo EN-PESA mejora la predicción del riesgo cardiovascular antes de que la placa de ateroma produzca algún evento.

Basándose en la cohorte PESA (Progression of Early Subclinical Atherosclerosis) que recopila una gran cantidad de datos de más de 4.000 voluntarios sanos, un equipo de científicos del Centro Nacional de Investigaciones Cardiovasculares (CNIC) ha diseñado un algoritmo que personaliza el riesgo cardiovascular de individuos de mediana edad y sanos, atendiendo a su edad, tensión arterial, dieta y marcadores medibles en análisis de sangre y orina convencionales.

El algoritmo EN-PESA, cuya descripción publica hoy The Journal of American College of Cardiology (JACC), podría calcular de forma sencilla y económica el grado de aterosclerosis subclínica -caracterizada por el depósito de sustancias lipídicas en las paredes de las arterias-, especialmente para las personas con un mayor riesgo.

Los autores del trabajo escriben que “gracias a este algoritmo se puede mejorar el manejo clínico de personas aparentemente sanas y con un bajo riesgo cardiovascular según los marcadores tradicionales, pero que presentan una extensión generalizada de aterosclerosis subclínica o una probabilidad alta de que la enfermedad progrese significativamente a corto plazo”.

Este nuevo sistema de cálculo forma parte del proyecto colaborativo PESA-CNIC-SANTANDER, cuyo investigador principal es el director del CNIC, Valentín Fuster. El proyecto se inició en 2010 y se ha renovado hasta 2030. Se trata de uno de los estudios de prevención cardiovascular más importantes del mundo; desde su inicio recoge y analiza múltiples parámetros relacionados con la caracterización de la aterosclerosis mediante técnicas de imagen, identificación del estilo de vida y del perfil bioquímico y molecular, así como la condición médica de más de 4.000 empleados del Banco Santander que participan voluntariamente en este proyecto.

Normalmente, la enfermedad aterosclerótica se detecta en estadios avanzados, cuando ya ha provocado eventos clínicos como infarto de miocardio o accidente cerebrovascular. Para avanzar en la detección precoz, el algoritmo EN-PESA ha seleccionado la información obtenida a partir de los datos de los voluntarios para identificar un conjunto de variables fácilmente medibles en atención primaria. Los parámetros incluyen la edad, presión arterial e información recogida de manera rutinaria en análisis de sangre y orina y en cuestionarios sobre el estilo de alimentación.

El algoritmo es del tipo de aprendizaje máquina (machine-learning), similar a los que utiliza Google, que se definen porque aprenden a partir de los datos. Son algoritmos “llamados a revolucionar la práctica clínica en los próximos años, desde el diagnóstico hasta la prevención y el tratamiento, gracias a una mejor cuantificación del riesgo, que podrá ser calculado de manera personalizada y muy precisa utilizando toda la información disponible del individuo”, asegura Enrique Lara Pezzi, director de la investigación y jefe de grupo de Regulación Molecular de la Insuficiencia Cardiaca del CNIC.

Como explica Fátima Sánchez Cabo, jefa de la Unidad de Bioinformática del CNIC, “la potencia de estos algoritmos reside en que son capaces de gestionar muchas variables. En este caso concreto, hemos podido introducir variables cuantitativas; por ejemplo, no hace falta indicar si el individuo que se estudia es diabético o no, o si tiene el colesterol alto o bajo. Es suficiente con introducir los datos al respecto obtenidos del análisis de sangre”.

El algoritmo EN-PESA utiliza el modelo de aprendizaje máquina llamado Elastic Net, “que resulta bastante transparente”, lo que permite conocer qué peso asigna a cada variable. De esta forma, se alcanza un mayor conocimiento de los factores que influyen en el riesgo cardiovascular, más allá de los ya identificados.

De hecho, entre los hallazgos ya publicados que se han extraído del estudio PESA se ha observado que niveles normales de colesterol LDL pueden asociarse con aterosclerosis subclínica. De igual manera se ha observado en este último estudio cómo influyen en la predicción los valores de la hemoglobina glicosilada.

