Mês: março 2019

#Second potential #male birth control pill passes human safety tests

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A potential new male birth control pill has passed safety and efficacy tests. New data suggest daily oral 11β-methyl-19-nortestosterone 17β-dodecylcarbonate (11β-MNTDC) is well tolerated and results in marked suppression of endogenous testosterone and gonadotropin production.

The placebo-controlled, double-blind study randomised 40 healthy men (aged 18-50 years) to receive either placebo (n=10) or 11β-MNTDC 200 mg (n=14) or 400 mg (n=16) daily for 28 consecutive days.

11β-MNTDC resulted in a dose-proportional increase in serum 11β-MNTDC and 11β-MNT concentrations over 24 hours. This was accompanied by dose-related suppression of serum Cavg24h T. Compared with a level of 461.1 ng/dL with placebo, levels with 200 and 400 mg doses were 22.3 ng/dL and 7.6 ng/dL, respectively.

The drug was well tolerated, with no serious adverse events or significant clinical concerns. Treatment-related adverse events occurred in 22 participants receiving 11β-MNTDC, including fatigue (n=4), headache (n=6), acne (n=5), decreased libido (n=5) and erectile dysfunction (n=2).

There were no significant changes in blood pressure, liver enzymes, electrocardiograph and depression scores.

Sexual desire was reduced with 400 mg dose. There were significant dose-related increases in weight, with a median change of 1.3 kg with 200 mg and 1.9 kg with 400 mg, compared with 0.6 kg with placebo.

#El #uso del móvil causa #pérdida de sueño, #ansiedad y disminución de la #capacidad productiva (Front Psychiatry)

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El uso del teléfono móvil puede tener efectos negativos en la salud de sus usuarios, como pérdida de sueño, ansiedad, disminución de la capacidad productiva, mayor riesgo en la conducción y otras dolencias, según un estudio realizado por la Universidad Tecnológica de Queensland (Australia) y publicado en Frontiers in Psychiatry.

Para este proyecto se ha analizado una muestra de 709 usuarios de smartphones en Australia de entre 18 y 83 años en 2018, a los que se les ha formulado preguntas similares a las de una encuesta de 2005.

Los resultados de este estudio, liderado por Oscar Oviedo-Trespalacios, muestran que aproximadamente el 24% de las mujeres y el 15% de los hombres pueden ser clasificados como “usuarios problemáticos de móviles”. Entre los encuestados de 18 y 24 años el número asciende a 40,9%, y disminuye a un 23,5% entre 25 y 29 años.

A los participantes también se les preguntó sobre sus hábitos al conducir, lo que permitió a los investigadores conocer el uso del teléfono como problema fuera y dentro de la carretera.

Algunos de los hallazgos claves de esta encuesta destacan que una de cada cinco mujeres (19,5%) y uno de cada ocho hombres (11,8%) han culpado al uso del móvil de la pérdida de sueño. El 12,6% de los hombres ha asegurado que su productividad ha caído, frente al 14% de las mujeres.

En este contexto, el 54,9% de las mujeres y el 41,6 de los hombres han explicado que sería difícil ponerse en contacto con sus amigos si no tuviesen móvil, al igual que una de cuatro mujeres y uno de cada seis hombres ha afirmado que prefiere pasar más tiempo con su teléfono móvil que lidiar con problemas más importantes.

“Nuestra encuesta ha encontrado que la intrusión de los móviles en la vida cotidiana ha aumentado tanto en hombres como mujeres de todas las edades. Estos hallazgos suponen que los móviles afectan de manera importante a la falta de sueño y al aumento del abandono de las responsabilidades”, explica Oviedo-Trespalacios.

Además, este especialista asegura que Australia tiene una de las tasas más altas de uso de teléfonos móviles, con un 88% de adultos que poseen un smartphone. A nivel mundial, se estima que existan 2,5 millones de usuarios de teléfonos inteligentes solo en este año.

#Caminar cuesta abajo después de las comidas mejora la #salud ósea en #mujeres posmenopáusicas con diabetes

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Caminar cuesta abajo después de las comidas mejora la salud ósea en mujeres posmenopáusicas con diabetes, según ha evidenciado un estudio llevado a cabo por investigadores estadounidenses y que ha sido presentado en la reunión anual de la Endocrine Society (ENDO 2019), celebrada en Nueva Orleans (Estados Unidos).

Todas las mujeres corren el riesgo de pérdida ósea después de la menopausia debido a una pérdida de estrógeno, si bien las mujeres posmenopáusicas con diabetes experimentan más fracturas en los huesos que las mujeres posmenopáusicas que esta enfermedad.

Para llevar a cabo el trabajo, los investigadores estudiaron a 15 mujeres posmenopáusicas con diabetes en dos de los experimentos de cinco días de duración. Un grupo no hizo ejercicio, mientras que los grupos restantes pasaron 40 minutos haciendo ejercicio en una caminadora cuesta arriba o cuesta abajo. Los participantes hicieron ejercicio una hora antes o una hora después de comer cada una de las dos comidas diarias, y tuvieron que llevar plantillas de zapatos especiales para medir el impacto de su caminar.

La sangre de las mujeres se midió cada hora para buscar marcadores de formación ósea y reabsorción, así como sus niveles de glucosa e insulina. De esta forma, los expertos encontraron que la forma más efectiva de reducir la descomposición de la proteína colágeno, que ayuda a formar los huesos, era caminar cuesta abajo después de comer.

“Hacer ejercicio después de comer puede ayudar a que los nutrientes de los alimentos se absorban en el torrente sanguíneo. El mejor ejercicio para tus huesos es el tipo de soporte de peso, que te obliga a trabajar contra la gravedad. Cuando caminas cuesta abajo, la fuerza de la gravedad es mayor”, concluyen los autores del estudio.

#Le #lait maternel tiré à l’aide d’un tire-lait est moins bon que celui donné au sein

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Le lait maternel tiré à l’aide d’un tire-lait pourrait être un peu moins bon que le lait venant directement du sein de la mère, suggère une nouvelle étude.

Des chercheurs ont observé que le lait maternel des femmes qui tiraient leur lait à l’aide d’un tire-lait présentait généralement davantage de bactéries potentiellement dangereuses, ainsi qu’une abondance et une diversité réduites de microbes bénéfiques, que le lait des femmes qui nourrissaient leur nourrisson uniquement au sein.

Cette étude représente la plus récente étape d’un nouveau domaine de recherche : Qu’est-ce qui détermine la composition des bactéries dans le lait maternel, et quels sont les effets potentiels sur la santé des bébés ?

« Jusqu’à il y a environ 10 ans, on supposait que le lait maternel était stérile », explique Meghan Azad, chercheuse principale.

Cependant, le corps humain regorge de bactéries résidentes et d’autres microbes. La recherche commence à mettre en évidence comment ces microbes, en particulier ceux présents dans les intestins, affectent les processus physiologiques et les risques de maladie.

Certaines de ces études se sont intéressées au lait maternel et ont découvert qu’il contenait en réalité de grandes quantités de bactéries, selon Azad. Cela laisse néanmoins de nombreuses questions sans réponse, notamment : D’où viennent ces bactéries ? Quels sont les facteurs qui rendent le lait maternel d’une femme différent du lait d’une autre femme ?

L’une des théories est que les bactéries « migrent » depuis le tube digestif de la mère pour arriver dans son lait maternel, explique Azad, qui est professeur adjoint de pédiatrie et de santé infantile à l’Université du Manitoba, au Canada.