Para este estudio se han utilizado 115 variables, teniendo en cuenta aquellas que fueran fácilmente medibles en atención primaria. El algoritmo serviría de filtro para derivar a los individuos de riesgo incrementado al cardiólogo y para poder hacer hincapié en la prevención.

El algoritmo se ha validado en la cohorte independiente AWHS, con buenos resultados. No obstante, destaca Sánchez Cabo, se enriquecerá al sumarles más datos, por eso “ahora queremos evaluarlo en cohortes más amplias y heterogéneas”.

El trabajo es fruto del esfuerzo de un equipo multidisciplinar que incluye médicos, matemáticos, químicos, biólogos, estadísticos, bioinformáticos, enfermeras y otros muchos profesionales que lo han hecho posible junto con la colaboración de los participantes del Banco.

#Avantage des #iSGLT2 sur les #iDPP4 dans la protection rénale des patients #diabétiques de type 2 dans une étude de vraie vie

Postado em

Bernard BAUDUCEAU, Saint-Mandé

Les grandes études de « safety » concernant les inhibiteurs du SGLT2 (iSGLT2) ont mis en évidence leur intérêt dans la protection cardiovasculaire, l’insuffisance cardiaque et les complications rénales des patients diabétiques de type 2. Ces données innovantes méritaient d’être confirmées dans des études menées en pratique clinique de routine.

Les grandes études de « safety » concernant les inhibiteurs du SGLT2 (iSGLT2) ont mis en évidence leur intérêt dans la protection cardiovasculaire, l’insuffisance cardiaque et les complications rénales des patients diabétiques de type 2. Ces données innovantes méritaient d’être confirmées dans des études menées en pratique clinique de routine. Cette enquête qui s’est déroulée dans le cadre de la Suède, du Danemark et de la Norvège s’est attachée, à partir des données de registres nationaux, à comparer les résultats obtenus en matière de protection rénale d’un traitement par iSGLT2 et d’un inhibiteur des DPP4 (iDPP4).

Ce travail a examiné les événements rénaux dans une cohorte de 29 887 patients traités par iSGLT2 (dapagliflozine 66,1 % ; empagliflozine 32,6 % ; canagliflozine 1,3 %) et chez 29 887 sujets recevant un iDPP-4, appariés sur la base d’un score de propension à 57 variables.

Le critère principal de jugement, au cours d’un temps de suivi moyen de 1,7 ± 1 ans, était constitué d’un composite comprenant une thérapie de remplacement rénal, la mort de cause rénale et l’hospitalisation pour un événement rénal.

L’âge moyen de la population étudiée était de 61,3 ± 10,5 ans. Parmi les sujets inclus, 11 108 (19 %) présentaient une maladie cardiovasculaire et 1 974 (3 %) une maladie rénale chronique. L’utilisation des iSGLT2 par rapport aux iDPP4, était associée à une réduction du risque d’événements rénaux graves (2,6 événements pour 1 000 années-personnes contre 6,2 événements pour 1 000 années-personnes) correspondant à un rapport de risque de 0,42 (intervalle de confiance à 95 % : 0,34 à 0,53).

Les résultats observés dans les différents composants du critère principal de jugement montrent également une diminution du rapport de risque en faveur des iSGLT2 par rapport aux iDPP4 de 0,32 (0,22 à 0,47) pour la thérapie de remplacement rénal, de 0,41 (0,32 à 0,52) pour l’hospitalisation pour des événements rénaux et de 0,77 (0,26 à 2,23) pour la mort de cause rénale.

Ce modèle a été ajusté pour l’HbA1c et le taux de filtration glomérulaire estimé (en Suède et au Danemark) et pour la pression artérielle, l’indice de masse corporelle et le tabagisme (en Suède uniquement). Dans ces analyses, le hazard ratio est passé de 0,41 (0,26 à 0,66) à 0,50 (0,31 à 0,81) en Suède et de 0,42 (0,32 à 0,56) à 0,55 (0,41 à 0,74) au Danemark.

Dans cette analyse utilisant des données nationales de trois pays, la prise des iSGLT2, par rapport aux iDPP4 était donc associée à un risque significativement réduit d’événements rénaux graves. Ces résultats confirment les données des grandes études en matière de protection rénale des iSGLT2 et soulignent une fois de plus l’urgence de la mise à disposition de cette classe médicamenteuse en France, ce qui est maintenant chose faite pour la dapagliflozine.

Figure 1. Incidence cumulée des événements rénaux graves.

Figure 2. Analyses en sous-groupes des événements rénaux graves.


Publié par Diabétologie Pratique

Références

Cliquez sur les références et accédez aux Abstracts sur pubmed

Pasternak B et al. Use of sodium-glucose co-transporter 2 inhibitors and risk of serious renal events: Scandinavian cohort study. BMJ 2020 ; 369 : m1186. Rechercher l’abstract

#Exercise Cuts #Diabetes Death Risk by a Third

Postado em Atualizado em

Type 2 diabetes patients could lower their risk for death from any cause by up to a third by exercising at a moderate to high level or by cycling, according to data from two studies reported at the virtual annual meeting of the European Association for the Study of Diabetes.

Yun-Ju Lai, MD, and colleagues from the Puli branch of Taichung Veterans General Hospital in Nantou, Taiwan, found that persons with type 2 diabetes who exercised at moderate to high intensity had a 25%-32% decreased risk for death, compared with those who did not exercise.

In a separate study, Mathias Ried-Larsen, MSc, PhD, group leader at the Centre for Physical Activity Research, Rigshospitalet, Copenhagen, and associates found that cycling was associated with a 25%-31% decreased risk for all-cause death compared to no cycling, and that cycling also reduced cardiovascular mortality.

Results Fit With ADA Recommendations

“There is really nothing surprising about these results as others have shown that regular participation in physical activity lowers both overall mortality rates and morbidity,” commented Sheri Colberg-Ochs, PhD, professor emerita in exercise science at Old Dominion University in Norfolk, Va., in an interview.

“Regular exercise participation lowers the risk of mortality in almost all populations with many different health conditions. It is not specific to people with type 2 diabetes,” Dr. Colberg-Ochs said. “These data add further support to the ADA [American Diabetes Association] recommendations by again suggesting that being more active leads to many health benefits for people with type 2 diabetes.”

Dr. Colberg-Ochs, who was not involved in either study, is recognized by the ADA as an Outstanding Educator in Diabetes. She was also involved in writing the ADA’s position statement on physical activity/exercise in diabetes, which advocate that adults with type 2 diabetes should reduce sedentary time and undertake both aerobic and resistance exercise training to help optimize their glycemic and general health outcomes.

Asian Population Understudied

In an interview Dr. Lai acknowledged that epidemiologic studies had shown that exercise reduced the risk of cardiovascular events and mortality in subjects with type 2 diabetes. “However, the dose of exercise capacity for reducing mortality risk in people with type 2 diabetes was not yet well investigated, especially in the Asian population.”

Dr. Lai and colleagues analyzed data on 4,859 subjects drawn from two Taiwanese databases – the National Health Interview Survey and the National Health Insurance research database – to study what effect exercise “capacity” had on the risk for death in those with type 2 diabetes.

“Information about physical activity during leisure time was collected by asking the questions: ‘How often do you exercise every week? What kind of exercise do you do? How long do you do the exercise?’, Dr. Lai said. “We included nearly all kinds of exercise in the analysis, such as jogging, swimming, walking, dancing, riding, and so on.”

Each exercise had an activity intensity code expressed as kilocalories per minute. This was used to determine the exercise “capacity” by multiplying it by how frequently the exercise was performed per week and for how long each time.