Cependant, selon elle, d’autres facteurs pourraient entrer en jeu. Les nouveaux résultats suggèrent que la manière dont le lait maternel est donné, soit directement, soit en le tirant à l’aide d’un tire-lait, est l’un de ces facteurs.

Les chercheurs ont analysé des échantillons de lait maternel provenant de presque 400 mères, quelques mois après leur accouchement. Une variation importante de l’équilibre microbien a été observée parmi les échantillons, indique Azad.

Toutefois, un facteur était invariablement associé à cette composition microbienne : le mode d’alimentation, à savoir le fait de nourrir le bébé uniquement au sein ou d’utiliser du lait tiré à l’aide d’un tire-lait.

Le lait des mères qui tiraient leur lait contenait généralement davantage de bactéries de certaines familles pouvant parfois entraîner des infections, par exemple les Stenotrophomonas et les Pseudomonadaceae.

En outre, le lait des mères qui allaitaient leur bébé directement présentait une plus grande diversité de bactéries bénéfiques, ce qu’on l’on considère généralement comme meilleur. Cela comprenait d’ailleurs les microbes qui se trouvent en général dans la bouche.

Ce résultat suggère que les bactéries buccales des bébés sont l’une des sources des microbes présents dans le lait maternel, selon Azad.

La grande question est de savoir ce que tout cela signifie.

Les chercheurs ne savent pas encore exactement si le mode d’alimentation affecte l’équilibre bactérien dans les intestins des bébés, ou, de façon plus générale, leur santé ou leur développement, explique Azad.

Les recherches précédentes, souligne-t-elle, ont montré que les microbes intestinaux sont importants pour le développement du système immunitaire des nourrissons. De plus, les « perturbations » de ces bactéries tôt dans la vie ont été liées à une augmentation des risques d’allergies et d’asthme.

Azad indique que son équipe prévoit d’étudier si la composition bactérienne du lait maternel est également liée aux risques de ces maladies, ainsi qu’à la croissance des bébés.

« Au bout du compte, c’est ce dont se soucient les parents », dit-elle.

Les résultats ont été publiés le 13 février dans la revue Cell Host & Microbe.

Pour le moment, certaines choses sont claires : Le lait maternel, qu’il soit donné au sein ou au biberon, est la meilleure source de nutrition pour les nourrissons, explique Dr Lori Feldman-Winter, présidente de la division consacrée à l’allaitement de l’American Academy of Pediatrics.

Nourrir les bébés au sein est « idéal » selon Dr Feldman-Winter, qui n’a pas contribué à l’étude. « Mais le deuxième meilleur choix est le lait maternel tiré [à l’aide d’un tire-lait] », indique-t-elle.

« Nous recommandons un allaitement exclusif pendant les six premiers mois de vie, quelle que soit la manière dont les mères y parviennent », précise Dr Feldman-Winter.

En outre, ajoute-t-elle, si les mères sont en mesure d’allaiter directement, ne serait-ce que pendant les quelques premières semaines, cela est mieux que de ne jamais le faire.

Il s’agit d’un argument essentiel aux États-Unis, où il n’y a pas de congé maternité payé pouvant permettre à un plus grand nombre de femmes d’allaiter directement pendant plus longtemps, souligne Dr Feldman-Winter.

Au fur et à mesure que les chercheurs en apprennent davantage sur les effets bénéfiques de l’allaitement direct, dit-elle, les résultats n’auront pas que des implications en termes de santé, mais également en termes de « culture ».

« En tant que société, nous devrons décider quelles sont nos valeurs », déclare Dr Feldman-Winter. Et cela pourrait signifier de trouver des « solutions créatives » afin d’aider un plus grand nombre de mères qui travaillent à allaiter directement, dit-elle.

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#Considerações gerais sobre #pneumonia

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Por Sanjay Sethi, MD, Professor and Chief, Pulmonary, Critical Care and Sleep Medicine, and Assistant Vice President for Health Sciences, University at Buffalo SUNY

 

A pneumonia é uma infecção dos pequenos sacos de ar (alvéolos) do pulmão e tecidos circundantes.

  • A pneumonia é uma das causas mais comuns de morte no mundo.

  • Frequentemente, a pneumonia é a doença terminal que causa a morte em pessoas que sofrem de outras doenças crônicas graves.

  • Alguns tipos de pneumonia podem ser evitados através da imunização.

Nos Estados Unidos, cerca de dois a três milhões de pessoas desenvolvem pneumonia a cada ano, das quais 60.000 morrem. Nos Estados Unidos, a pneumonia, juntamente com a influenza, é a oitava principal causa de morte, sendo a principal causa infecciosa de morte. A pneumonia é a causa mais comum de morte entre as infecções que se desenvolvem em pessoas hospitalizadas e é a causa geral mais comum de morte em países em desenvolvimento. A pneumonia também é uma das causas mais comuns de infecções graves em crianças e bebês, com uma incidência anual de 34 a 40 casos por 1.000 crianças na Europa e América do Norte.

Causas de pneumonia

A pneumonia não é uma doença única, mas muitas doenças diferentes, cada uma causada por um organismo microscópico diferente, que pode ser uma bactéria, vírus, fungo ou parasita. As pneumonias bacterianas e virais são muito mais comuns do que as pneumonias fúngicas ou causadas por parasitas. Os organismos específicos variam de acordo com a idade, saúde, local de moradia da pessoa, além de outros fatores.

Você sabia que…

  • A pneumonia não é uma doença única, mas muitas doenças diferentes, cada uma causada por um micro-organismo diferente.

As vias aéreas e os pulmões estão constantemente expostos a organismos microscópicos. Alguns organismos estão presentes no nariz e garganta quase todo o tempo e as pessoas inalam esses organismos regularmente. Os pulmões lidam prontamente com estes organismos através dos seus mecanismos de defesa, que incluem

  • O reflexo de tosse, que ajuda a expelir muco e substâncias estranhas

  • As células revestindo as vias pulmonares, que previnem a invasão de micro-organismos nos pulmões e empurram o muco e substâncias estranhas de modo que possam ser expelidos pela tosse

  • As proteínas produzidas pelas células pulmonares que atacam micro-organismos

  • Os glóbulos brancos dentro dos pulmões, que são parte do sistema imunológico normal e também atacam micro-organismos

A pneumonia se desenvolve quando

  • Os mecanismos de defesa não estão funcionando corretamente

  • Uma grande quantidade de bactérias é inalada sobrecarregando as defesas normais

  • Ocorre a entrada de um organismo particularmente infeccioso

Geralmente, a pneumonia inicia depois que organismos são inalados para dentro dos pulmões; mas, algumas vezes, a infecção é carregada até os pulmões pela corrente sanguínea ou os organismos migram para os pulmões diretamente a partir de uma infecção próxima.

Categorias de pneumonia

A localização das pessoas quando elas desenvolvem pneumonia é importante porque diferentes organismos tendem a estar presentes em diferentes lugares. Os organismos em alguns lugares, como hospitais, são tipicamente mais perigosos e mais resistentes a medicamentos comparados a organismos presentes em outros lugares. Além disso, é mais provável que pessoas em determinados lugares tenham distúrbios que as tornem mais propensas a desenvolver pneumonia. Algumas categorias de pneumonia incluem

  • Pneumonia adquirida na comunidade, que se desenvolve em pessoas vivendo na comunidade

  • Pneumonia adquirida no hospital, que é uma infecção adquirida no hospital

  • Pneumonia associada a assistência médica, que é uma infecção adquirida em uma unidade de saúde que não um hospital, como em um asilo ou centro de diálise

Outras categorias de pneumonia incluem

  • Pneumonia por aspiração,que ocorre quando partículas (por exemplo, saliva, comida ou vômito) da boca são inaladas e não são eliminadas dos pulmões. A pneumonia por aspiração pode ocorrer em pessoas com dificuldade de engolir, como pessoas com histórico de AVC e em pessoas com nível diminuído de consciência devido ao uso de medicamentos sedativos, álcool ou outros motivos

  • Pneumonia obstrutiva, que ocorre quando uma obstrução das vias aéreas nos pulmões (como um tumor) faz com que bactérias se acumulem por trás da obstrução

“Walking” pneumonia é um termo em inglês, não médico, usado para descrever casos leves de pneumonia adquirida na comunidade que não requerem repouso no leito ou hospitalização. Algumas pessoas podem até sentir-se bem o suficiente para trabalhar e participar de outras atividades diárias.

Fatores de risco para pneumonia

A pneumonia pode ser subsequente a uma cirurgia, particularmente cirurgia abdominal, ou lesão (trauma), particularmente lesão torácica, porque a dor desses quadros clínicos faz com que as pessoas não respirem profundamente nem tussam. Se as pessoas não respirarem profundamente nem tossirem, é mais provável que os micro-organismos permaneçam nos pulmões e causem infecção. Outras pessoas que não respiram profundamente nem tossem incluem pessoas debilitadas, acamadas, paralisadas ou inconscientes. Essas pessoas também correm o risco de desenvolver uma pneumonia.

Outra característica fundamental é o fato de a pneumonia ocorrer em uma pessoa saudável ou alguém com um sistema imunológico comprometido. Uma pessoa com o sistema imunológico comprometido é muito mais propensa a contrair pneumonia, incluindo pneumonia causada por bactérias e vírus incomuns e até mesmo por fungos e parasitas. Além disso, uma pessoa com o sistema imunológico comprometido pode não responder tão bem ao tratamento como pessoas cujo sistema imune é saudável. As pessoas com um sistema imunológico comprometido incluem aquelas que

  • Usam certos medicamentos (como corticosteroides ou quimioterápicos)

  • Têm certas doenças, como AIDS ou vários tipos de câncer

  • Possuem um sistema imunológico subdesenvolvido, como no caso de bebês e crianças pequenas

  • Possuem um sistema imunológico desgastado por uma doença grave, como acontece frequentemente em pessoas idosas

Outros quadros clínicos que predispõem as pessoas à pneumonia incluem alcoolismo, tabagismo, diabetes, insuficiência cardíaca e doença pulmonar obstrutiva crônica porque estes distúrbios podem enfraquecer os mecanismos de defesa dos pulmões ou o sistema imunológico.

Sintomas de pneumonia

O sintoma mais comum de pneumonia é

  • Tosse com expectoração (muco espesso ou com coloração alterada)

Outros sintomas comuns de pneumonia incluem

  • Dor torácica

  • Calafrios

  • Febre

  • Falta de ar

No entanto, esses sintomas podem variar em função da extensão da doença e do micro-organismo causador.

Os sintomas variam ainda mais em bebês e idosos. Pode não ocorrer febre. Pode não ocorrer dor torácica ou as pessoas podem não conseguir comunicar que estão com dor torácica. Algumas vezes, o único sintoma é a respiração rápida ou uma recusa súbita de comer. Algumas vezes, confusão súbita pode ser o único sinal de pneumonia em um pessoa idosa.

Complicações da pneumonia

As complicações comuns incluem

  • Baixos níveis de oxigênio na corrente sanguínea

  • Pressão arterial baixa com risco à vida

  • Abscesso pulmonar ou empiema

Uma pneumonia grave pode impedir que o oxigênio chegue à corrente sanguínea, levando as pessoas a sentirem falta de ar. Baixos níveis de oxigênio podem trazer risco à vida.

O micro-organismo responsável pela pneumonia pode entrar na corrente sanguínea, ou a resposta do corpo à infecção pode ser exagerada, resultando na diminuição da pressão arterial que pode trazer risco à vida, um quadro clínico denominado sepse.

Algumas pneumonias podem causar um abscesso pulmonar ou empiema. Um abscesso é uma bolsa de pus dentro do tecido. Um abscesso pulmonar se forma quando uma pequena área do pulmão morre e um acúmulo de pus se forma no lugar. Um empiema é um acúmulo de pus entre o pulmão e a parede torácica.

Diagnóstico de pneumonia

  • Exame médico

  • Em geral, uma radiografia do tórax

  • Algumas vezes exames para identificar o micro-organismo causando a pneumonia

Um médico ou enfermeiro verifica a presença de pneumonia escutando o tórax com um estetoscópio. A pneumonia geralmente produz sons característicos. Esses sons anormais são causados pelo estreitamento das vias aéreas ou preenchimento das partes normalmente cheias de ar dos pulmões por células e líquido inflamatórios; um processo chamado consolidação. Na maioria dos casos, o diagnóstico de pneumonia é confirmado com uma radiografia torácica.

Pneumonia grave

Pneumonia grave

Pneumonia grave

Foto cedida pelo Dr. Thomas M. File, Jr., MSc MACP FIDSA FCCP.

Em pessoas que estão doentes ao ponto de exigirem hospitalização, os médicos geralmente testam amostras de escarro, sangue e urina em uma tentativa de identificar o organismo causador da pneumonia. Em pessoas muito doentes ou naquelas com um problema conhecido do sistema imunológico, os médicos poderão colher amostras de escarro administrando um tratamento com vapor que faz com que a pessoa tussa profundamente (induzindo a produção de escarro) ou inserindo um broncoscópio (pequeno tubo flexível com uma câmera) nas vias aéreas. Amostras de escarro obtidas através da indução da tosse e, especialmente aquelas obtidas com um broncoscópio, são menos propensas a conter saliva e têm mais chances de permitir que os médicos identifiquem o organismo causador da pneumonia do que as amostras de escarro expectoradas.

É particularmente importante que os médicos identifiquem o organismo causador quando as pessoas estão gravemente doentes, não têm um sistema imunológico normal ou não estão respondendo bem ao tratamento. No entanto, apesar desses testes, o organismo preciso não pode ser identificado de forma conclusiva na maioria das pessoas que têm pneumonia.

Prevenção da pneumonia

A maneira mais eficaz de prevenir a pneumonia é parar de fumar.

Exercícios de respiração profunda e terapia para eliminar as secreções ajudam a prevenir uma pneumonia em pessoas com alto risco, como as que se submeteram a uma cirurgia abdominal ou torácica e aquelas que estão debilitadas.

Vacinas que previnem infecção por organismos que causam pneumonia são úteis. Algumas vezes quando uma pessoa não vacinada entra em contato com uma pessoa com um vírus que pode causar pneumonia (como influenza, varicela ou vírus sincicial respiratório), os médicos prescreverão certos medicamentos antivirais para tentar prevenir a infecção e a pneumonia.