“I don’t think ‘capacity’ is the right word to use here. The equation they used describes their exercise ‘volume,’ not their capacity. Self-reported exercise is notoriously inaccurate,” Dr. Colberg-Ochs observed. Furthermore, “just asking people how much they exercise and at what intensity [without using a validated exercise questionnaire] gives questionable results.”

The study’s findings, however, were clear: Those who exercised at a higher level had a significantly decreased risk for all-cause mortality than did those with no exercise habits. The hazard ratio for death by any cause was 0.75 for those who undertook a moderate level of exercise, burning 0-800 kcal per week. Exercising at a higher level burned more than 800 kcal had an HR of 0.68. A significant (P < .01) trend in favor of more exercise was noted.

Cycling Reduces All-Cause and Cardiovascular Mortality

In their prospective cohort study, Dr. Ried-Larsen and associates took a more specific look at the effects of exercise on mortality in diabetes by studying a single exercise: cycling. They sampled data on more than 5,000 people collected as part of the European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition study. First, they identified participants with diabetes – although they couldn’t distinguish type 1 from type 2 forms because this was self-reported or obtained from registries. They then identified those who reported cycling at their baseline assessment and those who reported a change in cycling habits at their second examination around 5 years later.

At baseline, 38% of participants reported that they cycled every week. The mean age was 56 years, diabetes duration was 8 years, one-fifth were smokers, and the average body mass index was 29 kg/m2.

Participants who reported cycling up to 1 hour every week at baseline had a 25% reduction in all-cause mortality, compared with those who did not cycle. The biggest reduction (31%) in all-cause mortality was seen for cycling 2.5-5 hours a week; cycling for 1-2.5 hours, and for more than 5 hours, yielded 23% and 24% risk reductions, respectively.

A reverse J–shaped relationship between cycling duration and reduction in all-cause mortality was seen, Dr. Ried-Larsen noted during a live oral session at the virtual meeting. “The maximum benefit [was at] around 5 hours per week, and the benefits persisted until around 9 hours per week.” Adjustment for the prevalence of stroke, MI, cancer, hyperlipidemia, hypertension, and central obesity did not alter the findings.

“The direction of the association was the same for cardiovascular mortality as all-cause mortality, although a bit weaker, with the maximum benefit being around 4 hours per week, and that persisted up until around 8 hours per week,” Dr. Ried-Larsen said.

The benefits of cycling on all-cause and cardiovascular mortality were lost, however, if those who cycled at baseline stopped by the second examination. Those who did not cycle at the first but did at the second examination got a benefit on both, as did those who continued cycling.

“Cycling is among one of the preferred activities for diabetes patients, so it actually may help them to achieve the recommend level of physical activity,” Dr. Ried-Larsen said.

Tailored Exercise Program Important

Advice for exercise “should be tailored to the individual and based on starting fitness levels and activity levels,” Dr. Colberg-Ochs recommended.

“Those who are the most sedentary and the least fit have the most to gain from doing any activity. They should be advised to start out slowly and progress slowly with both aerobic activities and some resistance training,” Dr. Colberg-Ochs said.

She added: “In addition, individuals over 40 should engage in regular balance training, and all individuals should do some flexibility exercises.”

The studies received no commercial funding and all those mentioned in this article had no conflicts of interest to disclose.

SOURCE: Lai Y-J et al. EASD 2020, Poster presentation 267; Ried-Larsen M et al. EASD 2020, Oral presentation 194.

This article originally appeared on MDedge.com, part of the Medscape Professional Network.

#En la salud y en la enfermedad… los #modos de vida de parejas repercuten en el #riesgo de diabetes

Postado em

Como cabría esperar, los factores de riesgo relacionados con el modo de vida, como la actividad física y la dieta, resultaron tener más influencia en determinar el riesgo de diabetes de tipo 2 en una pareja de cónyuges, que los factores fisiológicos, como tolerancia a la glucosa o sensibilidad a la insulina, demostraron investigadores.[1]

“En esencia, estos datos indican que las intervenciones basadas en pareja dirigidas a las similitudes de los cónyuges podrían ser una forma eficiente de implementar tales intervenciones en el modo de vida”, comentó el director del estudio, Dr. Omar Silverman-Retana, Ph. D.