Vacinas para prevenir a pneumonia

Existem vacinas disponíveis que oferecem proteção parcial contra a pneumonia causada pelo(a)

  • Bactéria Streptococcus pneumoniae

  • Haemophilus influenzae tipo b (apenas em crianças)

  • Gripe

  • Catapora (varicela)

Vacina pneumocócica

Por vezes a vacina pneumocócica consegue evitar a pneumonia pneumocócica, que é causada pela bactéria Streptococcus pneumoniae (pneumococo). O organismo que causa a pneumonia pneumocócica também pode causar muitas outras infecções pneumocócicas (como infecções no sangue e meningite). A vacina contra pneumonia pneumocócica também protege as pessoas de muitas dessas infecções pneumocócicas graves.

Estão disponíveis duas formulações da vacina pneumocócica:

  • A vacina conjugada (PCV13) protege contra 13 tipos de pneumococos

  • A vacina de polissacarídeos (PPSV23) protege contra 23 tipos de pneumococos

Estas formulações são administradas em grupos diferentes de pessoas. A vacina conjugada é administrada rotineiramente a todas as crianças a partir de dois meses de idade.

Vacina contra Haemophilus influenzae tipo b

A vacina para Haemophilus influenzae tipo b pode prevenir a pneumonia causada pela cepa Haemophilus influenzae tipo b. Essa vacina é recomendada para todas as crianças para prevenir a pneumonia, bem como outras infecções causadas por esse organismo. A vacina é administrada em duas ou três doses — aos dois meses, quatro meses e, algumas vezes, aos seis meses de idade.

Vacina contra influenza

A vacina contra influenza consegue, em geral, prevenir a pneumonia causada pelo vírus influenza. Mais importante, como a influenza enfraquece o sistema imunológico e torna os pulmões vulneráveis a uma pneumonia bacteriana, a prevenção da influenza com a vacinação também pode ajudar na prevenção contra pneumonias bacterianas. A vacinação anual de rotina contra influenza é recomendada para todas as pessoas a partir de seis meses de idade, a menos que sejam alérgicas à vacina. A vacinação é especialmente importante para profissionais da área de saúde, idosos e pessoas com quadros clínicos crônicos como DPOC, diabetes, doença cardíaca e doença renal.

A vacinação deve ser feita anualmente durante o outono (setembro a novembro), de modo que os níveis de anticorpos estarão mais altos durante o pico da influenza nos meses de novembro a março. Uma vacina diferente é apresentada todos os anos com base em previsões de quais cepas são mais propensas a causar influenza.

A capacidade de prevenção de pneumonia causada pelo vírus da influenza das vacinas depende do quão bem as cepas utilizadas na vacina correspondem à cepa epidêmica ocorrendo em um determinado ano. A proteção tem sido muito boa nos últimos nove a dez anos.

Vacina contra varicela

A vacina contra varicela pode prevenir a pneumonia causada pelo vírus da catapora (vírus da varicela). A pneumonia causada por esse vírus é muito rara. A vacina para catapora (varicela) é parte do esquema de vacinação para todas as crianças. Uma dose é administrada entre os 12 e 15 meses de idade e a outra entre quatro e seis anos de idade.

Tratamento da pneumonia

  • Antibióticos e por vezes, medicamentos antivirais ou antifúngicos

  • Tratamentos de apoio à respiração

As pessoas com pneumonia também precisam eliminar secreções e podem se beneficiar de exercícios com respiração profunda. As pessoas com pneumonia que estão com falta de ar ou têm baixos níveis de oxigênio no sangue recebem oxigênio suplementar, geralmente através de um pequeno tubo plástico nas narinas (cânula nasal). Apesar de o repouso ser uma parte importante do tratamento, o repouso absoluto pode ser nocivo e as pessoas são incentivadas a se movimentar frequentemente e sair da cama para uma cadeira.

Geralmente, são iniciados antibióticos sempre que há suspeita de pneumonia bacteriana, mesmo antes do organismo ser identificado. O uso imediato de antibióticos tem grandes chances de reduzir a gravidade da pneumonia e a possibilidade de desenvolvimento de complicações, algumas das quais podendo levar à morte.

Antibióticos

Ao escolher um antibiótico, os médicos levam em conta qual organismo tem mais chances de ser a causa. Vários fatores podem dar dicas referentes ao organismo causador da pneumonia:

  • Tipo de pneumonia (pneumonia adquirida na comunidade, pneumonia adquirida no hospital, pneumonia associada a assistência médica, pneumonia obstrutiva, pneumonia por aspiração)

  • A idade da pessoa

  • Se o sistema imunológico da pessoa está funcionando corretamente ou não ou se as pessoas têm outras doenças pulmonares

  • Gravidade da pneumonia

  • Informações sobre quais organismos são comuns na região e quais antibióticos são capazes de matá-los

  • Quaisquer informações disponíveis de testes diagnósticos, como a identificação de bactérias específicas em culturas de escarro

Em geral, um médico escolhe um antibiótico com maior cobertura, significando que o antibiótico é eficaz contra uma ampla gama de micro-organismos, até mesmo micro-organismos resistentes a alguns antibióticos, nas seguintes circunstâncias:

  • Quando a pneumonia é grave

  • Se o sistema imunológico da pessoa não está funcionando corretamente

  • Se a pessoa tem uma pneumonia adquirida no hospital, pneumonia associada a assistência médica ou histórico de pneumonia anterior com um micro-organismo resistente a alguns antibióticos

Os médicos podem dar um antibiótico diferente posteriormente, depois de o organismo ser identificado e da sua suscetibilidade a vários antibióticos ser determinada.

É importante ter em mente que um antibiótico com maior cobertura também mata as bactérias normais que vivem no intestino e pode resultar em diarreia grave com risco à vida, um quadro clínico denominado colite induzida por Clostridium difficile ou colite associada a antibióticos. Portanto, um antibiótico com maior cobertura só é usado nas circunstâncias descritas acima. Comparativamente, no caso de pessoas com pneumonia menos grave e para aquelas com uma boa saúde geral, a opção é feita por um antibiótico com menor cobertura, geralmente apropriado para os micro-organismos mais comuns que causam pneumonia. Apesar de esses antibióticos também poderem causar diarreia, esta é menos frequente. Estes antibióticos geralmente funcionam bem e esta abordagem evita os pontos negativos dos antibióticos com maior cobertura.

Medicamentos antivirais e antifúngicos

Os antibióticos não são úteis para pneumonias virais. Contudo, os medicamentos antivirais específicos são por vezes administrados em caso de suspeita de certas infecções virais, como influenza ou varicela. No caso de influenza, os medicamentos antivirais específicos (como oseltamivir ou zanamivir) podem diminuir a duração e gravidade da doença se as pessoas começarem a tomar o medicamento dentro de 48 horas do início dos sintomas. Contudo, os médicos não têm certeza se os medicamentos antivirais irão ajudar depois de a pessoa ter desenvolvido pneumonia por influenza. Às vezes, uma pneumonia bacteriana pode se desenvolver depois da infecção viral. Neste caso, os médicos administram antibióticos às pessoas afetadas.

Em casos raros, um fungo ou parasita é a causa da pneumonia, sendo administrado um medicamento antifúngico ou antiparasitário.