“Identificamos que la concordancia conyugal era más fuerte para los factores de riesgo conductuales, en particular la actividad física y la dieta”, indicó a Medscape Noticias Médicas.

El Dr. Silverman-Retana, del Steno Diabetes Center Aarhus, Aarhus University Hospital, en Aarhus, Dinamarca, informó sobre los hallazgos en un cartel en el Congreso Anual de la European Association for the Study of Diabetes (EASD) de este año, que tuvo lugar de forma virtual a causa de la pandemia de coronavirus.

Efectivamente, se observó que la concordancia era más débil para los marcadores fisiopatológicos debido a que están más determinados biológicamente, en comparación con los factores relacionados con el modo de vida.

Janice Kiecolt-Glaser, Ph. D., es investigadora de la bioconducta marital, cuyo interés se enfoca en la concordancia conyugal para muchos trastornos crónicos de la salud.

“Esta investigación es parte de un conjunto creciente de datos que transmite un mensaje claro: ¡Hay que tener cuidado de con quién se casa uno, la vida depende de ello!”, destacó.

“Definitivamente, la conducta de la pareja influye en la propia, y en el caso de la diabetes los investigadores han encontrado vínculos conductuales claros, y esto hace sentido”, manifestó a Medscape Noticias Médicas.

“Además, datos de nuestro laboratorio y otros más demuestran que los microbiomas intestinales de las parejas que cohabitan son más similares que los de las parejas no emparentadas”, señaló Kiecolt-Glaser, profesor de psiquiatría y salud conductual en el Ohio State University College of Medicine, en Columbus, Estados Unidos.

“La dieta y el ejercicio tienen influencias sustanciales en el microbioma intestinal, y cada vez hay más datos de que el microbioma intestinal contribuye al riesgo de diabetes. Esta investigación se ajusta a lo que sabemos y lo amplía”.

Un panorama exhaustivo de los mecanismos que conducen a diabetes

La investigación dirigida por el Dr. Silverman-Retana y sus colaboradores comprendió un análisis transversal de parejas que participaron en Maastricht, estudio de fenotipificación ampliada que se enfoca en las causas de la diabetes de tipo 2, sus complicaciones características y sus comorbilidades emergentes.

Los investigadores midieron una lista exhaustiva de indicadores de modo de vida y fisiológicos, y utilizando el aspecto del estudio relacionado con la red social identificaron 172 parejas con información completa para el análisis final.

La concordancia conyugal en los factores relacionados con el modo de vida y los mecanismos fisiopatológicos de la diabetes de tipo 2, incluida la función de la célula beta y la sensibilidad a la insulina, se determinaron utilizando análisis de regresión. Los factores de riesgo consistieron en perímetro de la cintura, porcentaje de tejido adiposo corporal, actividad física, tiempo de sedentarismo, Índice de Dieta Saludable Neerlandés (DHDI) y consumo total de energía.

Además, los investigadores evaluaron el estado del metabolismo de la glucosa utilizando la glucosa en ayunas y la glucosa plasmática a las 2 horas, así como la hemoglobina glucosilada, y también derivaron índices de función de la célula beta utilizando una prueba de tolerancia a la glucosa en siete lapsos de tiempo, así como la sensibilidad a la insulina.

“Lo más importante, medimos factores de riesgo y factores fisiopatológicos en el mismo estudio y con el mismo detalle en las dos parejas, lo que proporciona una imagen más exhaustiva de los mecanismos que conducen a la diabetes de tipo 2”, resaltó el Dr. Silverman-Retana.

Se han realizado estudios que abordan el riesgo de enfermedad y la concordancia de parejas. En un estudio previo, también realizado por el Dr. Silverman-Retana y sus colaboradores en la Aarhus University, se encontró vínculo entre el peso corporal de un cónyuge y las posibilidades de un diagnóstico de diabetes de tipo 2 en el otro.