Cuidados domiciliares vs. hospitalares

Frequentemente, as pessoas com pneumonia, mas que não estão muito doentes, podem tomar antibióticos por via oral e permanecer em casa. Pessoas idosas, bebês e as que têm falta de ar, que estão muito doentes ou que têm doença cardíaca ou pulmonar preexistente geralmente são hospitalizadas e recebem antibióticos, antivirais ou antifúngicos por via intravenosa de início. Esses antibióticos geralmente são trocados por antibióticos orais depois de alguns dias. As pessoas que precisam ser hospitalizadas podem também precisar de oxigênio suplementar e líquidos intravenosos. Pessoas muito doentes podem precisar de sedativos e de serem colocadas, temporariamente, conectadas a uma máquina de respiração (ventilador mecânico) que empurra o ar para dentro e para fora dos pulmões através de um tubo inserido na garganta.

#Breast density laws tied to higher# ultrasound, #cancer detection rates

Postado em Atualizado em

    • Busch SH & al.
    •  Am J Public Health
    •  21 mar. 2019

Takeaway

  • State dense breast notification (DBN) laws, which mandate notifying women who have already undergone screening mammography that they have dense breasts, are most effective when they also require notifying women about the possible benefits of supplemental screening (DBN+SS) for dense breasts.

Why this matters

  • Dense breasts, which affect 38%-57% of women in their 40s and 50s, reduce mammographic sensitivity.

Study design

  • Retrospective cohort of 1,441,544 screening mammograms among privately insured women (age, 40-59 years) living in 1 of 3 types of states: no DBN laws (n=25 states), generic DBN laws (which do not mention possible benefits of SS; n=5 states), and DBN+SS states (n=4 states).
  • Funding: American Cancer Society; Yale University.

Key results

  • Compared with no DBN law:
    • DBN+SS laws were associated with 10.5 more ultrasounds per 1000 mammograms (P=.006).
    • DBN+SS laws were associated with 0.37 more breast cancers detected per 1000 mammograms (P=.02).
    • DBN+SS laws have no higher rate of MRIs or biopsies.
    • Generic DBN laws were not associated with more ultrasounds, MRIs, biopsies, or higher breast cancer detection rates.

Limitations

  • Study is unable to evaluate effect of DBN laws on breast cancer morbidity and mortality.
  • Results may not be generalizable based on privately insured women.

#Los síntomas de #síndrome de #ovario poliquístico mejoran con la exposición a #bacterias intestinales saludables

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Los síntomas del síndrome de ovario poliquístico (SOP) mejoran con la exposición a bacterias saludables en el intestino, según un estudio en un modelo de ratón de este trastorno endocrino común en mujeres. Los resultados del estudio se han presentado en la reunión anual de la Sociedad Endocrina estadounidense (ENDO 2019) que se celebra en Nueva Orleans.

Este trabajo se basa en investigaciones recientes realizadas por los mismos científicos que muestran que el microbioma intestinal humano, o composición bacteriana intestinal, es menos diverso en las mujeres con SOP.

“Nuestros nuevos resultados sugieren que la alteración del microbioma intestinal mediante terapias prebióticas o probióticas puede ser una opción de tratamiento potencial para el SOP”, afirmó la investigadora principal del estudio, Varykina Thackray, de la Facultad de Medicina de la Universidad de California en San Diego.

El SOP afecta a alrededor del 10% de las mujeres en edad fértil, pero se desconocen las causas exactas, según la Red de Salud Hormonal. Los síntomas se tratan con medicamentos y cambios en la dieta y el ejercicio. Los signos del trastorno incluyen folículos quísticos en los ovarios, niveles más altos de testosterona, exceso de vello corporal, periodos menstruales irregulares o inexistentes y, en ocasiones, aumento de peso y resistencia a la insulina. Las posibles consecuencias a largo plazo para la salud incluyen infertilidad, aborto espontáneo, complicaciones del embarazo, diabetes tipo 2, hipertensión y depresión.

Thackray y su equipo indujeron el SOP en hembras de ratón que estaban pasando por la pubertad, administrándoles letrozol. Al bloquear la conversión de la testosterona en estrógeno, este fármaco produce niveles elevados de testosterona y los resultados en ratones también caracterizan otras características del SOP. Otro grupo de control de roedores recibió tratamiento con un placebo en este estudio.

Durante cinco semanas, los investigadores mantuvieron dos hembras de ratón por jaula en tres diferentes modos de alojamiento: ratones SOP juntos, ratones tratados con placebo juntos y ratones de ambos grupos de tratamiento juntos. Compartir alojamiento lleva a la exposición al microbioma intestinal de cada uno, explicó Thackray.

Los ratones con SOP que vivían con ratones tratados con placebo presentaban mejores niveles de testosterona, ciclos normalizados y ovulación sustancialmente mejor en comparación con los ratones con SOP alojados entre sí. Además, los ratones con SOP que vivían con ratones tratados con placebo disminuyeron de peso, tuvieron reducciones en los niveles de azúcar e insulina en la sangre en ayunas y registraban menos resistencia a la insulina (un factor de riesgo importante para la diabetes tipo 2).

Thackray explicó que estas mejoras en las características de SOP estaban relacionadas con cambios en el microbioma intestinal. “Se necesita investigación adicional para comprender cómo las bacterias intestinales específicas contribuyen al SOP y si el microbioma intestinal ofrece posibles vías para tratar la enfermedad”, concluyó.

#Comer #pescado puede ayudar a #prevenir el asma (J Environ Res Public Health)

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Un innovador estudio de la Universidad James Cook (Australia) revela nuevas evidencias de que comer pescado puede ayudar a prevenir el asma.

Andreas Lopata, del Instituto Australiano de Salud y Medicina Tropical de la citada universidad, es uno de los autores del estudio, que evaluó a 642 personas que trabajaban en una fábrica de procesamiento de pescado en una pequeña aldea en Sudáfrica.

“Alrededor de 334 millones de personas en todo el mundo padecen asma, y alrededor de un cuarto de millón de personas mueren cada año. En Australia, uno de cada nueve tiene asma (aproximadamente 2,7 millones), y entre los australianos indígenas esta tasa es casi el doble -explica Lopata-. La incidencia de asma casi se ha duplicado en los últimos 30 años y casi la mitad de los pacientes con asma no obtienen ningún beneficio de los medicamentos disponibles para tratarla. Por lo tanto, hay un interés creciente en las opciones de tratamiento sin medicamentos”, declara.

En este sentido, el investigador recuerda que la teoría actual es que el drástico cambio en la dieta en todo el mundo está detrás del aumento de la enfermedad. “Hay un consumo creciente de lo que se conoce como ácido graso poliinsaturado (PUFA) n-6 que se encuentra en los aceites vegetales y una disminución en el consumo de PUFA n-3, que se encuentra principalmente en los aceites marinos. En pocas palabras, ha habido un movimiento global del pescado fresco a la comida rápida”.

Lopata explica que se eligió para la prueba una aldea de pescadores porque tenía una población con un alto consumo de pescado y un estatus socioeconómico bajo, por lo que era probable que los aceites marinos de pescado y otros productos del mar fueran la fuente principal de n-3, en lugar de suplementos. Los resultados se publican en el International Journal of Environmental Research and Public Health.

“Encontramos que ciertos tipos de n-3 (de aceites marinos) se asociaron significativamente con un menor riesgo de tener asma o síntomas similares al asma hasta en un 62%, mientras que un alto consumo de n-6 (de aceites vegetales) se asoció con un aumento del riesgo hasta en un 67%”, dijo.

Ello supone más evidencia de la sospecha de la función inflamatoria de n-6 en el desarrollo de asma, y más evidencia de que n-3 dio una protección significativa.

“Incluso si se tienen en cuenta los contaminantes como el mercurio que se encuentra en algunas poblaciones de peces, los beneficios de la ingesta de pescado y mariscos superan con creces los riesgos potenciales”, asegura Lopata, que señala que es necesario trabajar más sobre qué efectos tienen los tipos específicos de n-3 y cómo podría optimizarse su función beneficiosa, y sobre cómo minimizar los efectos negativos de n-6.

#La qualité du #régime alimentaire à la cinquantaine n’est pas liée au risque ultérieur de #démence

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 La qualité du régime alimentaire à la cinquantaine n’est pas associée au risque ultérieur de démence, selon une étude publiée dans le numéro du 12 mars de la revue Journal of the American Medical Association.

Tasnime N. Akbaraly, Ph.D., du Centre hospitalier universitaire de Montpellier, et ses collègues ont examiné la corrélation entre le régime alimentaire à la cinquantaine et le risque ultérieur de démence. Les données incluses portaient sur 8 225 participants non atteints de démence entre 1991 et 1993 (âge moyen de 50,2 ans).

Les chercheurs ont observé que durant les 24,8 ans de suivi, 344 cas d’apparition de démence ont été enregistrés. Aucune différence significative n’a été observée en termes de taux d’apparition de démence selon les terciles d’exposition à l’indice alternatif d’alimentation saine (Alternate Healthy Eating Index, AHEI) à 11 éléments portant sur la qualité du régime alimentaire entre 1991 et 1993, entre 1997 et 1999 et entre 2002 et 2004. Dans le tercile le plus bas de qualité du régime alimentaire entre 1991 et 1993, le taux d’apparition de la démence était de 1,76 pour 1 000 personnes-années ; le taux de différence absolu était de 0,03 (intervalle de confiance à 95 % de -0,43 à 0,49) et de 0,04 (intervalle de confiance à 95 % de -0,42 à 0,51) pour 1 000 personnes-années pour le quartile intermédiaire et le meilleur quartile, respectivement. Les rapports de risque corrigé pour la démence par augmentation d’un écart-type de l’AHEI n’étaient pas significatifs lors de leur évaluation entre 1991 et 1993, entre 1997 et 1999 ou entre 2002 et 2004 dans l’analyse à plusieurs variables.

« Le fait qu’une alimentation saine joue un rôle dans la détermination des résultats cognitifs, en combinaison avec d’autres comportements sains ou dans des sous-groupes présentant un risque plus élevé de démence reste incertain », écrivent les auteurs.

 

#Visão geral da função e #disfunção sexual feminina

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Por Rosemary Basson, MD, Clinical Professor, Department of Psychiatry, University of British Columbia and Vancouver Hospital; Director, UBC Sexual Medicine Program

 

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Homens e mulheres iniciam ou concordam com a atividade sexual por muitas razões, incluindo compartilhar a excitação sexual e o prazer físico e experimentar afeto, amor, romance ou intimidade. No entanto, as mulheres são mais propensas a relatar motivações emocionais, tais como

  • Experimentar e incentivar a intimidade emocional

  • Aumentar o bem-estar

  • Confirmar que é desejável

  • Agradar ou acalmar o parceiro

Especialmente em relacionamentos estáveis, as mulheres muitas vezes têm pouco ou nenhum desejo sexual inicial, mas elas sentem desejo sexual (desejo reativo), uma vez que o estímulo sexual desencadeie a excitação e o prazer (reação subjetiva) e a congestão genital (reação genital física). O desejo de se satisfazer sexualmente, que pode ou não incluir um ou múltiplos orgasmos, desenvolvido como atividade sexual, e a intimidade persistem e uma experiência recompensadora do ponto de vista físico e emocional preenche e reforça as motivações originais da mulher.

O ciclo de resposta sexual da mulher é fortemente influenciado pela qualidade de sua relação com o parceiro. O desejo sexual inicial tipicamente diminui com a idade, mas aumenta com um novo parceiro em qualquer idade.

Fisiologia

A resposta sexual inclui

  • Motivação (incluindo desejo)

  • Excitação subjetiva

  • Congestão genital

  • Orgasmo

  • Resolução

A fisiologia da resposta sexual feminina não é totalmente conhecida, mas envolve fatores hormonais e do SNC.

Estrogênios influenciam a resposta sexual. Suspeita-se, mas não está comprovado, que androgênios estão envolvidos e agem nos receptores androgênicos e estrogênicos (após a conversão intracelular da testosterona em estradiol).

Após a menopausa, a produção de estrogênio ovariano cessa, enquanto a produção de androgênio ovariano varia. No entanto, a produção adrenal de pró-hormônios (p. ex., sulfato de desidroepiandrosterona [SDHEA]), que são convertidos em androgênios e estrogênios nas células periféricas, diminuem na mulher entre seus 30 anos. A produção de pró-hormônios também declina após a menopausa. Ainda não está claro se essa queda desempenha algum papel na diminuição do desejo, interesse ou excitação subjetiva sexual.

O cérebro produz hormônios sexuais (neuroesteroides) a partir do colesterol, e a sua produção pode aumentar após a menopausa. Ainda é desconhecido se isso facilita a excitação, à medida que a produção periférica cai e se é afetada pela administração de hormônios exógenos.

Motivação

A motivação é o desejo de se envolver em atividade sexual. Há muitas razões para querer a atividade sexual, incluindo o desejo sexual. O desejo pode ser desencadeado por pensamentos, palavras, imagens, cheiros ou toque. O desejo pode ser óbvio desde o início, ou pode ser construído depois que a mulher está excitada.

Excitação

Envolve a ativação de áreas do cérebro ligadas à cognição, emoção, motivação e organização da congestão genital. Também participam do processo de excitação os neurotransmissores que agem em receptores específicos. Com base em ações conhecidas de drogas ou em estudos animais, certos neurotransmissores são pró-sexuais; incluem dopaminanorepinefrina e melanocortina. A serotonina em geral é sexualmente inibitória, assim como a prolactina e o GABA.

Congestão genital

É uma resposta autonômica reflexiva que ocorre em segundos após um estímulo sexual e causa o ingurgitamento e a lubrificação genital. A avaliação do cérebro do estímulo como biologicamente sexual, não necessariamente como erótico ou subjetivamente excitante, desencadeia essa resposta. As células musculares lisas ao redor dos espaços sanguíneos na vulva, clitóris e arteríolas vaginais dilatam-se, aumentando o fluxo sanguíneo (ingurgitamento) e, na vagina, ocorre a transudação do fluido intersticial através do epitélio vaginal (lubrificação). As mulheres nem sempre percebem a congestão; formigamento e palpitação genitais são mais tipicamente relatadas por mulheres mais jovens. Com a idade, a secreção genital basal diminui, mas a congestão genital em resposta ao estímulo sexual (p. ex., vídeos eróticos) pode não diminuir.

Orgasmo

Ocorre o pico da excitação; é acompanhado por contrações dos músculos pélvicos a cada 0,8 segundos e pela redução lenta da congestão genital. O trato simpático toracolombar eferente parece desempenhar um papel no orgasmo, mas este é possível mesmo após a transecção completa da coluna vertebral (quando se usa um vibrador para estimular a cérvice). Prolactina, ADH e ocitocina são liberados no momento do orgasmo e podem contribuir para as sensações de bem-estar, relaxamento ou fadiga subsequentes (resolução). Entretanto, muitas mulheres sentem bem-estar e relaxamento mesmo sem ter um orgasmo nítido.