Otro estudio, reportado en Medscape Noticias Medicas en 2018, demostró que cuando un cónyuge trataba de bajar de peso con un programa de control de peso, el cónyuge “no tratado” también tenía probabilidades de perder un poco de peso.

El Dr. Silverman-Retana señaló que en otro estudio en que se analizan similitudes y diferencias en las parejas se ha investigado la actividad física utilizando cuestionarios autoadministrados, pero en el presente se utilizaron datos derivados de acelerómetro. “Estos proporcionan una medida más precisa de la actividad física”, dijo, al señalar una forma en la que el nuevo estudio difiere de los anteriores.

Los hallazgos indican que en lo que respecta a los hombres, la concordancia conyugal más fuerte fue para el DHDI, lo que significa que un incremento de una unidad en el DHDI de los cónyuges se asoció con una diferencia de 0,53 unidades en el DHDI de los hombres.

En el caso de las mujeres, la concordancia más fuerte fue para el tiempo invertido en actividad física de gran intensidad, de manera que el aumento de una unidad en el tiempo de los esposos invertido en la actividad física de gran intensidad se relacionó con una diferencia de 0,36 unidades en el tiempo de las mujeres invertido en actividad física de gran intensidad.

“Si comparamos, la concordancia se debilita conforme nos desplazamos hacia los factores de riesgo causales inmediatos para la diabetes de tipo 2”, explicó el Dr. Silverman-Retana. “La concordancia más débil se encontró en los índices de función de la célula beta y los indicadores del metabolismo de la glucosa, pues estos están más determinados por factores biológicos”.

La concordancia es explicable principalmente por el hecho de que tendemos a elegir un cónyuge que tiene características similares a las propias, en lo que respecta a clase social o nivel educativo, antecedente de tabaquismo, y hábitos de ejercicio y dieta, agregó la investigadora.

“Sería interesante saber de qué manera la similitud conductual depende de la duración del matrimonio o del tiempo transcurrido en vida de pareja. Se necesitarán estudios en un futuro para analizar esto”, concluyó.

El Dr. Silverman-Retana y Kiecolt-Glaser han declarado no tener ningún conflicto de interés económico pertinente.

#O #isolamento social durante a pandemia de #Covid-19 e seu impacto em outras #infecções em pediatria

Postado em

Criança em isolamento social durante a pandemia de Covid-19

As políticas de isolamento social (IS) para mitigar a pandemia de Covid-19 em Massachusetts, nos Estados Unidos, resultaram em uma redução profunda no diagnóstico de doenças infecciosas comuns entre crianças, segundo o estudo Social Distancing for Covid-19 and Diagnoses of Other Infectious Diseases in Children publicado no jornal Pediatrics.

Hatoun e colaboradores procuraram determinar o efeito do IS sobre 12 doenças infecciosas comumente diagnosticadas na atenção primária pediátrica, que são contagiosas em vários graus: otite média aguda (OMA), bronquiolite, resfriado comum, crupe, gastroenterite, gripe, faringite não estreptocócica, faringite estreptocócica, pneumonia, sinusite, infecções cutâneas e de partes moles e infecção do trato urinário (ITU).

 

Método

Utilizando dados de prontuários eletrônicos de uma grande rede de cuidados primários pediátricos de Massachusetts, onde são atendidos aproximadamente 375.000 pacientes pediátricos, os pesquisadores analisaram a incidência semanal de cada diagnóstico por meio de encontros presenciais durante a semana e por meio de telemedicina (exceto feriados) para crianças e adolescentes com idades entre 0 e 17 anos para o mesmo período em 2019 e 2020, com início em 1º de janeiro (correspondentes a períodos antes e depois da promulgação de IS e também de fechamento de escolas e serviços não essenciais). As taxas de diagnóstico observadas por 100.000 pacientes foram consideravelmente menores depois da implementação do distanciamento social: a prevalência de cada condição foi significativamente inferior no período pós-IS de 2020 do que seria esperado para todas as condições analisadas (p < 0,001 para todos os diagnósticos).