Resolução

A resolução é uma sensação de bem-estar, relaxamento muscular generalizado ou fadiga que normalmente acompanha o orgasmo. Mas a resolução pode ocorrer lentamente após atividade sexual altamente excitante sem orgasmo. Muitas mulheres podem responder à estimulação adicional quase imediatamente após a resolução.

Classificação

A disfunção sexual feminina pode envolver aumento ou decréscimo da sensibilidade sexual. A classificação é determinada pelos sintomas. Há cinco categorias principais de queda de responsividade e uma de aumento (síndrome da excitação sexual persistente).

Distúrbio de desejo/interesse sexual é a falta ou diminuição do interesse sexual, do desejo, dos pensamentos e fantasias sexuais e a falta do desejo reativo.

Distúrbio da excitação sexual é a falta de excitação subjetiva ou genital, ou ambas.

Distúrbio orgásmico ocorre quando há falta de orgasmo, quando sua intensidade está acentuadamente diminuída, ou quando o orgasmo ocorre com atraso exagerado em resposta à estimulação, apesar dos altos níveis de excitação subjetiva.

Vaginismo é o estreitamento involuntário do diâmetro da vagina quando se tenta acessar sua entrada, apesar de a mulher expressar desejo de ser penetrada, na ausência de outras anormalidades físicas ou estruturais.

Dispareunia é a dor durante a tentativa de penetração vaginal ou durante a penetração vaginal ou relação sexual. A PVD, anteriormente chamada de vestibulite vulvar, o tipo mais comum de dispareunia superficial (introital), é uma síndrome da dor crônica associada às funções imunológicas e sensibilizantes do sistema nervoso.

Síndrome da excitação sexual persistente envolve excitação genital excessiva.

Um transtorno é diagnosticado quando os sintomas causam sofrimento. Algumas mulheres podem não se sentir incomodadas com o decréscimo ou ausência de desejo, interesse, excitação sexual ou orgasmo.

Quase todas as mulheres com disfunção sexual possuem traços de mais de um transtorno. Por exemplo, dispareunia crônica de PVD geralmente leva a distúrbios de desejo/interesse e excitação; a excitação debilitada pode tornar o sexo menos agradável ou até mesmo doloroso, diminuindo a probabilidade de orgasmos e motivação sexual subsequente. No entanto, dispareunia devido à lubrificação defeituosa pode ocorrer como um sintoma isolado em mulheres com um alto nível de desejo sexual, interesse e excitação subjetiva.

Os distúrbios sexuais femininos podem ser categorizados, secundariamente, como permanentes ou adquiridos; específicos da situação ou generalizados; e leves, moderados ou graves, baseando-se no grau de sofrimento causado à mulher.

Apesar da pesquisa limitada, esses transtornos provavelmente se aplicam igualmente a mulheres em relações hétero e homossexuais.

Etiologia

A tradicional separação entre as etiologias físicas e psicológicas é artificial; o sofrimento psicológico causa mudanças na fisiologia hormonal e neurológica; as mudanças físicas podem gerar reações psicológicas que compõem a disfunção. Com frequência, há várias causas de sintomas dentro e entre as categorias de disfunção e muitas vezes a causa não é clara.

Fatores psicológicos primários

Transtornos de humor estão intimamente correlacionados ao baixo desejo e à excitação. Em mais de 80% das mulheres com depressão grave e disfunção sexual, o transtorno sexual pode ser abrandado quando antidepressivos tratam a depressão com eficiência. No entanto, podem persistir ou piorar, caso os antidepressivos não sejam eficazes. Mulheres com transtornos de ansiedade também estão mais propensas a ter disfunções sexuais envolvendo desejo, excitação e/ou orgasmo e ter PVD. Diversos medos — desapego, vulnerabilidade, rejeição ou perda de controle — e baixa autoestima podem contribuir.

Experiências anteriores podem afetar o desenvolvimento psicossexual da mulher, como nas seguintes situações:

  • Experiências sexuais negativas passadas podem levar a baixa autoestima, vergonha ou culpa.

  • Abuso emocional, físico ou sexual durante a infância ou adolescência pode ensinar a criança a controlar e esconder as emoções — um mecanismo de defesa útil —, mas tal inibição pode tornar, mais tarde, difícil a expressão dos sentimentos sexuais.

  • A perda traumática precoce de um dos pais ou de outro ente amado pode inibir a intimidade com o parceiro sexual por medo de que ocorra perda semelhante.

Preocupações com consequências negativas (como gestação não desejada, DST, incapacidade de ter um orgasmo, disfunção sexual com o parceiro) também podem prejudicar a resposta sexual.

Causas contextuais (aquelas específicas das circunstâncias atuais da mulher) incluem:

  • Contexto intrapessoal: baixa autoimagem sexual (p. ex., devido à infertilidade, menopausa prematura, remoção cirúrgica de um seio, do útero ou de outra parte do corpo associada ao sexo)

  • Contexto de relacionamento: falta de confiança, sentimentos negativos ou atração reduzida por um parceiro (p. ex., devido ao comportamento do parceiro ou uma consciência crescente de mudança na orientação sexual)

  • Contexto sexual: Por exemplo, ambientes não suficientemente eróticos, privados ou seguros

  • Contexto cultural: Por exemplo, restrições culturais em relação à atividade sexual

Distrações (p. ex., família, trabalho ou finanças) podem interferir na excitação.

Fatores físicos primários

Várias lesões genitais, fatores hormonais ou sistêmicos e drogas podem levar ou contribuir a uma disfunção ( Alguns fatores físicos que contribuem para disfunção sexual feminina).

Alguns fatores físicos que contribuem para disfunção sexual feminina

Categoria

Fator

Lesões genitais

Vaginite atrófica

Malformações congênitas

Herpes simples genital

Líquen escleroso

Estreitamento pós-cirúrgico do introito

Fibrose por irradiação

Rompimento recorrente do frênulo posterior

Infecções vaginais

Distrofias vaginais

Outros fatores físicos

Ooforectomia bilateral em mulheres pré-menopausa

Debilidade

Fadiga

Hiperprolactinemia

Doenças da tireoide, estados hipoadrenais, estados hipopituitários

Lesão do nervo (p. ex., devido a diabetes, esclerose múltipla e disfunção da coluna vertebral)

Drogas

Álcool

Agonistas do hormônio liberador de gonadotropina

Anticonvulsivantes

Betabloqueadores

Certos antidepressivos, particularmente ISRS

ISRS são uma causa de medicação particularmente comum.

Embora no futuro possa ser demonstrado que os androgênios influenciam a resposta sexual das mulheres, há poucas evidências atuais. Algumas evidências sugerem que a suplementação de testosterona pode beneficiar modestamente as mulheres com baixo desejo, mas que conseguem ter experiências sexuais satisfatórias. Atividade androgênica total (medida como metabolitos) é semelhante em mulheres com ou sem desejo.

A dependência alcoólica pode causar disfunção sexual.

Diagnóstico

  • Entrevista com ambos os parceiros, separadamente e juntos

  • Exame pélvico, principalmente para identificar as causas da dispareunia

O diagnóstico da disfunção sexual e de suas causas é feito por história e exame físico da paciente. É ideal que a história seja obtida de ambos os parceiros, que devem ser entrevistados separadamente e em conjunto; tem início ao pedir-se à mulher que descreva o problema com suas próprias palavras e incluindo elementos específicos ( Componentes da história sexual no momento da avaliação da disfunção sexual feminina). As áreas problemáticas (p. ex., experiências pessoais negativas no passado, autoimagem sexual negativa) identificadas na primeira consulta podem ser investigadas mais profundamente nas visitas seguintes.

Componentes da história sexual no momento da avaliação da disfunção sexual feminina

Área

Elementos específicos

História médica (passada e presente)

Saúde geral (incluindo energia física, nível de estresse e ansiedade, histórico psiquiátrico e humor), drogas, gestações, gestações interrompidas, DSTs, contracepção, práticas sexuais seguras

Relacionamento com o parceiro

Orientação sexual, intimidade emocional; confiança; respeito; atração; comunicação; fidelidade; raiva; hostilidade; ressentimento

Contexto sexual atual

A função sexual do parceiro, atividades e comportamentos durante os momentos antes das tentativas de atividade sexual, adequação da estimulação sexual, adequação da comunicação sexual, momento (p. ex., muito tarde da noite, muito apressado), grau de privacidade

Gatilhos do desejo e da excitação

Contexto: dicas sexuais visuais, escritas e faladas; atividades (tomar banho juntos; dançar; ouvir música); tipo de estimulação (física ou não física, genital ou não penetrativa genital)

Inibidores da excitação

Fadiga, estresse, ansiedade, depressão, experiências sexuais passadas negativas, medo sobre o resultado (incluindo perda de controle, dor, gestação indesejada e infertilidade) distrações diárias

Orgasmos

Presença ou ausência; se há ansiedade provocada pela ausência ou não; diferenças entre a resposta com o parceiro e a autoestimulação

Resultado

Satisfações ou insatisfações emocional e física

Qualidade e localização da dor na dispareunia

Ardente, dilacerante, irritante, estiramento ou maçante

Superficial (introito) ou mais profunda na pelve

Momento da dispareunia

Durante a entrada parcial ou completa, penetração profunda; movimento peniano ou à ejaculação masculina; imediatamente após a penetração; durante a micção depois da penetração vaginal

Autoimagem

Autoconfiante; sentimentos acerca de desejabilidade, corpo, genitais, competência sexual

Histórico do desenvolvimento

Relacionamento com cuidadores e irmãos; traumas; perda de entes queridos; abuso emocional, físico ou sexual; consequências da expressão das emoções quando criança; restrições culturais ou religiosas

Experiências sexuais passadas

Tipo (se desejadas, coercitivas, abusivas ou a combinação de todos os itens); experiência subjetiva (se as práticas sexuais são gratificantes, variadas e prazerosas), resultados (positivo ou negativo—p. ex., gestação não planejada, DSTs, desaprovação dos pais ou da sociedade, sensação de culpa devido a ensinamentos religiosos)

Fatores de personalidade

Habilidade de confiar; nível de conforto em relação à vulnerabilidade; raiva suprimida causando a supressão das emoções sexuais; necessidade de se sentir no controle; expectativas quanto a si própria não razoáveis, hipervigilância à autodestruição (i. e., se preocupar com a dor que inibe o gozo), obsessividade, ansiedade, tendências depressivas

DSTs = doenças sexualmente transmissíveis.

O exame físico é mais importante para determinar as causas de dispareunia; a técnica pode diferir levemente da usada no exame ginecológico de rotina. A explicação sobre o que irá ocorrer durante o exame ajuda a mulher a relaxar e deve ser repetida enquanto se realiza o exame. Pedir-lhe que se sente e olhe os genitais em um espelho durante o exame pode lhe transmitir uma noção de controle.

Um exame a fresco com solução aquosa para avaliação do corrimento vaginal e uma coloração de Gram com cultura ou prova de DNA para Neisseria gonorrhoeae e clamídia são indicados quando a história ou o exame sugerirem vulvite, vaginite ou DIP.

Embora os baixos níveis de estrogênio possam contribuir para a disfunção sexual, raramente se indica a aferição dos níveis desses hormônios. Baixos níveis de estrogênio são detectados clinicamente. A função sexual não se correlaciona com os níveis de testosterona, independentemente de como eles são medidos. Se hiperprolactinemia é suspeita clínica, o nível de prolactina é medido. Se houver suspeita clínica de uma doença da tireoide, testes apropriados são feitos; eles incluem TSH se houver suspeita de hipotireoidismo, tiroxina (T4) se houver suspeita de hipertireoidismo e, às vezes, outros testes da função da tireoide.

Tratamento

  • Explicação da resposta sexual feminina para o casal

  • Correção dos fatores contribuintes

  • Substituição de outros antidepressivos por ISRS ou adição de bupropiona

  • Psicoterapia

O tratamento varia de acordo com o distúrbio e a causa; muitas vezes, é necessário mais de um tipo de tratamento, pois os distúrbios se sobrepõem. A compreensão compassiva da paciente e uma avaliação cuidadosa pode, por si só, ser terapêuticas. Se possível, corrigem-se os fatores que contribuem. Transtornos de humor devem ser tratados. Explicar o que está envolvido na resposta sexual feminina pode também ajudar.

Como os ISRS podem contribuir para várias categorias de disfunção sexual, pode-se considerar sua substituição por antidepressivos que causem menos efeitos sexuais adversos (p. ex., bupropiona, moclobemida, mirtazapina, duloxetina). Alternativamente, algumas evidências sugerem que a adição de bupropiona para um ISRS pode ajudar.

Terapias psicológicas são a base do tratamento. A terapia cognitivo-comportamental tem como alvo a autoimagem negativa e muitas vezes catastrófica resultante de doenças (incluindo distúrbios ginecológicos) ou infertilidade.

Plena atenção, uma prática oriental com raízes na meditação budista, pode ajudar. Ela focaliza a conscientização objetiva do momento presente. Sua prática ajuda as mulheres a se libertarem de distrações que interferem na atenção às sensações sexuais. A plena atenção diminui a disfunção sexual em mulheres saudáveis e em mulheres com câncer pélvico ou vestibulodinia provocada. As mulheres podem ser encaminhadas para centros comunitários ou a recursos online para aprender a praticar a plena atenção. Terapia cognitiva baseada na plena atenção combina uma forma adaptada de terapia cognitivo-comportamental com plena atenção. Como na terapia cognitivo-comportamental, as mulheres são incentivadas a identificar pensamentos não adaptativos, mas então a simplesmente observar sua presença, percebendo que eles são simplesmente eventos mentais e podem não refletir a realidade. Essa abordagem pode tornar esses pensamentos menos perturbadores. A terapia cognitiva baseada na plena atenção é usada para prevenir depressão recorrente e pode ser adaptada ao tratamento de transtorno de excitação sexual e distúrbio do desejo/interesse sexual, bem como à dor crônica da vestibulodinia provocada.

Pontos-chave

  • Fatores psicológicos e físicos normalmente contribuem para a disfunção sexual feminina; eles podem interagir, agravando a disfunção.

  • Os fatores psicológicos incluem transtornos de humor, efeitos de experiências passadas, preocupações com um resultado negativo, circunstâncias específicas da mulher (p. ex., baixa autoimagem sexual) e distrações.

  • Os fatores físicos incluem lesões genitais, fatores sistêmicos e hormonais e drogas (especialmente ISRSs).

  • Entrevistar ambos os parceiros, separadamente e juntos.

  • Normalmente, usar terapias psicológicas (p. ex., terapia cognitivo-comportamental, plena atenção, uma combinação das duas [terapia cognitiva baseada na plena atenção]).