Possíveis causas

Para Hatoun e equipe, essa diminuição pode ser devido a um declínio na prevalência das doenças ou a uma escolha de não procurar atendimento quando as doenças ocorreram ou a ambos. Uma redução menos expressiva nos diagnósticos de ITU, uma doença infecciosa, mas geralmente não contagiosa, sugere que as mudanças no comportamento de busca de cuidados tiveram um efeito relativamente modesto nas outras quedas observadas. Os pesquisadores enfatizaram que, embora não seja surpreendente que a transmissão de doenças infecciosas diminua com o IS, esses dados demonstram até que ponto a transmissão de infecções pediátricas comuns pode ser alterada quando o contato próximo com outras crianças é eliminado. Gripe, crupe e bronquiolite notavelmente desapareceram essencialmente com o isolamento social.

Em relação à gripe, os diagnósticos em 2020 excederam os de 2019, conforme esperado a partir dos dados de vigilância nacional, mas a sua propagação parece ter terminado abruptamente com o isolamento social. Os pesquisadores comentaram que esse dado difere um pouco de um relatório recente do Japão, que evidenciou um declínio significativo, mas não tão dramático, nos casos de gripe coincidentes com o isolamento social. Os resultados diferentes podem estar relacionados ao momento do isolamento social dentro da temporada de gripe, diferentes abordagens para o isolamento social no 2 locais, ou o fato de que o estudo japonês incluiu pacientes de todas as idades, enquanto o estudo americano teve apenas a pediatria como alvo.

 

Conclusão

Diante desses resultados, os pesquisadores concluíram que os riscos de doenças infecciosas pelo contato entre as pessoas sempre foram implicitamente pesados contra os benefícios da interação social. O experimento natural atual de isolamento social que ocorreu de forma abrupta e generalizada durante a pandemia de Covid-19 permitiu uma avaliação mais explícita da magnitude desses riscos em crianças e pode informar estratégias para mitigação do risco de doenças infecciosas à medida que a interação social aumenta no futuro.

Autor(a):

Roberta Esteves Vieira de Castro

Graduada em Medicina pela Faculdade de Medicina de Valença. Residência médica em Pediatria pelo Hospital Federal Cardoso Fontes. Residência médica em Medicina Intensiva Pediátrica pelo Hospital dos Servidores do Estado do Rio de Janeiro. Mestra em Saúde Materno-Infantil pela Universidade Federal Fluminense (Linha de Pesquisa: Saúde da Criança e do Adolescente). Doutora em Medicina pela Universidade do Estado do Rio de Janeiro (UERJ). Pós-graduanda em neurointensivismo pelo Instituto D’Or de Pesquisa e Ensino (IDOR). Médica da Unidade de Terapia Intensiva Pediátrica (UTIP) do Hospital Universitário Pedro Ernesto (HUPE) da UERJ. Membro da Rede Brasileira de Pesquisa em Pediatria do IDOR no Rio de Janeiro. Acompanhou as UTI Pediátrica e Cardíaca do Hospital for Sick Children (Sick Kids) em Toronto, Canadá, supervisionada pelo Dr. Peter Cox. Membro da Sociedade Brasileira de Pediatria (SBP) e da Associação de Medicina Intensiva Brasileira (AMIB). Membro do comitê de sedação, analgesia e delirium da AMIB. Membro do comitê de filiação da American Delirium Society (ADS). Coordenadora e cofundadora do Latin American Delirium Special Interest Group (LADIG). Membro de apoio da Society for Pediatric Sedation (SPS).

Referências bibliográficas:

  • Hatoun J, Correa ET, Donahue SMA, Vernacchio L. Social Distancing for Covid-19 and Diagnoses of Other Infectious Diseases in Children. Pediatrics. 2020 Sep 2:e2020006460. doi: 10.1542/peds.2020-006460. Epub ahead of print. PMID: 32879032.